Mes voisins, moniteurs de ski à Deer Valley, restent très lents à adopter le port du casque. Il n'y a pas si longtemps, l'un d'entre eux m'a même laissé entendre que ces protections étaient surestimées en me demandant: « Portes-tu un casque quand tu conduis ton auto ? » Très juste, je n'en porte pas, mais je suis content d'en porter un sur les pistes.
Il y a une semaine de cela, mon petit-fils a dévissé sur une pente très raide et très glacée avant d’être stoppé par les arbres. En fait, ses deux cuisses ont subit l'impact brutal et tout cela s'est soldé par une sévère contusion dont il a prit plusieurs jours à s'en remettre.
Il aurait pu tout aussi facilement, glisser la tête la première et taper dans ces mêmes arbres et c'est sans doute là que son casque aurait remplit sa fonction vitale.
Parfois, les chutes ne sont pas si spectaculaires et les vitesses ne sont pas si élevées, mais c'est précisément à ces instants qu'un casque protège le skieur comme il le devrait.
Les chutes font partie intégrante du ski ou du snowboard, et je suis convaincu que même si un casque ne protège que dans 20% des cas (je pense en fait que c'est beaucoup plus que ça), cela vaut toujours la peine d'en porter un.
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