On pourrait appeler cela des « questions de matériels », mais à mon avis, les « questions logicielles » comme la technique, la concentration, la vitesse et le kilométrage sont encore plus susceptibles de faire la différence dans l'expérience que le skieur aura à long terme.
- D'abord, la technique : c'est ce qui est essentiel, mais cela prend du temps, c'est ennuyeux et la plupart des apprentis-skieurs ne trouvent pas cela drôle. Pourtant, c'est l'outil de base qui à terme sera capable de travailler efficacement en minimisant les efforts et en réduisant la fatigue.
- La concentration apporte un avantage inestimable, car le ski n'est pas un sport intuitif et exige une attention constante, surtout lorsque les problèmes liés au terrain augmentent. Sans concentration, le skieur typiquement « rechute » dans toutes ces « mauvais habitudes » qui sont instinctives et entraînent tous les problèmes qu'on connaît.
- La vitesse est liée directement au courage ou à l'audace. Comme le ski est un sport de gravité, la vitesse est une alliée, mais paradoxalement, un certain niveau de vitesse ou d'énergie cinétique exige des tripes que peux de skieurs trouvent et tout cela se transforme vite en cycle vicieux plutôt que vertueux !
- Le kilométrage, enfin, est l'ingrédient secret qui permet d'affiner la technique et de transformer certaines de ces « mauvaises habitudes » en réflexes plus ou moins conditionnés tout en offrant aux skieurs un trésor d'expérience qui leur sera utile à chaque fois que les choses se compliquent.
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