Par exemple, et cela fait longtemps que j'en parle, les skis peuvent être assimilées aux pneus, les chaussures de ski (et leur lien avec la fixation), à la transmission, les chevilles, les genoux et les hanches au système d'articulation de la suspension et les muscles des jambes et du ventre aux amortisseurs.
D'accord, où se trouve la direction? Les pieds, la plupart du temps, avec les bâtons pour rythmer le tout et équilibrer l'ensemble, sans oublier l'anticipation du haut du corps et un certain dosage de vitesse.
Où est l'accélérateur? Tout bête ; il se trouve dans la façon dont les skis sont plus ou moins orientées dans la ligne de plus grande pente, sont maintenus à plat sur la neige ou mis sous pression dans un virage « carvée » ; bien sûr, j'oublie le rôle joué par la position de recherche de vitesse (l’œuf) mais c'est d'avantage comparable, sur une auto, au Cx ou à un faible coefficient de traînée.
Les freins, nous les connaissons bien, ils vont du humble chasse-neige utile au stop de hockey avec beaucoup de nuances dérapées entre les deux. Ensuite, il y a le pare-brise et la visibilité, bien sûr au travers de nos masques et lunettes (bien propres), un bon éclairage et une visibilité générale (si importante !)
Bien sûr le ski connaît les mêmes problèmes que l'automobilisme, avec le « ski distrait » dans lequel certains écoutent de la musique bien trop forte, en essayant de rester sur la piste. Vous trouverez également tous les éléments de sécurité habituels, comme les fixations de sécurité et aujourd'hui, l'airbag en ski de compétition. Je ne mentionnerai pas la GoPro sur le casque qui se compare au « dashcam » car c'est juste un accessoire.
Enfin, nous pourrions évoquer le carburant car nous savons tous qu'une demi-journée de bon ski va tous nous mettre en appétit. Bien sûr, vous allez me dire que j'ai oublié de parler du « permit de skier », mais n’exagérons rien, nous sommes tous de très bons skieurs!
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