Autrefois, comme des tas d'autres gens, j’étais impatient d'absorber et de regarder toute la programmation Olympique qui m’était offerte.
Les années, le cynisme, trop d'épreuves superflues, des scandales en tous genres, des coûts incontrôlés (surtout à Sotchi), une commercialisation effrénée, des publicités télévisées abêtissantes, une programmation télévisuelle médiocre, des horaires peu pratiques et un chauvinisme de circonstance ont eu raison de mon enthousiasme.
Pour moi, en bout de compte, chaque épreuve olympique est juste une autre compétition, ou pour mettre cela en perspective, une autre journée dans la vie d'un athlète. Je vais regarder un peu de ski et de patin à glace et c'est à peu près tout.
Bien entendu, j'évite les cérémonies d'ouverture et de clôture comme la peste, avec leur surenchère habituelle.
Au fil des ans et à petites doses, en bricolant sa formule dans son coin, tout en faisant un peu trop de nombrilisme, le CIO a tout fait pour étouffer la poule qui pondait les médailles d'or.
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