Le promoteur qui prévoit de construire un projet immobilier sur les parcs de stationnement de Park City Mountain, a organisé ses premières journées portes ouvertes pour présenter au public local ce qui pourrait être l'un des plus grands projets que la ville de Park City pourrait avoir à considérer cette décennie.
J'ai assisté à l'événement lundi soir et, comme tout le monde, j'ai été stupéfait par la taille du projet.
Bien qu'il se composerai de quatre complexes répartis sur ce qui est aujourd’hui un parking de 1200 places, l’ampleur du projet me fait penser à au moins mille lits supplémentaires, sans compter le personnel nécessaire pour faire fonctionner l'ensemble, tenir les magasins, les restaurants et autres facilités, sans parler du trafic piétonnier et automobile supplémentaire que ce projet générera par lui-même.
Pourtant, le promoteur semble croire qu'en remplaçant simplement les 1200 places de parking sous terre et en ajoutant quelque 350, tout ira bien. Les places de stationnement actuelles sont déjà terriblement insuffisantes et l’immobilier envisagé nécessitera beaucoup plus les 350 places prévues.
En 2014, Deer Valley Resort, qui a une idée similaire de transformer ses parcs de stationnement en immeubles, envisageait de déplacer ses 1250 places de parking existantes en garage sous-terrain pour y accueillir un total d’environ 2100 voitures.
Le projet de Park City offrirait une autre occasion de se débarrasser de la majeure partie du trafic automobile skieurs visible, en le contenant sous terre avec de grande entrées et sorties à l'embouchure du complexe, et en organisant la circulation des véhicules sous l'ensemble de celui-ci.
J'ai proposé l'idée, mais, comme vous l’auriez deviné, on m’a répondu que cela coûterai trop cher. Bien sûr, la présentation à laquelle j'ai assisté n'est qu'une proposition qui sera examinée après deux autres réunions d’information prévues plus dans le mois.
Le projet sera ensuite présenté à la Commission d'urbanisme de Park City. Le temps de construction serait échelonné pour atténuer l'impact sur cette zone sensible, et prendrait 4 à 7 ans. Je pense que 10 ans serait un délai plus réaliste. Ceci dans le contexte d’un réchauffement climatique continu et de l'effondrement du marché boursier ...
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