Récemment, nous avons pris la route entre Park City et Banff, au Canada, au cours duquel notre itinéraire était improvisé au quotidien, et me je suis récemment demandé comment cette virée au coup par coup aurait été possible si nous avions conduit une auto électrique Tesla au lieu de notre voiture à essence.
Je présume que le simple fait de trouver des stations équipées pour recharger notre auto aurait largement défini notre parcours ainsi que nos étapes et nous aurions sans doute eu droit à un paysage très différent si nous avions été au volant d'une voiture tout-électrique.
D'abord, les stations Supercharger Tesla sont rares entre l'Utah, l'Idaho et le Montana et il n'y en avait qu'une seule près de Banff, en Alberta. Bien sûr, il y a un assez grand nombre de stations de recharge « ordinaire », mais cela prends un sacré bout de temps pour « remplir » les batteries et il faut être particulièrement conscient de sa vitesse maximale sur autoroute, de la météo, pour ne pas mentionner l'utilisation du chauffage si la température extérieure l'exige.
Alors que le modèle Tesla S est sensé offrir une autonomie de 320 km, il faut quand même 40 minutes pour la recharger à fond dans une station « Supercharger Tesla », et 7 heures pour faire la même chose à l'intérieur de votre garage si vous avez une prise de 400V. S'il vous faut compter sur une station de charge publique quand vous voyagez, comptez sur un taux de 35 km d'autonomie à heure.
Quand on réfléchit bien, recharger une Tesla n'est pas encore trop commode ou sans souci ; Je vais donc attendre un peu plus avant de m'en acheter une ...
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