La semaine dernière, je me suis offert 5 tonnes de galets, calibrés entre 5 et 12 centimètres, pour jouer les paysagiste et réparer un certain nombres d'endroits autour de la maison que le professionnel que j'avais embauché pour faire le travail, deux ans auparavant, avait un peu bâclé les choses.
C'est donc ainsi que la semaine dernière, un gros camion de terrassement est venu vider sa benne à côté de l’entrée de mon garage. Depuis, je n'ai fait que manipuler des pierres du matin jusqu'au soir.
À ce stade, je dois avoir utilisé la moitié de la pile et ma femme reste confiante que nous allons pouvoir nous servir de tous ces mignons petits cailloux. Je suis d'accord avec son évaluation, mais remets un peu en question la sagesse de mon achat ainsi que l'ampleur de la tâche, par rapport à mon corps de sexagénaire. Il est un fait que j'adore faire ce travail et reste confiant que je vais voir la pile baisser et éventuellement disparaître.
Bon, c'est un travail qui n'est pas très intellectuel. Il demande juste un tout petit peu de patience, un certain doigté pour bien imbriquer les galets (on ne peut pas se contenter de vider le seau ; il faut bien s'assurer que tous ces petits cailloux sont parfaitement mis en place) ; de plus le travail réclame une endurance de bœuf pour pousser la brouette ou porter ces lourds seaux de pierre.
La nuit je dors parfaitement bien !
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