Dans une récente interview parue dans L’Équipe Magazine, on demandait à Killy si son travail de promotion aux États-Unis après sa victoire Olympique n'était pas trop stressant.
Il a répondu:
« Je ne pensais pas que ce serait aussi dur. Mais je savais pourquoi je le faisais, que tout cela déboucherait sur un confort financier qui débloquerai toute ma vie. Et me rendrait ma liberté. Je n'ai jamais aimé l'argent pour l'argent. Seulement pour la liberté qu'il procure. Toute ma vie s'est construite sur cette obligation, être libre de dire oui ou non. »
Bien sûr, nous avons tous des « patrons » et ceux-ci peuvent prendre des formes très diverses, mais assurément, ne pas être trop dépendant de l'argent donne des ailes. La richesse reste une notion relative qui - passé un certain seuil - a peu de choses à voir avec des montants spécifiques ; tout cela est d'avantage conditionnée par un style de vie personnelle, mais être libre de « devoir beaucoup » nous libère d'un énorme joug.
Quelque chose qui vaut vraiment la peine de développer à titre personnel ...
mardi, mai 27, 2014
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