dimanche, novembre 16, 2008
Par quel bout attaque-t’on la crise financière ?
Après une autre réunion bien impressionnante à Washington, vingt représentants des pays ayant le plus d’influence sur l'économie mondiale n'ont pas apporté grand chose de nouveau. Bien sûr, avec Bush sur le départ et Obama pas encore prêt à participer pleinement au débat, personne ne s'attendait à une décision historique. Moi qui crois à des solutions simples à la plupart de nos problèmes, je pense seulement qu’un commandement tout simple, dans le genre « tu ne joueras pas avec les systèmes financiers » aurait facilement put être énoncé. À mon sens, tout investissement financier devrait être fondamentalement positif et de nature à décourager les formes de spéculation comme la vente à découvert, les produits dérivés, les paris sur les déboires d'autrui (CDS) quand il n’existe pas d'intérêt sous-jacent, et tout autres « produits financiers » qui ne sont pas positifs ou entièrement transparents. Cette boîte à outils remplie de « passe-droits » constitue un énorme parasite sur notre société et ne contribue pas à créer cette richesse dont elle a besoin. Si cette vingtaine de participants avait seulement proférés cet engagement, ils auraient contribué au nettoyage de 90% de ce qui a causé cette catastrophe financière, mais qui a jamais dit que le « courage » était un attribut propre aux politiciens ?
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