lundi, octobre 08, 2007
Idée douteuse
C’est incroyable comme certains architectes peuvent perpétuer des erreurs conceptuelles qu’il est rare de voir reproduites dans la plupart des autres secteurs d’activité. Avec la généralisation de la conception aidée par ordinateur, les améliorations de la plupart des produits et objets qui nous entourent sont en accroissement constant et cumulatif; ainsi, les réalisations qui en résultent sont capable de se parfaire au fil du temps, sans presque jamais «rechuter» dans les erreur passées. Est-ce parce que nous vivons en montagne et que nos architectes locaux sont souvent des «implants» qui ne sont ni nés et ni été élevé avec leurs pieds dans la neige, la boue et la pluie, que nous devons souffrir une telle récurrence d'idées douteuses? Peut-être l’accès à cette profession devrait être limitée à ceux ou à celles qui quittent leur écrans d’ordinateurs un peu plus souvent, sortent un peu, et lèvent leurs yeux en direction du firmament? Comme il y a des tas d’idées rétrogrades qui peuvent être ainsi discutées, je propose que nous consacrions le propos de ce jour aux traitement des chevrons. Ces dernières années, nos architectes de montagne, qu’ils exercent en Californie, dans le Colorado, au Montana ou en Utah semblent trouver élégant de faire dépasser leur chevrons du toit et les exposer ainsi au intempéries. Il semble évident que ces pièces de bois vont être battues par la pluie et que la neige va s’y accumuler tout l’hiver. Alors, quelle est donc la raison? Juste pour faire bien? Peut-être que si ces esprits créatifs devraient repeindre ces extrémités exposées chaque année, ils les recouvriraient bien vite, à moins bien sur qu’il existe une raison bien profonde; si vous la connaissez, faites-moi signe!
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