Pendant que je l'utilisais, j'étais un fan inconditionnel et un fervent défenseur de Facebook. Je ne pouvais pas voir, entendre ou parler en mal de ce média social.
Le 22 mars, cependant, et sans aucun préavis, j'ai décidé de suspendre mon compte et cela fait maintenant plus de 4 mois que je ne suis plus l'esclave de cet outil tant addictif.
Bien sûr, je suis revenu brièvement une dizaine de fois sur le site et n'y ai guère passé que 20 minutes en tout dans cet univers parallèle, mais à ce jour, mon accès reste toujours suspendu et le seul élément que j'utilise (rarement, je dois dire) est son outil de communication instantanée « Messenger ».
Le résultat net est que mon voyeurisme décroissant m'a vraisemblablement épargné au moins 60 heures de pure perte de temps et peut-être beaucoup plus ...
Autant dire que le bilan est extrêmement positif et que j'ai l'intention de continuer cette « suspension ».
Je n'ai pas encore trouvé le courage de tirer un trait final sur cette sale invention.
Oh, c'est juste, je ne suis peut-être pas le seul à avoir des doutes au sujet de Facebook ; hier, son titre a chuté de près de 20% après la fermeture du marché, et ce faisant a perdu une en quelques minutes 120 milliards de dollars.
Du jamais vu !
vendredi, juillet 27, 2018
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