J'ai été critiqué pour mon blog à propos de la petite amie de Poutine qui se cache en Suisse comme étant un sujet trivial au milieu d'une terrible guerre, mais c'est l’exemple parfait d'un petit geste qui peut avoir d’énormes conséquences positives.
Voyons un peu : D’abord, malgré une sécurité personnelle lourde, cette femme et ses enfants sont susceptibles d'être kidnappés ou assassinés par un activiste désireux de faire pression sur Poutine. Comment vous sentiriez-vous si vous étiez le maire de, disons, Verbier, cette station de ski suisse huppée, si elle s'y cachait ?
Bien sûr, il y a des avantages économiques et prestigieux pour la station de ski à accueillir un tel VIP, mais cela peut aussi coûter beaucoup plus cher que cela pourrait apporter à la station de montagne, car après tout, nous parlons de la compagne et des enfants d'un terroriste.
Ensuite, si le gouvernement suisse devait dire à Poutine : "Écoutez, nous sommes préoccupés par la sécurité de Mme Kabaeva, pouvez-vous s'il vous plaît la ramener en Russie ?" Cela toucherait une corde sensible et ferait réfléchir Poutine à deux fois quand aux conséquences personnelles de ce qu'il est en train de faire subir à l'Ukraine.
Comme les russes arrivent à une impasse sur le terrain militaire, il serait important de faire pression sur le dictateur russe et s'il se fiche des milliers de soldats russes morts ou blessés, de le voir s'inquiéter davantage pour sa famille ; cela pourrait détourner une partie de son attention destructrice contre l'Ukraine.Dans une situation ou tous sont pris en otage, il n'y a pas de détail sans importance, et si cela peut faire plier Poutine, il faut utiliser cet argument à fond et surtout ne pas hésiter à s’en servir. Encore une fois, cela s'appelle un effet de levier.
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