Je viens de terminer de lire "The Only Game in Town".
Comme ce bouquin avait été écrit par Mohamed El-Erian, une « célébrité » financière qui traîne sur les plateaux des émissions télévisés économiques et qui a été aussi impliqué avec le FMI et l'administration Obama, j'avais cru que j'en apprendrais un peu plus sur le rôle des banques centrales et que je comprendrais un peu mieux leur fonctionnement, leur pouvoir, leur marge de manœuvre et leurs options futures, tout comme son titre me portait à croire.
À la place de tout cela, je me suis farci un méli-mélo de phrases bien longues, dénuées de sens et d’obscures terminologies ficelées ensemble qui m'ont conduit 250 pages plus tard avec rien de compréhensible que je puisse ajouter à mon savoir. Au mieux du charabia et certainement une perte quasi totale de mon temps.
Une autre bonne leçon pour ne jamais juger un livre par sa couverture, par tous les compliments flatteurs écrits à propos de l'auteur et les étonnantes critiques trouvées sur le site Amazon et faites par des gens qui n'ont probablement pas eu l'intelligence, la ténacité, la patience et la détermination requises pour arriver au bout de cet essai stérile.
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