En tant que gamin, mes inspirations étaient portées par des héros de bandes dessinées et par Jean-Claude Killy. Comme le ski a toujours joué un rôle prépondérant et continue à occuper une place importante dans ma vie, je tiens à garder ce domaine comme cadre de référence pour tout ce qui est censé m'inspirer. Aujourd'hui, mes héros sont ceux qui semblent être dotés d'un longévité à toute épreuve.
L'un d'eux est Émile Allais, un champion français de ski, un pionnier de l'industrie et un visionnaire. Cet homme va fêter ses 100 ans en février prochain. J'espère qu'il va y arriver ! Un autre est un skieur français parfaitement inconnu dont j'ai appris l'existence dans un journal du Sud-Est de la France et qui skie encore dans sa 100e année. Ces gars ne sont pas seulement là pour m'impressionner, ils sont les objets de mon admiration et mes nouveaux modèles !
samedi, décembre 31, 2011
vendredi, décembre 30, 2011
Verra-t-on de la neige cet hiver ?
Hier, c'était le comble. Avec déjà très peu de neige, la température a grimpé et la neige s'est mise à fondre comme s'il s'agissait d'une journée ensoleillée d'avril. J'ai skié seul, principalement sur des pistes couvertes de neige naturelle, j'ai bousillé les skis que j'avais été si diligemment préparés la veille, mais je me suis quand même bien amusé.
Je me demande aujourd'hui s'il va finir par neiger ou non et bien entendu, la réponse est que je n'en sais rien. Aussi ennuyeux que cela puisse paraître, c'est la réalité, il nous faut l'accepter et nous y habituer. Même si je prétends ne rien espérer, cette approche est bien difficile à mettre en pratique ...
Je me demande aujourd'hui s'il va finir par neiger ou non et bien entendu, la réponse est que je n'en sais rien. Aussi ennuyeux que cela puisse paraître, c'est la réalité, il nous faut l'accepter et nous y habituer. Même si je prétends ne rien espérer, cette approche est bien difficile à mettre en pratique ...
jeudi, décembre 29, 2011
Faites skier votre fille !
Hier, était une journée réservée au ski entre père et fille. Nous sommes allés à Canyons et nous nous sommes amusés comme des fous ! En dépit de conditions de neige plutôt médiocre en ce début de saison, nous avons réussi à skier plus de 9.150 mètres de dénivelé et n'avons pas eu à skier parmi une trop grande foule.
La seule queue dans laquelle nous nous sommes trouvés était celle du fil-neige sur le chemin du retour, et là encore nous avons bien rigolé. Je trouve que ma fille skie à la fois très vite et tout en douceur et pense qu'elle devrait passer plus de temps sur les pistes, mais c'est juste l'avis d'un vieux passionné de ski ...
La seule queue dans laquelle nous nous sommes trouvés était celle du fil-neige sur le chemin du retour, et là encore nous avons bien rigolé. Je trouve que ma fille skie à la fois très vite et tout en douceur et pense qu'elle devrait passer plus de temps sur les pistes, mais c'est juste l'avis d'un vieux passionné de ski ...
mercredi, décembre 28, 2011
Les vagues de la vie ...
Nous commençons notre vie avec très peu en matière de force physique, d'aptitudes, d'intelligence et de sagesse. Au fur et à mesure que le temps passe, chacun de ces éléments grandit, atteint son apogée et se met éventuellement à décliner. Je pense que j'ai déjà passe le sommet de ma force physique il y a bien longtemps et que tout est désormais à la baisse. J'espère que je suis encore sur le plateau de mes aptitudes et encore espérer encore en cultiver quelques unes, mais je risque peut-être de manquer de temps pour assister à des résultats spectaculaires.
Je garde l'espoir que mon intellect continue encore à croître et je sens que je suis encore très loin d'avoir atteint le sommet en terme de sagesse. Comme je ne pouvais pas trouver de table me permettant d'illustrer l’évolution de ces différentes tendances, j'en ai fabriqué une. Étant optimiste de nature et adorant les chiffres ronds, je l'ai crée de manière à ce qu'elle s’étende sur une période de 100 ans. J'espère tout simplement que cela s'appliquera à ma situation personnelle. Maintenant, j'aimerais connaître vos réactions à toutes ces courbes !
Je garde l'espoir que mon intellect continue encore à croître et je sens que je suis encore très loin d'avoir atteint le sommet en terme de sagesse. Comme je ne pouvais pas trouver de table me permettant d'illustrer l’évolution de ces différentes tendances, j'en ai fabriqué une. Étant optimiste de nature et adorant les chiffres ronds, je l'ai crée de manière à ce qu'elle s’étende sur une période de 100 ans. J'espère tout simplement que cela s'appliquera à ma situation personnelle. Maintenant, j'aimerais connaître vos réactions à toutes ces courbes !
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mardi, décembre 27, 2011
L'air qu'on respire ...
Avez-vous jamais essayé de comprendre ce qui constitue la pollution de l'air et comment les gouvernements prétendent réglementer tout ça? Pas facile de s'y retrouver. Je m'y suis pourtant attelé en tentant de me concentrer sur un domaine bien précis, celui des particules – mieux connu sous l’appellation de micro-particules, ces minuscules cochonneries qui sont les déchets de matière solide qui flottent tout autour de nous.
Bien que certaines de ces particules sont produisent naturellement (volcans, tempêtes de sable, feux de forêt et de savane, parmi d'autres,) ils sont aussi le résultat de nos activités humaines, telles que la combustion de carburant fossiles dans nos autos et nos camions, le bois de chauffage que nous brulons, les centrales électriques et toutes les émissions industrielles qui peuvent cracher des quantités importantes de particules.
Celles-ci sont censés être mesurées en microgrammes par mètre cube, mais il semble être assez difficile de trouver de bonnes tables qui aident des gens comme nous à comparer les différentes données et à s'y retrouver. Il y aurait-il quelqu'un parmi mes lecteurs qui a de bonnes suggestions à faire à ce sujet?
Bien que certaines de ces particules sont produisent naturellement (volcans, tempêtes de sable, feux de forêt et de savane, parmi d'autres,) ils sont aussi le résultat de nos activités humaines, telles que la combustion de carburant fossiles dans nos autos et nos camions, le bois de chauffage que nous brulons, les centrales électriques et toutes les émissions industrielles qui peuvent cracher des quantités importantes de particules.
Celles-ci sont censés être mesurées en microgrammes par mètre cube, mais il semble être assez difficile de trouver de bonnes tables qui aident des gens comme nous à comparer les différentes données et à s'y retrouver. Il y aurait-il quelqu'un parmi mes lecteurs qui a de bonnes suggestions à faire à ce sujet?
lundi, décembre 26, 2011
En faire plus ... avec moins!
Il y a déjà pas mal d'années que nous n'avons pas eu un début saison de ski marqué par si peu de neige , et alors que nous skiions hier, j'étais très étonné de constater à quel point nous sommes en mesure d'ajuster nos attentes lorsque les conditions sont bien en dessous de la norme. Jusqu'ici, le ski à Park City a surtout été possible grâce à l'abondante quantité de neige artificielle fabriquée, et alors que nous nous trouvions sur quelques unes de ces rares pistes recouverte d'une couche mince, rare et précieuse de ce « matériau naturel, » cela me rappelait le « bon vieux temps » du début de saison, quand il n'existait pas d'autre option.
Quand l'espoir qu'un de ces jours la neige finirait bien par tomber, faisait partie de la normale et des attentes de chacun ! Tout en glissant sur cette mince couche de neige naturelle, nous étions largement satisfait avec ce que nous avions. Après une saison passée marquée par des chutes de neige exceptionnelles, cette période de « vaches maigres » arrive à point pour nous rappeler ce qu'est la réalité naturelle !
Quand l'espoir qu'un de ces jours la neige finirait bien par tomber, faisait partie de la normale et des attentes de chacun ! Tout en glissant sur cette mince couche de neige naturelle, nous étions largement satisfait avec ce que nous avions. Après une saison passée marquée par des chutes de neige exceptionnelles, cette période de « vaches maigres » arrive à point pour nous rappeler ce qu'est la réalité naturelle !
dimanche, décembre 25, 2011
Ce que Noël me rappelle ...
Je ne suis pas une personne religieuse, mais les fetes de Noël me donne une chance de réaliser à quel point je suis chanceux d'être vivant et à participer à ce monde merveilleux qui nous entoure. La vie est en un cadeau unique. Pour moi, la vie est sacré, elle ne cesse jamais de me surprendre et est vraiment irremplaçable. Parfois il faut que je me « pince » pour apprécier pleinement la chance que j'ai !
samedi, décembre 24, 2011
Étendre ...
Il existe en Français une expression que j'adore : « la culture c'est comme la confiture, moins on en a, et plus on l'étend. » C'est bien vrai et je peux « étendre » cette comparaison à la neige artificielle. Il y a trois massifs où l'on ski à Park City. Celui qui est au dessus du lot et qui a été voté cinq saisons consécutives, numéro un en Amérique du nord par les lecteurs de Ski Magazine, est Deer Valley. Cette station fabrique des quantités impressionnantes de neige à canon et les répand généreusement là où il faut.
Park City, le massif voisin, fait également un excellent travail avec sa neige de culture et peut se vanter aussi d'une production de neige énorme et d'une épaisse couverture. Bien sûr, il a le troisième massif de Canyons qui n'a pas la chance d'avoir accès à toute l'eau dont il aurait besoin et manque aussi d'infrastructure pour canaliser tout ce qu'il faut pour enneiger toutes ses pistes. C'est ainsi que le peu de neige que ce massif est capable de produire doit être réparti sur la plus grande superficie possible et bien que les dameuses fasse de leur mieux, il leur est difficile de ne pas gratter le sol et d'amener des tas de petits cailloux en surface qui sont devenus la caractéristique incontournable des pistes de Canyons. C'est bien vrai, quand il n'y a pas assez de neige, il faut l’étendre !
Park City, le massif voisin, fait également un excellent travail avec sa neige de culture et peut se vanter aussi d'une production de neige énorme et d'une épaisse couverture. Bien sûr, il a le troisième massif de Canyons qui n'a pas la chance d'avoir accès à toute l'eau dont il aurait besoin et manque aussi d'infrastructure pour canaliser tout ce qu'il faut pour enneiger toutes ses pistes. C'est ainsi que le peu de neige que ce massif est capable de produire doit être réparti sur la plus grande superficie possible et bien que les dameuses fasse de leur mieux, il leur est difficile de ne pas gratter le sol et d'amener des tas de petits cailloux en surface qui sont devenus la caractéristique incontournable des pistes de Canyons. C'est bien vrai, quand il n'y a pas assez de neige, il faut l’étendre !
vendredi, décembre 23, 2011
Les politiciens, pas le gouvernement !
Le parti républicain américain se plaint constamment qu'il y a « trop » de gouvernement. Je ne pense pas que c'est vraiment là où réside le problème. Nous avons besoin d'un gouvernement qui fonctionne et nos municipalités, comtés et même la plupart de nos États sont en mesure d'y parvenir.
Le seul problème est qu'au niveau Fédéral, nos membres du congrès et nos sénateurs sont devenus tellement incompétents et corrompus qu'ils enrayent le bon fonctionnement du gouvernement. Nos politiciens sont donc au cœur du problème. Je propose donc une simple résolution pour ce Nouvel An : Débarrassons-nous de tous ces politiciens pourris et remplaçons les par des représentants non affiliés à l'un des deux partis!
Le seul problème est qu'au niveau Fédéral, nos membres du congrès et nos sénateurs sont devenus tellement incompétents et corrompus qu'ils enrayent le bon fonctionnement du gouvernement. Nos politiciens sont donc au cœur du problème. Je propose donc une simple résolution pour ce Nouvel An : Débarrassons-nous de tous ces politiciens pourris et remplaçons les par des représentants non affiliés à l'un des deux partis!
jeudi, décembre 22, 2011
Ce qui reste à parcourir
Chaque jour nous apporte un début tout nouveau. Ce qui ne change, c'est la fin-zone et pendant que nous (heureusement) ne savent pas quand il est, nous pouvons être insouciants à ce sujet. Pourtant, nous avons l'un des deux choix. Croisière à travers ce laps de temps en laissant événements nous tabasser et nous autour de la forme comme ils s'il vous plaît - une façon assez passive de la gestion de notre avenir - ou tracer une route, fixer des objectifs, faire des plans et prendre tous les jours des mesures correctives.
Bien sûr, pour rendre le tard possible, il doit y avoir une certaine forme de motivation ou le désir. C'est à nous de déterminer ce que le carburant automobile peut être. Souvent, le temps, nous ne sommes pas à ce sujet ou tout simplement ne pas chercher, même si ce n'est pas vraiment loin de notre portée. Nous voici donc! Nous avons juste besoin d'introspection un peu, trouve que petite flamme vacillante et d'agir sur elle entre maintenant et la «fin de zone." Le secret est de commencer dès aujourd'hui!
Bien sûr, pour rendre le tard possible, il doit y avoir une certaine forme de motivation ou le désir. C'est à nous de déterminer ce que le carburant automobile peut être. Souvent, le temps, nous ne sommes pas à ce sujet ou tout simplement ne pas chercher, même si ce n'est pas vraiment loin de notre portée. Nous voici donc! Nous avons juste besoin d'introspection un peu, trouve que petite flamme vacillante et d'agir sur elle entre maintenant et la «fin de zone." Le secret est de commencer dès aujourd'hui!
mercredi, décembre 21, 2011
Trou de mémoire ...
Ça semble se produire de plus en plus, en tout cas en ce qui me concerne. Hier, alors que nous faisions notre course à pied matinale, ma femme évoquait cette biographie du fameux joueur de tennis qui habite Las Vegas. C'est ça, celui qui avait une perruque, celui qui a épousé Steffi Graf, vous voyez celui dont je veux parler ...
Bien sûr, je savais qui c’était ! Mon cerveau était dans tous ses états à la recherche d'une réponse évidente et quand nous sommes rentrés, même après avoir prit notre petit déjeuner, j'étais encore désespérément à la recherche de ce nom, en train de scanner mentalement l'alphabet pour des tas de combinaisons possibles, mais sans résultat. Je me suis promis de ne pas aller chercher la réponse sur l'Internet ; ça allait revenir naturellement, d'une façon ou d'une autre.
Finalement, j'ai oublié cette recherche plutôt triviale. Dans l'après-midi, alors que nous faisions une promenade à pied, une auto nous croise et le conducteur nous salue de la main. Je dit à ma femme, c'est Chris. Elle dit « non, ce n'est pas Chris, c'est Ken. » Je réponds « tu as raison! » C'est alors que je me suis souvenu de mes recherches infructueuses du matin et les mots « André Agassi » on surgit dans mon esprit!
Bien sûr, je savais qui c’était ! Mon cerveau était dans tous ses états à la recherche d'une réponse évidente et quand nous sommes rentrés, même après avoir prit notre petit déjeuner, j'étais encore désespérément à la recherche de ce nom, en train de scanner mentalement l'alphabet pour des tas de combinaisons possibles, mais sans résultat. Je me suis promis de ne pas aller chercher la réponse sur l'Internet ; ça allait revenir naturellement, d'une façon ou d'une autre.
Finalement, j'ai oublié cette recherche plutôt triviale. Dans l'après-midi, alors que nous faisions une promenade à pied, une auto nous croise et le conducteur nous salue de la main. Je dit à ma femme, c'est Chris. Elle dit « non, ce n'est pas Chris, c'est Ken. » Je réponds « tu as raison! » C'est alors que je me suis souvenu de mes recherches infructueuses du matin et les mots « André Agassi » on surgit dans mon esprit!
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mardi, décembre 20, 2011
Skier dans le « peloton ... »
Depuis des années maintenant, nous eu beaucoup de chance en skiant. Nous avons parcouru des pentes où les skieurs étaient rares et skié pendant des jours entier là où il n'y avait personne. Lorsqu'il m'arrivait d'envoyer une vidéo illustrant nos aventures sur neige à mon bon ami François Feuz en Suisse, celui-ci s'exclamait: « Où sont les autres skieurs ? » et c'était tellement vrai. Pendant ces cinq dernières années (depuis que j'ai pris la retraite), nous avons eu toute la montagne pour nous seuls.
Pour l'instant ce début de saison est une autre paire de manche. Il nous faut skier exclusivement sur neige à canon et partager des pistes encombrées avec des tas d'autres usagers ; c'est dur-dur. Appelez ça un exercice en prévention de collisions si vous voulez. Je dirais plutôt que c'est un jeu de roulette russe, car elle ce n'est plus « si » quelqu'un va vous rentrer dedans, mais bien « quand. » Je comprends maintenant pourquoi beaucoup de mes amis européens n'ont plus guère de plaisir à skier. En attendant des chutes de neige fraiches et abondantes pour bientôt, je croise donc mes doigts et garde mes skis bien ... parallèles!
Pour l'instant ce début de saison est une autre paire de manche. Il nous faut skier exclusivement sur neige à canon et partager des pistes encombrées avec des tas d'autres usagers ; c'est dur-dur. Appelez ça un exercice en prévention de collisions si vous voulez. Je dirais plutôt que c'est un jeu de roulette russe, car elle ce n'est plus « si » quelqu'un va vous rentrer dedans, mais bien « quand. » Je comprends maintenant pourquoi beaucoup de mes amis européens n'ont plus guère de plaisir à skier. En attendant des chutes de neige fraiches et abondantes pour bientôt, je croise donc mes doigts et garde mes skis bien ... parallèles!
lundi, décembre 19, 2011
Arrachage providentiel
Hier était mon dernier jour de travail bénévole lors des courses junior de Park City. Comme le temps était superbe et que j'avais une heure de pause au moment du déjeuner, j'en ai profité pour aller skier un peu. J'ai fait environ trois montées en télésiège et comme j'avais encore du temps devant moi, je m’apprêtais à en faire une de plus quand en faisant un pas de patineur dans la direction de l'aire d'embarquement j'ai arraché la talonnière arrière de mon ski gauche.
Il s'agissait de mes skis « à caillasse » qui avaient plus de deux cents jours d'utilisation au compteur mais qui n’étaient pas d'une robustesse exemplaire. Je pense bien que ces skis Scott Mission sur lequel les fixations avaient été montées étaient en effet d'assez mauvaise qualité, mais ce qui compte c'est que cela se soit produit à l’arrêt et pas quand je dévalait la pente en me pressant. C'est ce que j'appelle une intervention providentielle et j'en suis extrêmement reconnaissant !
Il s'agissait de mes skis « à caillasse » qui avaient plus de deux cents jours d'utilisation au compteur mais qui n’étaient pas d'une robustesse exemplaire. Je pense bien que ces skis Scott Mission sur lequel les fixations avaient été montées étaient en effet d'assez mauvaise qualité, mais ce qui compte c'est que cela se soit produit à l’arrêt et pas quand je dévalait la pente en me pressant. C'est ce que j'appelle une intervention providentielle et j'en suis extrêmement reconnaissant !
dimanche, décembre 18, 2011
Pousser un enfant à être champion de ski
Ces quatre jours de bénévolat pendant les courses de ski junior m'ont donné assez de temps pour bien observer tous ces jeunes coureurs. Beaucoup sont poussés par leurs parents, et ont acquiescé sous la pression, juste avec leur tête, mais pas avec leur cœur.
Pendant les deux premiers jours, mon travail consistait à effectuer les chronométrages manuels dans l'aire d’arrivée. J'ai donc pu à loisir observer les attitudes, quand celles-ci étaient pour gagner ou pour se promener. Ceux qui étaient à moitié convaincus de leur raison de participer franchissaient la ligne d'arrivée en vrai touristes et avec très peu d'énergie et d'enthousiasme. Il se pourrait donc très bien que le fait de se poster sur la ligne d'arrivée pourrait être le meilleur révélateur afin évaluer la vrai motivation de ces jeunes skieurs et leur potentiel futur ...
Pendant les deux premiers jours, mon travail consistait à effectuer les chronométrages manuels dans l'aire d’arrivée. J'ai donc pu à loisir observer les attitudes, quand celles-ci étaient pour gagner ou pour se promener. Ceux qui étaient à moitié convaincus de leur raison de participer franchissaient la ligne d'arrivée en vrai touristes et avec très peu d'énergie et d'enthousiasme. Il se pourrait donc très bien que le fait de se poster sur la ligne d'arrivée pourrait être le meilleur révélateur afin évaluer la vrai motivation de ces jeunes skieurs et leur potentiel futur ...
samedi, décembre 17, 2011
Irak. La fin du gaspillage
Alors que nous quittons l'Irak, mes pensées vont immédiatement sur ce que cette idée idiote d'envahir et d'occuper ce pays sans bonne raison aura coûté entre 100.000 et 500.000 vies, et quand tout sera fini et après nous être occupés de nos 32 000 blessés, cette guerre finira par nous coûter, nous les contribuables, autour de 1 800 milliards de dollars, tout cela avec de l'argent absurdement emprunté aux Chinois. Pensez un peu à ce que ce gaspillage aurait pu acheter en termes d'infrastructures nouvelles et restaurées à travers tous les États-Unis ? Il n'y a pas l'ombre d'un doute qu'il faudrait virer tous les membres du Congrès qui ont autorisé cette guerre autant inutile que ruineuse, et mettre George Bush et Dick Cheney en prison sur le champ !
vendredi, décembre 16, 2011
Dernière fois que je suis bénévole ?
Pendant pas mal d'années, j'ai été bénévole à l'une des course de ski junior qui ouvre la saison de compétition à Park City. Pendant quatre jours, nous « traitons » quotidiennement entre 200 et 250 jeunes skieurs. Je fais cela parce que cela m'apporte une réserve de forfaits de remontées mécaniques gratuits qui je peux utiliser quand mes enfants ou des amis veulent skier avec moi sur le massif de Park City.
C'est pourtant un travail difficile, il fait généralement très froid et pour mes deux premiers jours de travail, cette saison, je suis chronométreur à main à l'arrivée, ce qui m'oblige à être debout pendant de longues heures et cela me casse les reins. Entre vous et moi, et surtout à cause d'un dos devenu aujourd'hui un peu plus délicat, cela pourrait bien être ma dernière saison de bénévolat pour ces jeunes coureurs. On en reparlera !
C'est pourtant un travail difficile, il fait généralement très froid et pour mes deux premiers jours de travail, cette saison, je suis chronométreur à main à l'arrivée, ce qui m'oblige à être debout pendant de longues heures et cela me casse les reins. Entre vous et moi, et surtout à cause d'un dos devenu aujourd'hui un peu plus délicat, cela pourrait bien être ma dernière saison de bénévolat pour ces jeunes coureurs. On en reparlera !
jeudi, décembre 15, 2011
Retour vers Jésus ...
Il y a quelques soirées de ça, je voyais une émission intéressante à la télévision qui démystifiait beaucoup d'idées dogmatiques sur l'aspect historique de la vie de Jésus. C’était le premier épisode dans une série sur le sujet, fondée sur des preuves historiques, et remettant en cause des tas d'hypothèses connues et des notions bien conventionnelles sur histoire du christianisme.
Douze érudits comprenant des théologiens, des archéologues et des historiens – apportaient ainsi un regard neuf sur le christianisme et donnaient plein de latitude au spectateur pour concilier leur foi chrétienne avec cette approche assez iconoclaste. J'ai beaucoup aime cette premier partie qui montrait qu'il n'existait en fait que très peu de preuves tangibles sur l'origine de cette grande religion qui a durée si longtemps et a bien fait ressortir qu'avec si peu de preuves, l'histoire populaire de Jésus n'est en fait qu'un mythe puissant.
Douze érudits comprenant des théologiens, des archéologues et des historiens – apportaient ainsi un regard neuf sur le christianisme et donnaient plein de latitude au spectateur pour concilier leur foi chrétienne avec cette approche assez iconoclaste. J'ai beaucoup aime cette premier partie qui montrait qu'il n'existait en fait que très peu de preuves tangibles sur l'origine de cette grande religion qui a durée si longtemps et a bien fait ressortir qu'avec si peu de preuves, l'histoire populaire de Jésus n'est en fait qu'un mythe puissant.
mercredi, décembre 14, 2011
Le carnaval (du parti) républicain ...
Il y a dans la vie des événements qui sont totalement bizarres et le numéro de cirque auquel les candidats présidentiels républicains nous demandent d’assister en fait partie. Pour l'instant, Newt Gingrich mène le peloton parce qu'il s'avère peut-être le moins incompétents de tous ceux qui sont en lice, surement pas parce qu'il est bon.
Quand j'observe cette situation en train d’évoluer, je me demande qui sont les gens qui s’intéressent à ces candidats nuls. Sont-ils d'une autre planète, d'une autre époque? Est-ce que je comprends l'Amérique ? Probablement pas encore tout-à-fait ...
Quand j'observe cette situation en train d’évoluer, je me demande qui sont les gens qui s’intéressent à ces candidats nuls. Sont-ils d'une autre planète, d'une autre époque? Est-ce que je comprends l'Amérique ? Probablement pas encore tout-à-fait ...
mardi, décembre 13, 2011
Garder le contact avec l'internet
Cela pourrait être un cas classique de l'histoire bancale entre ce que nous sommes physiquement capables d'absorber et de ce qui est disponible autour de nous. Garder le contact avec des nouvelles de toutes sortes dans cette ère d'Internet n'est pas une mince affaire et peut être impossible ou carrément écrasante si nous n'adhérons pas à une certaine forme de discipline stratégique et affiner jour après jour.
Après quinze ans d'Internet, je sens que je m'améliore tout le temps, mais ce processus nécessite une permanente, un effort délibéré. Un de ces jours, je vais essayer de partager mon approche de ce défi ahurissant!
Après quinze ans d'Internet, je sens que je m'améliore tout le temps, mais ce processus nécessite une permanente, un effort délibéré. Un de ces jours, je vais essayer de partager mon approche de ce défi ahurissant!
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lundi, décembre 12, 2011
Champions de légende
Hier, Stein Eriksen fêtait son 84e anniversaire et ce champion de ski norvégien a réussi une carrière américaine légendaire qui n'en fini pas de durer ... Il est surtout célèbre à Deer Valley, où un Hotel de grand luxe porte son nom et à Park City, où il passe la plus grande partie de son temps. Ma liste de fameux champions de ski comporte deux autres noms ; Toni Sailer (1935-2009) et Jean-Claude Killy.
S'il en fallait trois encore vivants, j'ajouterai Émile Allais qui a participé à l'élaboration d'un grand nombre de stations de ski comme Squaw-Valley, Portillo, Courchevel, La Plagne et Flaine. Monsieur Allais qui vit maintenant à Megève fêtera ses 100 ans le 25 Février 2012 !
S'il en fallait trois encore vivants, j'ajouterai Émile Allais qui a participé à l'élaboration d'un grand nombre de stations de ski comme Squaw-Valley, Portillo, Courchevel, La Plagne et Flaine. Monsieur Allais qui vit maintenant à Megève fêtera ses 100 ans le 25 Février 2012 !
dimanche, décembre 11, 2011
Altitude, latitude, limite des neiges et des arbres
Il n'est guère de conversation avec mes amis européen qui ne se passe pas sans que l'on me demande l'altitude de Park City. Je réponds, « 2100 mètres » et la réaction est toujours : « Et bien, c'est drôlement haut, le climat doit y être très rude ... » et c'est alors qu'il me faut expliquer l'importante relation entre la latitude et l'altitude, la limite des neiges éternelles et l'altitude maximum où poussent les arbres … La plupart entendent vaguement ce que j'essaie de leur dire, mais peu comprennent vraiment. C'est donc pourquoi j'ai décidé de consacrer ce blog à cette question des plus existentialistes qui soient !
Parlons d'abord sur la façon dont cette relation influe sur la limites des neiges éternelles.
Cette ligne est celle au-dessus de laquelle neige et glace recouvrent le sol toute l'année. Bien sûr, en hiver, la limite des neiges est considérablement plus basse. Près de l'équateur, c'est généralement 4.500 mètres d'altitude. En allant vers les tropiques du Cancer et du Capricorne, cette mesure augmente d'abord: dans l'Himalaya, les neiges éternelles peuvent se trouver à 5700 mètres, tandis que sur le tropique du Capricorne il n'y pas de neige permanente dans les Andes en raison de leur aridité: Par exemple, le mont Pissis en Argentine est la plus haute montagne au monde à ne pas avoir de glacier à son sommet.
Au-delà des tropiques, la ligne des neige s'abaisse progressivement au fur et à mesure que la latitude augmente. C'est juste en dessous de 3000 mètres dans les Alpes et celle-ci baisse jusqu'au niveau de la mer sur les calottes glaciaires près des pôles. De plus, l'emplacement relatif par rapport aux côtes les plus proches va influencer cette limite des neiges.
Les endroits près d'une côte, comme par exemple la péninsule Olympique, dans l'État du Washington, aura les neiges éternelles plus basses qu'à des endroit d'une même altitude et latitude situés à l'intérieur des terres tout simplement parce que la température estivale moyenne de la plaine environnante reste plus chaudes que celle de la mer. Cela s'applique même sous les tropiques, car les zones éloignées de la mer subissent des températures diurnes plus forte avec moins d'humidité, comme on peut l'observer au Kilimandjaro et sur le mont Meru, désormais sans glaciers.
Les arbres eux aussi sont touchés par cette relation entre l'altitude et la latitude. Encore une fois, la limite où poussent les arbres est en fonction de leur capacité de pousser à un endroit donné. Ils ne pourront pas croître en raison de conditions environnementales défavorables (froid ou manque d'humidité). La limite des arbres apparaît donc généralement bien définies quand on regarde de loin, mais quand on s'approche un peu, on s’aperçoit qu'il s'agit d'avantage d'une transition graduelle, les arbres deviennent malingres et nains quand le climat devient inhospitalier jusqu'à ce qu'ils cessent tout simplement de pousser.
Tout comme pour la limite des neiges éternelles, celle des arbres est affectée par des éléments locaux très variables, tel que le type de pente, l'exposition et la proximité des deux pôles géographiques. En outre, dans des endroits tropicaux ou sur des îles, où la diversité des espèces est limitée, les arbres peuvent pousser à des altitudes plus basses qu'à ce que l'on serait en droit d'attendre.
Inversement, des îles comme Kerguelen, Saint-Paul, la Géorgie du Sud, les Orcades du Sud, et d'autres îles subantarctiques, ont toutes tellement de vent et des étés si froids que les arbres ne peuvent pas y survivre. La péninsule Antarctique, le point le plus septentrional de l'Antarctique, est aussi celui qui offre le meilleur climat, mais les arbres ne peuvent pas y vivre. La ligne des arbres s'élève à 75 mètres pour chaque déplacement de 1 degré au sud de 70 ° à 50 ° N et 130 mètres par degré de 50 ° à 30 ° N. Entre 30 ° N et 20 ° S, la limite des arbres est à peu près constante, entre 3.500 et 4.000 mètres.
Maintenant, vous pouvez enfin bien réaliser qu'altitude et la latitude sont vraiment inséparables pour juger de ce qu'une altitude donnée représente vraiment en termes de végétation, du temps qu'il peut bien y faire et de la qualité de la vie que peuvent offrir certain lieux !
Parlons d'abord sur la façon dont cette relation influe sur la limites des neiges éternelles.
Cette ligne est celle au-dessus de laquelle neige et glace recouvrent le sol toute l'année. Bien sûr, en hiver, la limite des neiges est considérablement plus basse. Près de l'équateur, c'est généralement 4.500 mètres d'altitude. En allant vers les tropiques du Cancer et du Capricorne, cette mesure augmente d'abord: dans l'Himalaya, les neiges éternelles peuvent se trouver à 5700 mètres, tandis que sur le tropique du Capricorne il n'y pas de neige permanente dans les Andes en raison de leur aridité: Par exemple, le mont Pissis en Argentine est la plus haute montagne au monde à ne pas avoir de glacier à son sommet.
Limites des neiges éternelles
Les endroits près d'une côte, comme par exemple la péninsule Olympique, dans l'État du Washington, aura les neiges éternelles plus basses qu'à des endroit d'une même altitude et latitude situés à l'intérieur des terres tout simplement parce que la température estivale moyenne de la plaine environnante reste plus chaudes que celle de la mer. Cela s'applique même sous les tropiques, car les zones éloignées de la mer subissent des températures diurnes plus forte avec moins d'humidité, comme on peut l'observer au Kilimandjaro et sur le mont Meru, désormais sans glaciers.
Les arbres eux aussi sont touchés par cette relation entre l'altitude et la latitude. Encore une fois, la limite où poussent les arbres est en fonction de leur capacité de pousser à un endroit donné. Ils ne pourront pas croître en raison de conditions environnementales défavorables (froid ou manque d'humidité). La limite des arbres apparaît donc généralement bien définies quand on regarde de loin, mais quand on s'approche un peu, on s’aperçoit qu'il s'agit d'avantage d'une transition graduelle, les arbres deviennent malingres et nains quand le climat devient inhospitalier jusqu'à ce qu'ils cessent tout simplement de pousser.
Tout comme pour la limite des neiges éternelles, celle des arbres est affectée par des éléments locaux très variables, tel que le type de pente, l'exposition et la proximité des deux pôles géographiques. En outre, dans des endroits tropicaux ou sur des îles, où la diversité des espèces est limitée, les arbres peuvent pousser à des altitudes plus basses qu'à ce que l'on serait en droit d'attendre.
Limite des arbres
Maintenant, vous pouvez enfin bien réaliser qu'altitude et la latitude sont vraiment inséparables pour juger de ce qu'une altitude donnée représente vraiment en termes de végétation, du temps qu'il peut bien y faire et de la qualité de la vie que peuvent offrir certain lieux !
samedi, décembre 10, 2011
Mon opinion sur la crise de l'Euro
Maintenant qu'un espèce d'accord a été trouvé par les membres de la zone euro et que des tas de commentaires stupides sont fait des deux côtés de l'Atlantique à ce propos, le blog d'aujourd'hui est censé résumer de quoi tout cela retourne, y compris les bons et les mauvais cotés de cette résolution tant attendue. D'une manière générale, chaque pays membre devra contrôler son déficit et s'il ne le fait pas, il se fera « taper sur les doigts. » Avant la crise actuelle, la règle était la même, mais tout le monde s'en foutait. Bien sûr, s'il y a des déviation, va-t-il y avoir sanction ? Personnellement, j'en doute fortement.
Une autre question de taille est de voir ce qui va bien se passer en « serrant la vis, » et si chacun de ces mêmes membres de la zone euro n'est pas susceptible d'entrainer trop d'austérité dans leur économie, ce qui pourrait considérablement ralentir l'activité des entreprises entrainant ainsi une forte récession à l'échelle continentale. Une autre grande incertitude est le rôle de la Banque centrale européenne (BCE) qui ne sera pas autorisée à se servir de la planche à billets comme le fait la Banque Fédérale Américaine pour arrondir un peu les angles. Même si les banques européennes seront en mesure d'emprunter à la BCE pendant trois ans à un taux réduit de 1%, ces premières vont-elles offrir les prêts nécessaires aux entreprises et aux particuliers? Pas si sûr ...
Pour finir et en ce qui concerne les Britanniques, je pense que les dés sont jetés. Ces gens devraient retourner à 100% à leur insularité, bien se recroqueviller en essayant de survivre et de mourir seuls sur leur île-nation. Ce faisant, ils n'auront plus à ramener leur science au reste du monde qui n'a du reste plus rien à faire de leur passé ou de leur présent!
Une autre question de taille est de voir ce qui va bien se passer en « serrant la vis, » et si chacun de ces mêmes membres de la zone euro n'est pas susceptible d'entrainer trop d'austérité dans leur économie, ce qui pourrait considérablement ralentir l'activité des entreprises entrainant ainsi une forte récession à l'échelle continentale. Une autre grande incertitude est le rôle de la Banque centrale européenne (BCE) qui ne sera pas autorisée à se servir de la planche à billets comme le fait la Banque Fédérale Américaine pour arrondir un peu les angles. Même si les banques européennes seront en mesure d'emprunter à la BCE pendant trois ans à un taux réduit de 1%, ces premières vont-elles offrir les prêts nécessaires aux entreprises et aux particuliers? Pas si sûr ...
Pour finir et en ce qui concerne les Britanniques, je pense que les dés sont jetés. Ces gens devraient retourner à 100% à leur insularité, bien se recroqueviller en essayant de survivre et de mourir seuls sur leur île-nation. Ce faisant, ils n'auront plus à ramener leur science au reste du monde qui n'a du reste plus rien à faire de leur passé ou de leur présent!
vendredi, décembre 09, 2011
Vidage de sac …
Hier, alors que nous nous arrêtions à la bibliothèque municipale pour y rendre un livre, mon épouse remarquait un panneau indiquant que notre sénateur « Tea Party » de l'Utah tenait une permanence à Park City pour quelques heures. Sans trop hésiter, nous avons allégrement gravis les escaliers afin de partager notre opinion avec notre représentant. Nous n'avons pas trouvé Sénateur Lee, mais plutôt son représentant, Gary Beck, un avocat à la retraite.
Nous avons commencé par le remercier d’être venu pour entendre ses constituants et avons alors procédé à lui dire à quel point nous étions dégoûtés par notre gouvernement, qui tout d'abord est corrompu par sa nature et avons demandé que des mesures significatives soient prises pour apporter une réforme véritable dans la façon dont les campagne électorale soient financées. Nous lui dit alors ce que nous pensions des candidats républicains à la présidence (pas bon du tout) et d'Obama (quand même pas aussi mauvais) et lui avons dit que les querelles qui déchirent le Congrès doivent cesser.
Nous lui avons dit que le « Tea Party » ne nous impressionnait pas du tout et que les électeurs indépendants comme nous, qui sont fiscalement conservateurs et socialement libéraux n'avaient aucune représentation. Nous lui avons dit que nous étions à la recherche d'une alternative aux politiciens actuels et l'avons aussi averti que « Occupy Wall Street » serait de retour plus fort que jamais ce printemps et que les grands partis politiques avait intérêt a trouver une parade efficace pour répondre à ce raz-de-marée.
Nous lui avons ensuite expliqué que les Américains sont comme les enfants dont les parents se querellent sans cesse, ceux-ci étant les deux partis en lice au Congrès, et que nous avions honte d'eux et refusions notre affiliation. Nous avons conclu notre vidage de sac en disant qu'écrire à son sénateur représentait une pure perte de temps quand le destinataire ne répondait jamais directement répondu aux questions posées et que nous étions tout aussi en colère contre ça. Je ne sais pas ce que M. Beck aura retenu de notre brève visite, mais nous ne faisons guère d'illusions sur les résultats ...
Nous avons commencé par le remercier d’être venu pour entendre ses constituants et avons alors procédé à lui dire à quel point nous étions dégoûtés par notre gouvernement, qui tout d'abord est corrompu par sa nature et avons demandé que des mesures significatives soient prises pour apporter une réforme véritable dans la façon dont les campagne électorale soient financées. Nous lui dit alors ce que nous pensions des candidats républicains à la présidence (pas bon du tout) et d'Obama (quand même pas aussi mauvais) et lui avons dit que les querelles qui déchirent le Congrès doivent cesser.
Nous lui avons dit que le « Tea Party » ne nous impressionnait pas du tout et que les électeurs indépendants comme nous, qui sont fiscalement conservateurs et socialement libéraux n'avaient aucune représentation. Nous lui avons dit que nous étions à la recherche d'une alternative aux politiciens actuels et l'avons aussi averti que « Occupy Wall Street » serait de retour plus fort que jamais ce printemps et que les grands partis politiques avait intérêt a trouver une parade efficace pour répondre à ce raz-de-marée.
Nous lui avons ensuite expliqué que les Américains sont comme les enfants dont les parents se querellent sans cesse, ceux-ci étant les deux partis en lice au Congrès, et que nous avions honte d'eux et refusions notre affiliation. Nous avons conclu notre vidage de sac en disant qu'écrire à son sénateur représentait une pure perte de temps quand le destinataire ne répondait jamais directement répondu aux questions posées et que nous étions tout aussi en colère contre ça. Je ne sais pas ce que M. Beck aura retenu de notre brève visite, mais nous ne faisons guère d'illusions sur les résultats ...
jeudi, décembre 08, 2011
Mieux gérer nos soucis
Comme j'en ai déjà parlé à différentes reprises, nous ne devrions jamais nous faire de soucis à propos des éléments de nos vies que nous ne contrôlons pas. Ce sujet me vient à l'esprit suite à d'innombrables discussions que j'ai eu ces derniers temps au sujet du manque de neige dans les Alpes. Là-bas, tout mes potes s'arrachaient déjà les cheveux au milieu de Novembre, quand la neige n'est traditionnellement jamais là ! Aujourd'hui, il en est tombé en abondance ...
Quant à nous, dans les Montagnes Rocheuses, on pourrait en utiliser plus, beaucoup, beaucoup plus ; pourtant, comme nous ne contrôlons pas le robinet, il est totalement futile de se faire du soucis à ce propos. La seule action constructive qui peut être prise, si par exemple, on travaille dans un commerce dont l'activité dépend beaucoup de neige, est de commencer à planifier en fonction d'une variété d’hypothèses. Par exemple, Hypothèse No 1, si la neige arrive sur Décembre 15, Hypothèse No 2, si la neige arrive le 25 Décembre, Hypothèse No 3, si la neige n'arrive que le 10 Janvier, etc.
Ces différent plans pourraient inclure le nombre d’employés, les heures d'ouverture, la gestion des stocks ou tout ce qui serait en mesure d'optimiser les résultats en fonction de la situation réelle et d'atténuer ses conséquences. C'est une manière beaucoup plus proactive qui permet de gérer quelque chose que nous ne contrôlons pas du tout, d'une manière qui peut avoir des conséquences majeures sur nos moyens de subsistance et notre confort, en prévoyant un plan spécifique pour chacun des cas de figure prévisibles! Le reste, comme nous l'avons vu précédemment, est une pure perte de temps.
Comment mes théories affectent ce que je fais? En pratique, mes plans alternatifs, s'ils existent, sont beaucoup plus limités que dans l'exemple que j'ai utilisé, je vais donc me dire qu'il n'y aura « pas de neige » pendant les Vacances de Noël, et peut-être aurai-je une merveilleuse surprise!
Quant à nous, dans les Montagnes Rocheuses, on pourrait en utiliser plus, beaucoup, beaucoup plus ; pourtant, comme nous ne contrôlons pas le robinet, il est totalement futile de se faire du soucis à ce propos. La seule action constructive qui peut être prise, si par exemple, on travaille dans un commerce dont l'activité dépend beaucoup de neige, est de commencer à planifier en fonction d'une variété d’hypothèses. Par exemple, Hypothèse No 1, si la neige arrive sur Décembre 15, Hypothèse No 2, si la neige arrive le 25 Décembre, Hypothèse No 3, si la neige n'arrive que le 10 Janvier, etc.
Ces différent plans pourraient inclure le nombre d’employés, les heures d'ouverture, la gestion des stocks ou tout ce qui serait en mesure d'optimiser les résultats en fonction de la situation réelle et d'atténuer ses conséquences. C'est une manière beaucoup plus proactive qui permet de gérer quelque chose que nous ne contrôlons pas du tout, d'une manière qui peut avoir des conséquences majeures sur nos moyens de subsistance et notre confort, en prévoyant un plan spécifique pour chacun des cas de figure prévisibles! Le reste, comme nous l'avons vu précédemment, est une pure perte de temps.
Comment mes théories affectent ce que je fais? En pratique, mes plans alternatifs, s'ils existent, sont beaucoup plus limités que dans l'exemple que j'ai utilisé, je vais donc me dire qu'il n'y aura « pas de neige » pendant les Vacances de Noël, et peut-être aurai-je une merveilleuse surprise!
mercredi, décembre 07, 2011
Le bonheur de « ne pas avoir ... »
Quand nous sommes dans la vingtaine, la trentaine, la quarantaine et la cinquantaine, nous voulons toujours plus. Plus en matière de diplômes, de carrière, d'argent, de voiture, de maison, d’équipement sportif, et de gadgets ... Soudain, en devenant sexagénaire, la tendance s'inverse et nous commençons à vouloir moins: Moins d'impôts, moins de circulation, moins de pollution, moins de douleurs chroniques, moins de bruit, moins de relations superficielles, moins de raideur, moins de froid et moins de chaleur. Je pourrais continuer à l'infini avec tous ces éléments que nous aimerions réduire …
Dès que nous franchissons le seuil de la soixantaine, un renversement de tous nos désirs et besoins s’opère soudainement, et ce pour le meilleur. À tous ces désirs communs j'ajouterai que je me sens particulièrement favorisé de ne posséder ni résidence secondaire, ni camping-car, avion ou bateau. D'accord, il y a juste une chose qui me manque quand même, et c'est beaucoup plus de temps!
Dès que nous franchissons le seuil de la soixantaine, un renversement de tous nos désirs et besoins s’opère soudainement, et ce pour le meilleur. À tous ces désirs communs j'ajouterai que je me sens particulièrement favorisé de ne posséder ni résidence secondaire, ni camping-car, avion ou bateau. D'accord, il y a juste une chose qui me manque quand même, et c'est beaucoup plus de temps!
mardi, décembre 06, 2011
L'aventure du montage
En tant que vidéaste en herbe, il y a de bons et de mauvais jours. Les bons jours surviennent quand j'ai de la chance et que je récupère une séquence de qualité sans même m'y attendre. Les mauvais jours sont ceux où rien ne semble aller bien. En fait, quand c'est le cas, c'est souvent que je n'avais pas fait mon travail de préparation comme j'aurai du. Une planification au petit bonheur la chance ne peut rien garantir de bien bon, n'est ce pas ?
C’était tout à fait ma situation ce week-end, et aujourd'hui, comme je suis en train de trier toutes mes images en espérant créer un clip à peu près décent, chaque séquence me rappelle le moment où j'ai filmé et je tombe sous l'emprise de l'inspiration ; je récupère une bonne scène ici, une autre là, et mon script original commence à évoluer en fonction du contenu que j'ai décidé de conserver.
Je suis alors en train de découvrir que le montage cinématographique est un assez long cheminement et que le produit final prends forme au cours de son assemblage. Une histoire totalement nouvelle peut naitre de cette façon ! Les images que je pensais être assez mauvaises peuvent recréer, en fin de course, quelque chose d'assez bon, ce qui bien entendu dépasse largement des espérances au ras des pâquerettes. Parfois, tout ne se termine pas si mal ...
C’était tout à fait ma situation ce week-end, et aujourd'hui, comme je suis en train de trier toutes mes images en espérant créer un clip à peu près décent, chaque séquence me rappelle le moment où j'ai filmé et je tombe sous l'emprise de l'inspiration ; je récupère une bonne scène ici, une autre là, et mon script original commence à évoluer en fonction du contenu que j'ai décidé de conserver.
Je suis alors en train de découvrir que le montage cinématographique est un assez long cheminement et que le produit final prends forme au cours de son assemblage. Une histoire totalement nouvelle peut naitre de cette façon ! Les images que je pensais être assez mauvaises peuvent recréer, en fin de course, quelque chose d'assez bon, ce qui bien entendu dépasse largement des espérances au ras des pâquerettes. Parfois, tout ne se termine pas si mal ...
lundi, décembre 05, 2011
Ah, ce Slalom Géant ...
Comme beaucoup d'autres hier, j'ai regardé avec des yeux écarquillés le Géant de Beaver Creek. Quel plaisir ! Alors que la visibilité aurait pu être un peu meilleure, les conditions de neige étaient parfaites et offraient une chance équitable à tous les participants. J'ai été frappé par les difficultés naturelles de la pente et par la tolérance zéro pour la plus petite faute qu'imposait cette épreuve. La neige était super dure, la marge d'erreur néant, et juste au delà de la prise de carre parfaite venait ... la prise de carre par la chaussure, pas une bonne option du tout, comme Bennie Raich pourrait en témoigner.
Une autre option est que la cible habituelle, mon compatriote et héros local Ted Ligety et ses 27 ans se trouve maintenant assiégé par de nouveaux et plus jeunes talents comme Fritz Dopfer 24 ans, Marcel Hirscher 23 ans, Giovanni Borsotti 21 ans et Alexis Pinturault qui n'en a que 20 ! Ces jeunes coureurs talentueux vont sans aucun doute créer une brèche parmi les plus vieux coureurs et redistribuer les cartes. Dommage qu'il y ait si peu de Slalom Géants programmes pendant la saison. Il serai temps pour la FIS de reconsidérer tout ça, de nous délivrer de l'absurdité du Super G et de nous donner plus Géants à la place!
Une autre option est que la cible habituelle, mon compatriote et héros local Ted Ligety et ses 27 ans se trouve maintenant assiégé par de nouveaux et plus jeunes talents comme Fritz Dopfer 24 ans, Marcel Hirscher 23 ans, Giovanni Borsotti 21 ans et Alexis Pinturault qui n'en a que 20 ! Ces jeunes coureurs talentueux vont sans aucun doute créer une brèche parmi les plus vieux coureurs et redistribuer les cartes. Dommage qu'il y ait si peu de Slalom Géants programmes pendant la saison. Il serai temps pour la FIS de reconsidérer tout ça, de nous délivrer de l'absurdité du Super G et de nous donner plus Géants à la place!
dimanche, décembre 04, 2011
Super G … Ça vous plait ?
Je n'ai jamais été un fan du Super-G qui m'a toujours paru comme une discipline alpine parfaitement inutile. La surprenante victoire, hier à Beaver Creek de Sandro Viletta, sur tous les autres favoris, était une autre bonne raison de douter de cette compétition bizarre. Je vois ça comme une épreuve bâtarde (non, pas hybride du tout) entre le Géant et la Descente et alors qu'elle est peut être spectaculaire pour certains, elle reste très imprévisible et peu capable de mettre en valeur et récompenser les véritables capacités du skieur de compétition.
Le ski est suffisamment imprévisible, entre qualité de la neige, météo et visibilité, tout en facteurs infiniment changeants, que plus on est capable de limiter ceux-ci, le plus juste sera le résultat. En slalom, dont j'ai cessé d’être un fan, depuis l'introduction des piquets articulés, le grand nombre de virages augmente les chances de sortir, de passer une porte à cheval ou de la manquer, et tout ça multiplié en deux manches. Presque la même situation en ce qui concerne le Slalom Géant (de loin, mon épreuve préférée, parce que c'est celle qui se rapproche le plus du ski que nous pratiquons tous) où un peu moins de portes et un tracé plus ouvert améliorent quelque peu les chances des coureurs, mais où la trajectoire parfaite prend une importance énorme.
La Descente est toute une question de ligne de course parfaite, liée au courage, tout du moins sur les meilleures pistes. Ceci dit, les athlètes ont une paire d'occasions d'essayer le parcours avant la compétition et, ce faisant, de peaufiner leurs approches et leurs stratégies. En revanche, le Super G cette forme de descente bâtarde ne donne absolument aucune occasion aux athlètes de se familiariser avec le parcours, juste de l'inspecter comme un Slalom ou un Géant. C'est pourquoi je n'aime pas cette épreuve et trouve qu'elle est totalement inutile parmi les compétitions alpines !
Le ski est suffisamment imprévisible, entre qualité de la neige, météo et visibilité, tout en facteurs infiniment changeants, que plus on est capable de limiter ceux-ci, le plus juste sera le résultat. En slalom, dont j'ai cessé d’être un fan, depuis l'introduction des piquets articulés, le grand nombre de virages augmente les chances de sortir, de passer une porte à cheval ou de la manquer, et tout ça multiplié en deux manches. Presque la même situation en ce qui concerne le Slalom Géant (de loin, mon épreuve préférée, parce que c'est celle qui se rapproche le plus du ski que nous pratiquons tous) où un peu moins de portes et un tracé plus ouvert améliorent quelque peu les chances des coureurs, mais où la trajectoire parfaite prend une importance énorme.
La Descente est toute une question de ligne de course parfaite, liée au courage, tout du moins sur les meilleures pistes. Ceci dit, les athlètes ont une paire d'occasions d'essayer le parcours avant la compétition et, ce faisant, de peaufiner leurs approches et leurs stratégies. En revanche, le Super G cette forme de descente bâtarde ne donne absolument aucune occasion aux athlètes de se familiariser avec le parcours, juste de l'inspecter comme un Slalom ou un Géant. C'est pourquoi je n'aime pas cette épreuve et trouve qu'elle est totalement inutile parmi les compétitions alpines !
samedi, décembre 03, 2011
Que veut dire Fiat ?
Parmi les plaisanteries qui courent et qui sont les moins vulgaires, j'ai trouvé : « Ferraille invendable à Turin ». J’amène ce sujet car aujourd'hui, alors que je me rendais à Deer Valley, une petite voiture était arrêté et vide de tout occupant, sur le bord de la route. Nous ne voyons plus beaucoup de voitures en panne sur le bord des routes de nos jours et cela attiré mon attention.
Il s'agissait en fait une nouvelle Fiat 500 qui avaient été abandonnée par son conducteur et attendait qu'on vienne la dépanner. Je n'ai pas été choqué, juste un peu surpris. La dernière fois que j'avais vu des autos dans cette situation, c’était en Bulgarie et les voitures étaient des Volgas de fabrication russe. Ce n'est pas que je veuille insinuer que les automobiles Fiat sont de mauvaise qualité, mais même maintenant que la firme turinoise est propriétaire de Chrysler, une Fiat est bien évidemment toujours une Fiat ...
Il s'agissait en fait une nouvelle Fiat 500 qui avaient été abandonnée par son conducteur et attendait qu'on vienne la dépanner. Je n'ai pas été choqué, juste un peu surpris. La dernière fois que j'avais vu des autos dans cette situation, c’était en Bulgarie et les voitures étaient des Volgas de fabrication russe. Ce n'est pas que je veuille insinuer que les automobiles Fiat sont de mauvaise qualité, mais même maintenant que la firme turinoise est propriétaire de Chrysler, une Fiat est bien évidemment toujours une Fiat ...
vendredi, décembre 02, 2011
Populiste ou intellectuel ?
Un des problèmes de Barack Obama est sa difficulté à bien connecter avec le peuple, si vous préférez, à être bien charismatique. Contrairement à Bill Clinton, Obama n'est pas un populiste né et pas le genre d'individu avec qui vous prendriez une bière en vous sentant totalement à l'aise. Je peux voir une véritable séparation entre son genre de personnalité, très intellectuelle, qui aurait tendance à mépriser les politiciens qui embrassent les bébés et vous envoient de bonnes claques dans le dos, et justement, ces populiste nés n'ont aucune honte à faire tout ce qu'il faut pour gagner et garder leur électorat.
Dans cette classe, vous trouvez également quelqu'un comme Reagan. En France ce sera un Sarkozy ou en Italie, un Berlusconi, encore que ce dernier est d'avantage une caricature du genre. Si l'intellect peut servir à vous faire élire, le populisme est un excellent ingrédient pour rester au sommet des sondages et assurer sa réélection. Cela dit, compte tenu des qualités médiocres des candidats républicains cette année, il nous faudrait un homme ou une femme incroyablement charismatiques pour surmonter l'intelligence d'Obama!
Dans cette classe, vous trouvez également quelqu'un comme Reagan. En France ce sera un Sarkozy ou en Italie, un Berlusconi, encore que ce dernier est d'avantage une caricature du genre. Si l'intellect peut servir à vous faire élire, le populisme est un excellent ingrédient pour rester au sommet des sondages et assurer sa réélection. Cela dit, compte tenu des qualités médiocres des candidats républicains cette année, il nous faudrait un homme ou une femme incroyablement charismatiques pour surmonter l'intelligence d'Obama!
jeudi, décembre 01, 2011
Parlons « tavaillons ... »
J'ai toujours aimé les bardeaux de bois en tant que matériau de couverture. Très probablement parce qu'ils faisaient partie de mon environnement quand j'ai grandi aux Lindarets, ce merveilleux petit hameau alpin situé au dessus de Morzine. Un peu plus tard, la station moderne d'Avoriaz les adoptaient, non seulement pour les toitures, mais aussi en tant que bardage, et cette fois ci, s'offrait le luxe d'importer des bardeaux de cèdre en provenance de la Colombie-Britannique !
Quand j'ai déménagé à l'Amérique, j'ai redécouvert ce matériau dans l'Est, principalement utilisés comme bardage et c'est seulement quand je suis arrivé à Park City dans le milieu des années 80 que le matériau était à son apogée, surtout utilisé sur toutes les toitures. Nous avons eu deux maisons équipées de ce matériau et notre expérience n'a pas été particulièrement bonne.
Depuis ce temps, l'utilisation de ce matériau rustique a baissé considérablement. Une raison évidente est le danger d'incendie qu'il représente, mais une raison plus essentielle est que ce matériau résiste mal au climat extrêmement sec que nous avons en Utah. Après un certain temps, les tavaillons sur les pans les plus exposés aux éléments se dessèchent, se tordent, se vrillent et doivent être remplacés.
Le manque d'humidité affaiblit considérablement le bois et le rend vulnérable aux changements importants de température que nous subissons, de sorte que le bardeau perd sa forme géométrique et donc sa fonctionnalité. Ces déformations pourrait également être associée à la différence qui existe entre les bardeaux fendus qui devraient durer plus longtemps, mais sont plus chers, et les bardeaux sciés qui ont perdu leur intégrité directionnelle et sont libres de plier dans tous les sens. C'est dommage, car un toit en bardeaux à une apparence à la fois si rustique et si naturelle ...
Quand j'ai déménagé à l'Amérique, j'ai redécouvert ce matériau dans l'Est, principalement utilisés comme bardage et c'est seulement quand je suis arrivé à Park City dans le milieu des années 80 que le matériau était à son apogée, surtout utilisé sur toutes les toitures. Nous avons eu deux maisons équipées de ce matériau et notre expérience n'a pas été particulièrement bonne.
Depuis ce temps, l'utilisation de ce matériau rustique a baissé considérablement. Une raison évidente est le danger d'incendie qu'il représente, mais une raison plus essentielle est que ce matériau résiste mal au climat extrêmement sec que nous avons en Utah. Après un certain temps, les tavaillons sur les pans les plus exposés aux éléments se dessèchent, se tordent, se vrillent et doivent être remplacés.
Le manque d'humidité affaiblit considérablement le bois et le rend vulnérable aux changements importants de température que nous subissons, de sorte que le bardeau perd sa forme géométrique et donc sa fonctionnalité. Ces déformations pourrait également être associée à la différence qui existe entre les bardeaux fendus qui devraient durer plus longtemps, mais sont plus chers, et les bardeaux sciés qui ont perdu leur intégrité directionnelle et sont libres de plier dans tous les sens. C'est dommage, car un toit en bardeaux à une apparence à la fois si rustique et si naturelle ...
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