Immédiatement après que les remontées mécaniques soient à l'arrêt pour la saison, j'ai descendu nos skis dans mon atelier afin de les réparer après un bel hiver, quoique considérablement raccourci.
J'ai commencé par réparer les semelles en comblant rayures et trous avec une bougie de P-tex. Beaucoup de sillons qui sautaient aux yeux pouvaient être associés à des circonstances imprudentes mais irrésistibles, dans lesquelles les conséquences sous les skis étaient rien par rapport au moment de plaisir qu’elle procuraient. Voyez ce que je veux dire.
Depuis, à cause du confinement, je me suis autant dispersé que découragé et j'ai laissé tomber le projet. Ma femme l'a remarqué et m'a gentiment rappelé que le travail n’avançait pas beaucoup. Hier, j'ai repris la tâche et réussi a aiguiser les carres sur une paire de ski. Le reste devrait désormais suivre …
En même temps, un de mes amis m'a envoyé ce message, une blague sur Internet :
«J'ai entendu le docteur à la télé dire qu'en cette période où nous sommes confinés par le coronavirus, nous devrions toujours terminer ce que nous commençons et nous pourrions tous profiter d’un peu plus de calme dans nos vies.
J'ai regardé un peu partout chez nous pour voir tout que j'avais pu commencer et que je n'avais pas terminé, et c’est là que j’ai fini une bouteille de Beaujolais, les trois-quarts d'une bouteille de Sancerre, la fond de la bouteille de Cointrop, un bouteye preske plene de rome, le tub des cachait de Valiom , tite la boîte da chakola.
Tete ranpa conte kom jme sante mintnan. Anvoassa a ceux cont besoin de pet intarieur. Dilar ketalezme. Toublipa tlavelaman prepreman. Kedie te protej !!! »
mardi, mars 31, 2020
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