mercredi, janvier 31, 2018

Dispensés du discours de Trump !

Hier soir, nous nous sommes délibérément passé du discours traditionnel sur l'état de l'Union, parce que nous ne pouvons pas supporter l'individu et aussi parce que nous savions dès le départ que nous n'apprendrions rien de neuf. Je ne suis pas non plus fan d'élucubrations hypocrites.
Le nombre de téléspectateurs qui ont regardé le premier discours de Donald Trump sur l'état de l'Union a légèrement diminué selon les sondages de Nielsen par rapport à la première adresse d'Obama (45,6 contre 48 millions).

Nous avons regardé une (bonne) comédie à la place et ce matin, avons lu et écouté tous les commentaires. C'est la première fois que nous agissons ainsi, et nous comptons répéter l'operation encore deux fois de plus (espérons-le), avant d'avoir un nouvel interlocuteur qui en vaut la peine.

mardi, janvier 30, 2018

L’intérêt renouvelé pour Big Cottonwood Canyon

Fin novembre, je suggérais que Park City Mountain (Vail Resorts) devrait acheter la station de Brighton (qui fait partie du groupe Boyne Mountain) ainsi que sa voisine Solitude, encore aux mains des familles Stern-Penske, pour assurer sa viabilité face aux changement climatique.

Aujourd'hui, cette stratégie devient d'autant plus pressante qu'Alterra, le nouveau concurrent de Vail Resorts, prends pied juste à coté, à Little Cottonwood Canyon, suite à l'alliance marketing qui vient d’être établie avec Alta et Snowbird.

Une liaison Park City-Brighton-Solitude ajouterait à l'expérience de ski en plus, bien sûr d'apporter cette assurance-neige si importante, et ferait beaucoup plus que contrebalancer la future menace d'Alterra.

Les questions qui se poseraient dans ce cas de figure, seraient de savoir si Boyne Mountain serait disposé à se séparer de sa petite station, si on peut assumer que les propriétaires de Solitude seraient ravis de s'en débarrasser et que Vail Resorts aurait suffisamment d'appétit financier pour envisager une telle acquisition.

lundi, janvier 29, 2018

Un futur affrontement iconique et épique

Le nouveau groupe de stations de ski Alterra semble sérieusement engagé à vouloir offrir au public un forfait saisonnier commun l'hiver prochain, pas juste limité à ses 12 propriétés, mais désormais étendu à 11 partenaires supplémentaires, pour un total de 23 stations.

Selon le porte-parole de l'entreprise, il ne faudrait pas non plus s'imaginer quelles stations - partenaires ou membres d'Alterra - offriront un ski limité ou illimité. Les détails de ce nouveau forfait, mis en vente ce printemps, devraient être expliqués au public au cours des prochaines semaines.

En résumé, les stations d'Alterra comprennent pour le Colorado, Steamboat et Winter Park. En Californie, Squaw Valley, Alpine Meadows, Mammoth Mountain, June Mountain et Big Bear. Au Vermont, Stratton, en Virginie-Occidentale, Snowshoe, au Canada Tremblant, Blue Mountain, et CMH Heli-Skiing, et enfin en Utah, Deer Valley Resort.

En ce qui concerne les partenaires de ce forfait baptisé « Ikon », il s'agit pour le Colorado d'Aspen Snowmass, Copper Mountain et Eldora. Au Wyoming, Jackson Hole, au Montana, Big Sky, en Utah, Alta et Snowbird, au Vermont, Killington, au New Hampshire, Loon Mountain et dans le Maine, Sunday River Maine et Sugarloaf. 
Ce qui est intéressant, est qu'en Utah, Solitude qui faisait autrefois partie de Deer Valley n'a pas ete retenu au titre de partenaire. Quelles peuvent-être les conséquences d'un tel programme pour Park City?

Probablement encore plus de monde et plus de circulation en ville avec l'addition des habitant de la vallée de Salt Lake qui ont leurs forfait de ski à Alta et Snowbird, certainement d'avantage de visiteurs éloignés en provenance de la côte Est avec des forfaits de ski à Blue Mountain, Killington, Loon Mountain, Tremblant, Snowshoe, Stratton, Sugarloaf et Sunday River, ainsi que des skieurs californiens comme nous l'avons vu avec le forfait « Epic » de Vail Resorts.

Tout cela dépend bien sûr de ce qu'il y aura dans ce nouveau forfait « Ikon ». Encore une fois, les détails de ce programme nous permettrons de mieux comprendre l’étendue et la portée de l'offre et il est difficile de ne pas imaginer que Vail Resorts avec son forfait « Epic » devra réagir de manière énergique face à ce mastodonte inattendu !

dimanche, janvier 28, 2018

Le vieil homme et le ski




















Soyons brutalement honnêtes,
Soixante-dix ans nous hisse dans la vieillesse.
Pourtant, l'esprit reste tout jeune
Remplit de souvenirs inoubliables
Et d'un trésor d’expériences.
Sans aucune raison d'arrêter,
Skier est en notre for intérieur,
Toujours aussi irrésistible qu'avant.
Seul l'ancien « châssis » sent l'âge.
La suspension devient rigide
Chaque repli de terrain lui rappelle,
La motricité diminue elle aussi,
Forçant ainsi le vieux skieur
À rechercher le meilleur chemin
Pour toujours skier en confort
Et en restant l’allié de la vitesse
Qui fait maintenant tout le travail.
L'âge ne met pas fin au ski,
Il l'affine juste un peu plus ...

samedi, janvier 27, 2018

Au volant avec Médor

Si je vous dis que les chiens à Park City sont comme des vaches sacrées en Inde, je me répète sûrement.

Il est en effet assez fréquent de voir des conducteurs (surtout des femmes) au volant avec leur cabot sur les genoux. Je pense que cette pratique est irresponsable, dangereuse et idiote et cela m'a incité à vérifier si c'était légal en Utah, là où j'habite.

Eh bien, il n'y pas de loi contre, semble-t-il. Tout comme nous avons le droit de conduire pieds nus (comme le faisait Françoise Sagan) ou d'empiler des passagers sur le plateau découvert d'une camionnette.

Pour en revenir aux chiens « au volant », je pense que la pratique est au moins aussi dangereuse que de faire textos ou d'avoir un portable collé à l'oreille, et probablement plus dangereuse encore si l'animal saute soudainement un plomb, ou le véhicule doit s’arrêter pile.

Un seul état, Hawaï, interdit aux conducteurs d'avoir un animal sur les genoux ou dans les parage immédiats.

Le New Jersey accorde un peu plus d'attention au problème et peu coller des amendes allant jusqu'à 1 000 dollars s'ils ont un animal de compagnie dans leur proximité qui peut gener la conduite.

Quand au Connecticut, les conducteurs qui ont des animaux de compagnie auprès d'eux peuvent aussi être passible d'un P.V., mais le reste du pays semble se ficher complètement du danger potentiel.

J'ai probablement manqué le passage, mais la stupidité doit être gravée dans le texte de notre constitution.

vendredi, janvier 26, 2018

Un cadeau bien approprié

Une semaine en arrière, mon épouse avait trouvé, devant notre porte d’entrée, un sac à provisions en toile plastifiée que quelqu'un avait déposé là après avoir sonné à la porte.

Je l'avais alors remarqué en rentrant du ski, l'avais examiné et n'avait pu voir en l'absence d'une adresse, d'un numéro de téléphone ou d'un site Web, la marque « Foodland » que j'avais pris pour « Foodtown », un nom assez connu dans la région, et j'avais alors assumé que quelqu'un l'avait déposé là pour promouvoir une petite épicerie du même nom située à 25 km de Park City.

Étrange promotion, quand on sait que nous avons déjà 6 grandes épiceries dans un rayon de 13 km autour de notre maison.

Apparemment sans lien avec ce sac mystérieux, nous avions aussi aidé des voisins alors qu'ils étaient partis à Hawaï pendant les vacances de Noël et du Nouvel An. Plus précisément, nous avions accepté de nourrir leur chat et de ramasser leur courrier.

J'avais également complètement déneigé l’entrée de leur maison après qu'une quarantaine de centimètres de neige soient tombés. J'adore déneiger, j’étais ravis de faire une bon geste et pensais que notre voisine apprécierait en rentrant chez elle, avant son mari, le 1er Janvier.

Quand les deux furent finalement revenus, nous n'avons jamais entendu un seul mot de l'un ou de l'autre. Pas de coup de fil, pas de SMS (comme ils le font habituellement), rien du tout. Comme c'est moi qui avait fait le boulot, je me suis même demandé si j'avais fait quelque chose de mal et si leur silence était leur façon à eux d'exprimer leur insatisfaction.

Quoi qu'il en soit, mercredi dernier, alors que nous nous promenions dans le quartier, nous avons rencontré le mari qui a arrêté sa voiture pour nous demander si nous avions bien trouvé « le sac », sans toutefois nous remercier pour le service rendu, et nous avait parlé de « musubi » qui semblait être un met délicieux. (en fait, le musubi est un snack populaire à Hawaii fait d'une tranche de gras grillé sur un bloc de riz, enveloppé d'algues).

Au début, nous étions un peu perplexe, et finalement nous avons soudainement réalisé qu'il s'agissait de ce sacré sac fourre-tout. C'est ainsi que j'ai lâché : « Oui, nous avons trouvé le sac, mais il était vide » pensant entre autre chose à ce délicieux « musubi » qui aurait pu s'y trouver et insinuant ainsi que ce sac à provisions plastifié bon marché, qui coûte généralement moins d'un dollars, n’était pas cher payer pour le service rendu.

Il a simplement répondu: « Non, il y avait juste un morceau de carton pour rigidifier le fond ! » J'ai juste hoché la tête et nous avons reprit notre marche ...

jeudi, janvier 25, 2018

Mon idée de mur mexicain

Tout autour de San Diego, en Californie, un certain nombre de prototypes du mur que Trump veut construire entre les États-Unis et le Mexique sont en cours d’évaluation.

Aucun des modèles que j'ai vus ne me semble suffisamment efficace et assez bon marché pour qu'un finaliste se dégage du lot. C'est pourquoi j'ai décidé de développer et de proposer mon propre prototype de « mur ».

Mes principes sont assez simples: Rendre tout franchissement de la frontière suffisamment dissuasif sans que cela coûte la peau des fesses.

Mon prototype, illustré ici, est fait de toile nylon retenue par des poteaux en bambou et le message imprimé, bien que varié s'il le faut, doit être suffisamment répulsif.

Bien sûr, le tissu peut être recyclé en sacs à provisions et le bambou en planchers à la mode. Le coût total pour couvrir la distance de 3 201 km avec ce petit bijou fabriquée en Chine, y compris installation par une main-d’œuvre mexicaine, est en dessous des 15 millions de dollars, et celui-ci sera certainement pris en charge par le gouvernement mexicain, comme l'avait promis Trump !

Qu'en pensez vous ?

mercredi, janvier 24, 2018

Quand on skie sur l'intérieur ...

Que le nom soit Mikaela Shiffrin ou le vôtre, se retrouver sur le ski intérieur n'est jamais une bonne idée. L’invincible skieuse américaine a mordu la poudreuse hier, en attaquant un peu trop et en oubliant qu'elle avait un ski extérieur.

Parfois, ça m'arrive, ça vous arrive sûrement et ça arrive à tout le monde. Nous voilà donc à égalité avec les meilleurs skieurs mondiaux. Appelez cela « solidarité sur les planches », si vous voulez.

L’idée est que ce genre d'incident vous arrive le plus rarement possible, et si jamais il devait se produire, que cela ne dure pas trop longtemps avant que votre corps bascule, impuissant, au centre du virage comme les statues de Lénine ou de Saddam Hussein ont basculé au milieu de la grande place quand elles ont été séparés de leur piédestal.

Un simple fait qui nous rappelle que le ski n'est pas du tout un sport intuitif et que, lorsqu'on est embarqué sur une paire de planches, il faut toujours bien se rappeler d'exécuter certains mouvements essentiels, surtout quand on va très vite !

mardi, janvier 23, 2018

Temps de changer les amortisseurs ?

Quand j'étais encore assez jeune, je me jouais de tout et pouvais absorber presque n'importe quoi quand des bosses et des obstacles en tout genre se présentaient sous mes skis, mais en vieillissant, mes évolutions sur neige ne sont plus tout à fait aussi coulées qu'avant.

J'ai tendance à mettre cela sur le dos de ma flexibilité qui s'en va et j'ai sûrement raison. Avec des un cortège d'autres problèmes, la vieillisse porte un sacre coup à la flexibilité, et ceci est essentiellement causé par tous les changements qui affectent nos tissus et qui se combinent avec l'arthrite.

Cela veut dire que mes genoux, hanches et autres articulations doivent supporter d'avantage de stress pendant le ski, au lieu de dissiper tous les impacts sur les tissus absorbants, tel que les muscles, les tendons, les ligaments et le cartilage, comme c'etait le cas quand j’étais jeune.

À moins de me payer une nouvelle paire de jambes, je présume qu'il va falloir me cantonner à un terrain plus lisse ou skier un peu moins .. Je crois que je vais choisir la seconde option !

lundi, janvier 22, 2018

Faites le plein !

Il y a cinquante ans aujourd'hui, je pompais du kérosène dans de vieux avions de chasse français sous un mistral vent violent dans une base aérienne située tout près de Marseille.

Chose que peu de gens savent, ces avions subsoniques appelés Mystère IV, fabriqués par Dassault, avaient été commandés en 1952 par le gouvernement américain qui en avait fait cadeau à l'armée de l'air française.
Un total de 411 avions avaient été fabriqués et ceux qui traînaient encore étaient utilisés pour l’entraînement les professeurs-officiers de l’école de l'air à Salon de Provence.

Bien qu'en plus des « pleins » je travaillais sur la mécanique aéronautique, je n'aimais pas ce travail d'entretien, mais il y avait encore de pires occupations dans l'armée de l'air française.

J'utilisais mon temps libre à apprendre l'anglais et à prendre des leçons de pilotage de planeur à la Crau, dans les Alpilles toutes proches, les seuls avantages marginaux que je pouvais tirer d'une activité que je détestais.

dimanche, janvier 21, 2018

Quand la neige arrive tard

En arrivant en retard hier, le 20 janvier, mais en grosse quantité, la neige nous a appris - une fois de plus - à être extrêmement patient et à ne jamais s'attendre à une couverture de neige abondante dès le 1er novembre.

Tout cela m'a rappelé ma première saison en qualité de moniteur de ski à Avoriaz, pendant cette extraordinaire saison d'hiver qu’avait été 1969-1970.

Celle-ci avait pourtant commencé sans neige (on ne connaissait pas encore l'enneigement artificiel) et en tant que jeune moniteur il n'y avait pas de travail pour moi, j'avais donc trouvé un emploi pour gagner quelques Francs, en faisant des travaux d'isolation dans le restaurant d'altitude qui s'appelait "Le Petit Pin ".

La neige n’était arrivée en quantité que le 16 janvier, et quand elle s'est mise à tomber, cela ne s'est pas arrêté avant le début mai, quand on comptait alors près de six mètres d’épaisseur.

Est-ce que ce sera pareil cette saison ? Qui sait ? L'espoir est éternel.

samedi, janvier 20, 2018

Dur d'avoir un énorme domaine skiable ...

Les plus grandes stations de ski offrent plus de terrain, plus de pistes de ski, mais nécessitent également beaucoup plus d'enneigement artificiel lors d'une année de sécheresse comme celle que nous connaissons dans les Rocheuses en ce moment.
Sans compter Deer Valley, c'est le cas de Park City Mountain et de son domaine skiable de 3 000 hectares et ses 348 pistes. Aujourd'hui, alors que nous arrivons à fin janvier, seulement 1 000 hectares et 148 pistes sont ouverts, principalement grâce au travail acharné des opérateurs de canons à neige.

Quelles leçons devrions-nous tirer de cette saison sans neige que nous n'avions pas vu en un peu plus de quarante ans ?
  • D'abord, il semble que l’étoffement de l'infrastructure en neige de culture est essentiel. D'avantage de canalisations pour amener eau et air comprimé, plus de stations de pompage et de compresseurs, une captation d'eau améliorée et un bon entretient de l'ensemble du réseau. 
  • Ensuite, il est indispensable de mieux préparer les pistes et le reste du domaine skiable en enlevant pierres et rochers, tous buissons envahissants, arbres abattus et autres souches pour avoir un maximum de terrain prêt à recevoir les skieurs quand la couverture de neige est encore minimale. 
  • Enfin, nos stations de ski devraient se mettre systématiquement à produire autant de neige que possible dès que les température deviennent suffisamment basses, à moins qu'il y ait une abondance de neige naturelle, et ne jamais prendre de risques en espérant que la nature sera providentielle. 
 Je pense que c'est tout.

Wow ! Mes prières ont été entendues. il neige maintenant comme en plein hiver !

vendredi, janvier 19, 2018

Que faire avec les amis Facebook décédés ...

À mesure que le temps passe et que nous vieillissons, nous sommes tous à la merci de perdre nos amis Facebook.

Au delà de la tristesse et du chagrin qui accompagnent tout décès, il me semble qu'il devrait y avoir une meilleure compréhension de ce qui doit être fait pour accompagner le départ de ces personnes, que ce soit sur Facebook ou sur d'autres réseau sociaux.

J'ai déjà perdu quatre amis Facebook et trois d'entre eux sont resté un cours laps de temps en ligne avant que leur famille proche ferme leur compte. Mieux encore, Facebook offre la possibilité de transformer celui ci en site commémoratif (voir photo), mais il semble que peu de familles le font.
À moins d'exercer cette option, il me semble qu'il y ait un coté à la fois voyeuriste et morbide en maintenant une présence normale en ligne, longtemps après que la personne soit décédée.

Aujourd'hui, après plus d'un an que mon quatrième «ami» soit décédé, j'ai décidé qu'il était temps de le retirer de ma liste d'amis. Qu'auriez-vous fait à ma place?

jeudi, janvier 18, 2018

Les courses de ski et moi

Même si j'aime regarder les courses de ski à l'occasion (encore que je ne regarde que le ski alpin), j'ai toujours eu une relation ambivalente avec le ski de compétition. Je ne pense pas que cela représente vraiment le ski ; c'est juste une extension du sport qui de plus, est trop artificielle.

Pour moi, le ski est une activité qui commence sur une toile vierge qui se remplit au fil des pérégrinations du skieur, en fonction de l'humeur du jour, de la météo, de la qualité et de la quantité de neige, des paysages, des passages accessibles, des variations infinies de terrain et des surprises en tout genre.

Tout est largement imprévisible, le changements se développent de manière inattendue et aucune sortie de ski n'est jamais tout à fait la même expérience. Pour moi, c'est une aventure totalement imprévisible est c'est bien ce que cela devrait être.

En revanche, le ski de compétition est un ersatz trop rigide et assez éloigné de ce trésor de variété que nous apporte le ski ...

mercredi, janvier 17, 2018

Déclarons la guerre à la végétation !

Quand la neige est rare, comme cette saison, la préparation des piste compte énormément, car une pente assez douce sans le moindre obstacle peut être ouverte avec un minimum de neige. 
Je pense qu'il est temps que nos stations de ski locales se remuent les fesses et déclarent la guerre aux buissons et autre pousses végétales qui envahissent nos pistes.

Vous savez de quoi je parle, ces brins d'arbustes, ces pousses et autres tiges en tout genre qui ne cessent d'envahir les pentes saison après saison, créant un environnement souvent plus intimidants que dangereux pour les skieurs mais constituant souvent une véritable barrière psychologique jusqu'à ce que la neige s’accumule suffisamment, ou que toute cette végétation soit coupées à coup de carres répétées.

Je pense que les stations devraient faire appel à une brigade de volontaires armée de machettes et de pinces coupantes. En contrepartie, ces braves âmes pourraient être récompensées avec un forfait de ski gratuit ...

Une idée à méditer !

mardi, janvier 16, 2018

La marge de réussite

Certaines personnes éprouvent des succès occasionnels que ce soit dans le sport, les affaires, la politique ou simplement dans leur vie quotidienne.

Parfois c'est sporadique (les spectateurs disent alors « c'est de la chance », et ils ont probablement raison, « c'était écrit » ou « bien mérité », ce qui souvent est assez fataliste).

Parfois leur façon de gagner si régulièrement est telle, qu'après les premiers applaudissements, leur succès devient vite un irritant.

Cela semble juste injuste, n'est-ce pas ? Voici là une réaction bien naturelle, sauf que lorsque nous y regardons d'un peu plus près, ces gens ont tous un énorme élément en commun. C'est ce que j'appellerai une énorme marge de cet ingrédient majeur qui est essentiel à leur succès continu.
Ne vous y trompez pas, cette réserve aux pouvoirs magiques n'est pas apparue instantanément du jour au lendemain ; elle a été cultivée sans relâche pendant très longtemps et maintenue au prix d'une stricte discipline, d'efforts constants et de standards de vie bien au dessus de la moyenne, à tel point qu'elle est devenue ancrée de façon indélébile chez ces individus et qu'elle ressemble à une caractéristique innée.

C'est exact, personne ne peut voir cette vie cachée d'efforts et des sacrifices qui ont conduit au succès que connaissent ces personnes, et ces mêmes observateurs sont incapables d'apprendre la leçon silencieuse que racontent ces vies exemplaires.

lundi, janvier 15, 2018

Secouristes en snowboards ?

Imaginez la situation: vous vous êtes gravement blessé en skiant sur un terrain extrêmement difficile, près du sommet d'un massif montagneux, un traîneau a été appelé pour vous évacuer, et quand il arrive, il est guidé par deux patrouilleurs en snowboard.

Qu'est ce qui vous passe par la tête ?

Si j'étais le blessé, j'aurai encore beaucoup plus peur. Ce n'est pas que je n'aurai pas confiance aux deux lascars venus me tirer d'affaire, mais plutôt en leur capacité à contrôler leur matériel sur un terrain très accidenté et réussir à m'emmener à bon port en toute sécurité.

Vous voyez, cette image toute simple évoque bien ce que nous savons et ce que beaucoup d'entre nous avons observé à propos du snowboard.

Cette forme de glisse alternative n'a rien à voir avec le ski et ne l’égalera jamais.

Il y a trop de limites liés à ce type de glisse et, sans faire la liste de toutes ses lacunes techniques, rien ne pourra battre le ski tant que neige et montagnes coexisteront !

dimanche, janvier 14, 2018

Skier comme... un septuagénaire !

Quand j’étais juste dans la cinquantaine ou même la soixantaine, je ne m’étais jamais vraiment imaginé que je skierais encore et que j'aimerai toujours ça après mon 70ème anniversaire.

Hier, alors que je faisais les derniers virages de ma 30e journée sur les planches cette saison, j'essayais de faire le résumé de l'effet que je ressentais en skiant au delà de mes 70 ans.

Je dois dire que rien n'a vraiment changé ; le plaisir est toujours là dans son intégralité, mon corps n'a pas de problèmes à accuser les bosses, les transitions et autres décélérations, la vitesse n'est plus tout à fait ce qu'elle était, mais reste quand même présente car elle m'aide énormément à faire les quelques virages qui sont absolument nécessaires ; en plus, le désir de retourner skier demain reste aussi intense que jamais.

Donc, si vous n'en n'êtes pas encore à mon stade de décrépitude, réjouissez-vous; il vous reste encore beaucoup de plaisir à skier et je reste convaincu que je skierai encore « mon âge » cette saison !

samedi, janvier 13, 2018

Cours de ski statique

Récemment, je parlais avec un vieux copain qui a fait toute sa carrière dans la ski, de l'école de ski à un poste de cadre, puis de consultant, de testeur et de coach personnel.

Il évoquait de son nouveau concept de « basculer dans le virage » au lieu de s'appuyer sur le stem et autre transferts de poids. Je connais très bien toute cette théorie qui marche à merveille sur le papier ou dans des livres, mais où les ingrédients manquants - que les théoriciens semblent toujours oublier - sont l’énergie cinétique et la vitesse.

J'ai essayé d'expliquer cela ad nauseam, la vitesse et l'élan sont le ciment ou le « truc magique » qui rend possible le passage de cette explication technique à une réalité pratique. En l'absence de vitesse, rien ne se passe.

Le stem ou le transfert de poids ont un rôle clé à jouer dans des circonstances de neiges et de terrains spécifiques et, bien sûr, à faible vitesse. Le carving ou toute technique de course moderne nécessite avec une grande vitesse et beaucoup d'élan, souvent hors de portée pour la plupart des skieurs.

Si ce n'est par le biais d'une pratique et d'un kilométrage intensif, ces skieurs ne pourrons apprendre ces sensations et ces techniques que par des exercices lents et progressifs qui sont toujours ennuyeux car ils doivent d'abord être pratiqués sur des terrains plats et sans intérêt.

Au bout du compte, personne n'a la patience, le temps ou même l'argent pour les mettre en œuvre et seulement un très faible nombre d'entre eux finissent par maîtriser ces techniques difficiles à assimiler.

vendredi, janvier 12, 2018

Chassé-croisé à ski

Mercredi dernier devait s’avérer la meilleur journée d'une saison de ski bien décevante, jusqu'à présent à Park City. La neige était douce et le ski était excellent compte-tenu des circonstances.

Je me trouvais à Park City et m’apprêtais à dépasser ce qui d’après la couleur de leurs vêtement et leur corpulence semblaient être deux jeunes femmes qui descendaient devant moi sur une section assez étroite, bosselée et truffée de petits buissons, juste en dessous du télésiège qui s'appelle « 9990 ».

J'en dépassais une sans trop de difficultés, mais n’arrivais pas à dépasser la seconde qui, de toute évidence, skiait incroyablement vite et bien. Finalement, au moment où j'arrivais péniblement à son niveau, celle-ci s'est arrêtée pour attendre sa compagne et en tournant la tête, j'ai réalisée que cette « fille » avait une grosse barbe, et que chacune devait être âgée autour de 30-40 ans!

Je me suis soudainement sentis rassuré !

jeudi, janvier 11, 2018

Nos vendeurs d'immobilier

Le système de ventes immobilière américaine est si pourri qu'il n'attirent quasiment que des vendeurs peu scrupuleux, et je présume que seulement un pour cent d'entre eux sont des gens de confiance.

Cela dit, ces quelques bons vendeurs ont sans doute du mal à s'en sortir, car ils sont trop honnêtes et éthiques dans une environnement professionnel où la culture est avant tout « roublarde ».

De plus, sa façon de procéder est fondamentalement dévoyée car la règle du jeu est de faire une commission par tous les moyens, même si la transaction n'est pas dans l’intérêt du client.

Une récente expérience avec l'un de ces «professionnels» des plus douteux est un autre rappel qu'il faut les éviter à tout prix !

mercredi, janvier 10, 2018

Leçon de géographie

Dimanche dernier, je montais au télésiège en compagnie d'un snowboardeur de ... Vladivostok!

Ce russe était « juste » aller visiter des amis en Floride et avait un petit détour rapide jusqu'à Park City pour venir nous voir. Nous avons bavardé et nous avons eu cinq minutes de plus de conversation pendant que la remontée s’était arrêtée pendant ce laps de temps.

Il a été assez surpris d'entendre que je savais où se trouvait Vladivostok, quand je lui ais dit que ce port était le point d'entrée de toutes les voitures japonaises d'occasion avec leur conduite à gauche, et qui finissaient leur carrière routière aux mains des sibériens.

Il m'a dit qu'il n'avait jamais fait de snowboard en Europe, mais qu'il allait surtout au Japon, qui n'est qu'à seulement une heure et demie de vol de Vladivostok et qu'il aimait bien la station d'Hakuba 47, un endroit que je connais et ou j'ai skié dans le passé. Il allait aussi faire de l’hélico à Kamchatka et allait aussi à Sochi.

Quand je l'ai ai posé des questions sur sa ville, il m'a dit qu'il y faisait très froid et que c’était toujours très ventu en hiver, et que c'était un centre de l'industrie lourde avec beaucoup d'anciennes usines de l'URSS toujours fermées ... Petit monde en effet!

mardi, janvier 09, 2018

Visualiser le tracé avec deux mains

Mikaela Shiffrin est tout à fait exceptionnelle.

Je me suis régalé à la regarder skier cette saison et gagner avec sa technique de ski à la fois parfaite et légère.

Ce que j'ai remarqué l'autre jour, alors qu'elle mémorisait manuellement son tracé en attendant dans l'aire de départ, c'est qu'elle fait cela avec les deux mains comme si chacune d'entre elles était l'un de ses skis, et tout ça en appliquant la bonne pression et une prise de carre parfaite sur chaque planche.

La plupart des autres skieurs font cela d'une seule main. Un petit détail qui en dit long et qui rajoute encore un petit avantage supplémentaire à son avance époustouflante ...

lundi, janvier 08, 2018

Attends-nous, France Gall !

Avant que que j'ai vingt ans et que je devienne « accro » de la musique anglo-américaine, j'étais à fond dans la musique populaire française.

Adolescent, j'avais le béguin pour la chanteuse France Gall et ses chansons d'amour fraîches et toutes simples. Elles étaient directes, sans prétention et avaient conquis mon cœur encore bien innocent, superficiellement d'accord, mais touché quand même. Comme j'avais quitté la France en 1977, je n'ai jamais bien suivis sa carrière après son marriage avec Michel Berger.

J'ai aussi appris que France Gall avait inspiré « Comme d'habitude » la chanson de Clo-clo qui allait devenir le succès mondial « My Way » de Frank Sinatra ; pourquoi pas ?

À 70 ans, France Gall avait juste mon âge quand elle est morte à Paris. RIP ...

dimanche, janvier 07, 2018

Où est le reste de l'équipe de ski alpin américaine ?

Mikaela Shiffrin est-elle l'arbre qui cache la forêt ou un bien un immense désert ?
C'est ce qu'un observateur pourrait croire, alors que Lindsey Vonn reste en retrait préparer les prochains J.O. et que Ted Ligety a de gros pour revenir à ce haut niveau qu'il avait en slalom géant, avant son absence liée à sa blessure et ses opérations.

Le problème, pour moi, c'est l'incapacité des dirigeants alpins et des entraîneurs américains à faire filtrer le talent des ses « stars » auprès de ses futurs coureurs. Comparez cela avec l'Autriche, l'Italie, la Suisse et les pays scandinaves ...

De toute évidence, la direction du ski alpin aux États-Unis ne contrôle pas le développement de ses équipes ou est terriblement incapable de bâtir une équipe solide derrière quelques coureurs incroyablement exceptionnels.

On pourrait presque dire la même chose à propos de l’équipe de France.

Où sont les responsables de ce gâchis ?

samedi, janvier 06, 2018

Vieux patriarches en tête de religions

Après le décès de Thomas Monson, président de l'Église mormone, Russell Nelson, âgé de 93 ans, devrait le remplacer et devenir le 17e chef de file de cette foi assez spéciale.

Tout comme les vieux vins de cépages renommés, ou notre cher Donald Trump, les très vieux dirigeants masculins semblent etre la formule de choix dans toutes les religions.

Je sais de quoi je parle en tant que nouveau septuagénaire ; regardez par exemple Ali Khamenei, 79 ans, le pape François, 81 ans ou Tenzin Gyatso, le 14e dalaï-lama et ses 82 printemps...
Cela me semble très vieux, mais qui suis-je pour juger, moi septuagénaire tout frais ?

De plus, les femmes sont plutôt rares dans les hautes sphères de la foi religieuse et cela ne contribue pas non plus à la crédibilité des religions.

D'accord, comment parle de crédibilité dans un domaine ancré dans l'irrationalité comme le sont toutes les religions ? J'aurais dû y penser avant de commencer à écrire ce blog !

vendredi, janvier 05, 2018

Park City Mountain pourrait faire beaucoup mieux !

Après l’entrée en matière tonitruante de Vail, il y a deux ou trois ans en achetant Park City, il semble maintenant que Park City Mountain (PCM) dort sur ses lauriers et semble assez heureuse de son propre statu quo.

Voici quelques observations faites au hasard en ce début de saison : D'accord, la nature n'a été bien généreuse, mais PCM ne s'est pas démené assez vite dans la saison pour fabriquer des tonnes de neige quand c’était possible. Au lieu de cela, PCM nous ont donné l'impression de « jouer le temps », en espérant que des chutes de neige naturelles providentielles et importantes boucheraient les trous.

L'infrastructure et la capacité de fabrication de neige artificielle sont-elles à la hauteur à PCM ? J'en doute fort ; en tout cas, elle ne semblent pas arriver à la cheville de ce qui se fait à Deer Valley.

En même temps, et tout récemment, PCM a annoncé ses projets d'investissements pour 2018 et à part un nouveau quad débrayable aux Canyons remplaçant un vieux télésiège à pinces fixes pour débutants, ainsi que quelques améliorations dans ses restaurants, rien à l'horizon pour fabriquer d'avantage de neige artificielle et remplacer les vieux télésièges du type « tiers-monde » sur la station de Park City, comme Thaynes, Jupiter, Pioneer et Town Lift. Pas rejouissant du tout !

Enfin, il y a l'organisation des files d'attentes et l'horrible système que nous a imposé Vail. Au lieu d'avoir trois employés en train de bavarder au pied de Silverlode (ou Payday, Bonanza, etc.), faire en sorte que l'un d'entre eux s'assure que les chaises sont remplies à pleine capacité.

Pour changer, pourquoi ne pas commencer 2018 comme s'il y avait une petite lueur d'intelligence dans les grands plans de PCM et Vail Resorts!

jeudi, janvier 04, 2018

Une occasion de changer l'Utah

Le vieux politicien professionnel Orrin Hatch a finalement jeté l'éponge. Il a été désavoué par le Salt Lake Tribune, un des deux grands quotidiens d'Utah et s'est rendu compte qu'il était fichu.

Maintenant, la question est de savoir qui va le remplacer. Jenny Wilson, une conseillère municipale du Comté de Salt Lake avait dit qu'elle se présenterait en tant que Démocrate pour ce siège en 2018, et il fort probable que Mitt Romney annoncera bientôt son intention de représenter le parti Républicain.

Il me semble que si Jenny était vraiment sérieuse, elle devrait faire parler d'elle maintenant et commencer par définir qui elle est et ce qu'elle représente, avant que Mitt ne le fasse pour elle.

Elle tient en ses mains le pouvoir de démystifier l’idée selon laquelle le parti Démocrate est le parti pro-avortement et d'expliquer que ce qui compte, c'est avant tout de prendre soin des enfants en leur fournissant une bonne éducation et de bons soins de santé.

Elle serait idéale pour communiquer cela. Son silence ou son absence ostentatoire en tout début du débat ne vont pas l'aider dans la bataille difficile qui s'annonce.

C'est maintenant qu'elle doit se manifester en commençant à se battre de toutes ses forces !

mercredi, janvier 03, 2018

Moins de neige pour plus cher

Avec bien peu d'aide naturelle, nos stations de ski locales ont du pain sur la planche. D'avantage de frais d'exploitation (neige de culture) et un peu moins de visiteurs.

Pourtant, celles-ci n'ont pas fait de cadeaux avec le prix de leurs forfaits. Aujourd'hui, le forfait coûte 120 euros à Park City tout comme à Deer Valley ! Pire encore à Vail où il coûte 140 euros.

Je me demande comment ces stations sont arrivé à ces prix pour le moins exorbitants. Aujourd'hui, Park City n'a que 18 pour cent de ses pistes et de son domaine skiable ouverts, tandis que Deer Valley, station beaucoup plus petite, n'a que la moitié de ses pistes ouvertes au public.
Tout cela me semble bien cher. Oui, je suppose que c'est ce que l'on peut être tenté de faire quand on raisonne à très, très court terme avec un « public captif », mais cela pourrait avoir des conséquences très surprenantes dans le futur ...

mardi, janvier 02, 2018

S'amuser sur un minimum de neige

En cette 33e saison d'hiver à Park City, je n'ai jamais vu si peu de neige. Aujourd'hui, Park City n'a seulement que 18 pour cent de son domaine skiable ouvert.
Je crois savoir que 76-77 avait été presque aussi mauvais, mais cet hiver cela ne m'a pas empêché de chausser déjà 21 fois.

C'est assez remarquable que sur la neige, le plaisir n'est pas toujours lié à son épaisseur. En fait, j'irai jusqu'à dire que plus la couche de neige est mince, plus cela nous pousse a y rechercher du plaisir dans les derniers retranchements et à en profiter davantage.

Cet effort n'est pas non plus sans améliorer notre technique et au final, nous aide à découvrir davantage de possibilités quand on s'attendait à presque rien. Une leçon qui va bien au-delà du domaine plutôt étroit qu'est le ski.

lundi, janvier 01, 2018

Entre souhaits et action

Le premier de l'an est ce jour traditionnel où il est de mise de souhaiter le meilleur à nos amis, à notre famille et à nous-mêmes, tout au long de la nouvelle année.

Cette bonne intention est tout à fait compréhensible, mais elle ne peut et n'apportera pas à elle seule tout ce que peuvent exprimer nos souhaits les plus sincères, et en tant que telle, est terriblement impuissante, tout comme la prière sur n'importe quelle chose que nous ne pouvons pas contrôler. Le simple fait de souhaiter ne fera donc pas bouger les choses.

C'est probablement pourquoi les résolutions du nouvel an sont apparues. Naturellement, celles-ci sont généralement si personnelles, si éphémères et prises sous l'influence d'un environnement festif et « lubrifiées » par l'alcool qu'elles finissent par ne pas tenir et alors qu'elles devraient affecter nos vies privées, elles n'ont que des effets minimes sur notre société et notre environnement en général.

C'est aussi une des raisons pour lesquelles il vaut mieux se demander comment faire notre part pour changer les choses qui peuvent amener des progrès autour de nous.
Appelez cela changer le monde si cela vous fait plaisir, mais c'est une résolution que nous pouvons tous prendre en fonction de nos capacités, de notre créativité et de notre bonne volonté en entreprenant une action – fut-elle toute petite - à la fois !