Il y a quarante ans, je finissais mon second stage à Tübingen, en Allemagne, où j’étais retourné pour y parfaire mon allemand. C’était en fait la dernière pièce du puzzle qu'il me fallait compléter afin de postuler pour un « vrai travail » dans l'industrie du ski.
Je me débrouillais pas mal en anglais, arrivait à baragouiner un peu l'italien et ma connaissance de la langue allemande allait être la cerise sur le gâteau. J'avais absolument besoin d'un boulot à l'année et je ne voulais surtout pas être un détaillant ou restaurateur. De plus, j’étais allé au bout de ce que je pouvais faire à l'école de ski d'Avoriaz.
Rétrospectivement, jouer mon « va-tout » sur l'apprentissage des langues aura été la meilleure chose que je puisse faire à ce moment-là et ce pari a payé au delà de mes rêves …
mercredi, mai 28, 2014
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