Au cours de cette campagne présidentielle, Donald Trump aura largement utilisé l'aggression verbale en tant que principale munition pour se frayer un chemin vers la victoire.
Au début, ses seize adversaires primaires étaient tellement surpris de sa stratégie qu'ils ont étés pris de court et n’étaient pas suffisamment intelligent pour réagir efficacement et disqualifier l'intimidateur.
Hillary Clinton a vu venir le danger ; elle s'y est parfaitement préparée et a su neutraliser ses effets, à la fois sur elle et sur sa campagne.
Jurer, crier, insulter, menacer, ridiculiser, humilier et critiquer (les moyens essentiellement mis en œuvre par Trump sur ses adversaires) peuvent être tout autant néfastes que les coups, selon un rapport publié dans le numéro d'Avril 2007 du « Harvard Mental Health Letter. »
Dans cette étude, les chercheurs ont constaté que la violence verbale avait autant d'effet que la violence physique. Celle-ci peut exacerber la dépression, la colère et d'autres troubles mentaux tout aussi graves.
Il est quand même étrange que les médias aient oublié de saisir le comportement de Trump sous cet angle spécifique.
vendredi, octobre 21, 2016
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