Si vous me posiez cette question aujourd'hui, je répondrais probablement, comme vous pourriez vous y attendre « Jusqu'à ce que je meure ».
Je viens de lire un article dans le quotidien anglais « Telegraph » sur la meilleure façon de continuer à skier quand on vieillit et bien entendu, j'ai mon idée là-dessus. L'article tente de parler des blessures, du déclin naturel et de quelques analyses sophistiquées ainsi que de plans très enrégimentés.
Je trouve que c'est un peu poussé. Je n'ai pas envie de voir un gourou ou de m'inscrire dans un programme de « rajeunissement » !
Ma philosophie est d'avantage de « voir en venant » et de faire preuve de bon sens, comme par exemple d'utiliser d'avantage la gravité que la force musculaire - qui diminue de toute façon - tout en écoutant attentivement mes propres instincts qui sont là pour nous protéger.
Par exemple, mon corps me dit de ne plus sauter d'un mur d'un mètre cinquante car il sait que ses capacités d'absorption des chocs ne peuvent plus garantir un atterrissage en douceur.
Bien sûr, j'essaie de rester aussi en forme que possible, mais sans m'asservir à des objectifs irréalistes, sachant très bien que je ne pourrai pas repousser de façon spectaculaire mon déclin physiologique.
Je dirais qu'il suffit alors d'utiliser bien intelligemment le peu qui nous reste, et cela devrait suffire.
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