En lisant récemment le livre de Haruki Murakami « What I Talk About When I Talk About Running » ( De quoi je parle quand je parle de course à pied) j’ai découvert que si « la douleur est inévitable, la souffrance est facultative ». Cela m’a paru logique.
Bien sûr, je me suis demandé d'où cela venait. J'ai ainsi découvert que c’était souvent attribué à la tradition bouddhiste, bien qu'il soit difficile d'en identifier la vraie origine. Cela fait écho aux enseignements fondamentaux du bouddhisme, notamment ceux liés aux Quatre Nobles Vérités et à la nature de la souffrance.
Ce principe souligne que si la douleur (physique ou émotionnelle) fait naturellement partie de nos vies, la souffrance est un choix qui dépend de la façon dont nous la traitons et y réagissons. Par exemple, une personne peut faire face à des difficultés, mais choisir de se concentrer sur le développement personnel et la résilience, réduisant ainsi son impact émotionnel.C'est un excellent rappel que nous pouvons utiliser notre capacité de relativiser et nos aptitudes pour trouver du sens ou la paix, même dans les circonstances les plus difficiles. Un élément à bien retenir quand les choses se corsent !
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