Aller en Europe et en France est toujours remplit d'anticipation, mais revenir est toujours une autre paire de manches et reste une expérience assez éprouvante.
Nous nous préparons du mieux que nous pouvons pour le long vol entre Paris et Salt Lake City, mais observer le GPS à l'opposé de notre siège, c'est comme regarder l'herbe pousser.
Et puis, à l'arrivée, il reste encore l’émigration et la douane à franchir, avec toute la haute-technologie qui vient d’être introduite, pour nous rendre encore un peu plus confus.
Comment ais-je pu faire 26 allers-retours entre l'Europe et les États-Unis, tous dans la mème année, il y a juste 33 ans ?
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