C'est hier soir que nous avons finalement pris le temps de regarder le débat en « matinée » mettant en lice les quatre candidats républicains qui se trouvaient en queue des sondages, et qui étaient ainsi relégués à un temps d’antenne avec une très faible audience.
Leur débat était civil, parfois intéressant, et - à mon avis – leur joute oratoire a été dominée par Lindsey Graham, qui mis à part son coté « guerrier », a fait quelques commentaires intéressants. Le quatuor s'est bien conduit et n'a surtout pas perdu son sang froid à l’égard du panel de journalistes qui les interrogeait.
Le plus important et que notre quatuor s'est retrouvé en moyenne avec plus de 20 minutes de temps d'intervention, contre seulement 8 minutes pour leurs 10 homologues qui se sont produits plus tard dans la soirée.
Ce temps bien trop court face à la camera est probablement ce qui a déchaîné la colère de Cruz et de Christie vis à vis de ce même panel de CNBC. Le parti républicain n'a pas été très malin (!!!) ; il aurait du diviser ses candidats en deux groupes égaux de sept, leur donnant ainsi plus de temps, d'espace, de visibilité et d'occasion de faire valoir leurs arguments.
Au lieu de cela, le manque d'imagination des dirigeant du parti a couvert ses meilleurs candidats de ridicule tandis que les quatre plus mauvais qui les précédaient on pu faire un bien meilleur numéro ; dommage qu'il n'y avait personne pour les voir ...
samedi, octobre 31, 2015
vendredi, octobre 30, 2015
Capitalisme, croissance et population
Si il y a bien un message que le passage de la politique chinoise de un à deux enfants nous envoie, c'est que la croissance n'est pas compatible avec des mesures limitant la population et que cela ne fonctionne pas trop bien avec notre bon vieux capitalisme !
Toutes les nations recherchent la croissance, leurs politiciens la promettent, donc pour alimenter ce « monstre » il faut tout simplement plus de consommateurs, plus de participants, donc plus de gens. L'avènement de l'économie de marché, ou du capitalisme, a embrasé la croissance de la population planétaire.
Celle-ci a été fulgurante ; elle est passée d'environ 500 millions d'habitants en 1700 à 7,282 milliards aujourd'hui et tout cela va continuer, particulièrement en Afrique où la population devrait quadrupler d'ici à la fin du siècle ! De toute évidence, cette croissance continue de la populace est impossible sur une planète dont l'espace et les ressources sont limités, donc la question n'est plus de savoir si il faut stopper cette croissance, mais quand et comment le faire.
D’après ce que nous entendons à ce propos (je devrais plutôt dire, ce que nous n'entendons pas), personne ne veut aborder le sujet car nos dirigeant n'ont pas la moindre idée de ce qu'il convient de faire. Donc, si nous ne pouvons pas compter sur nos dirigeants de pacotille, il va bien falloir qu nous prenions cette question en mains, à moins que nous soyons convaincu que l'intelligence de l'homme nous sortira de cette impasse grâce à un peu plus de technologie ou en allant coloniser une planète toute proche !
Toutes les nations recherchent la croissance, leurs politiciens la promettent, donc pour alimenter ce « monstre » il faut tout simplement plus de consommateurs, plus de participants, donc plus de gens. L'avènement de l'économie de marché, ou du capitalisme, a embrasé la croissance de la population planétaire.
Celle-ci a été fulgurante ; elle est passée d'environ 500 millions d'habitants en 1700 à 7,282 milliards aujourd'hui et tout cela va continuer, particulièrement en Afrique où la population devrait quadrupler d'ici à la fin du siècle ! De toute évidence, cette croissance continue de la populace est impossible sur une planète dont l'espace et les ressources sont limités, donc la question n'est plus de savoir si il faut stopper cette croissance, mais quand et comment le faire.
D’après ce que nous entendons à ce propos (je devrais plutôt dire, ce que nous n'entendons pas), personne ne veut aborder le sujet car nos dirigeant n'ont pas la moindre idée de ce qu'il convient de faire. Donc, si nous ne pouvons pas compter sur nos dirigeants de pacotille, il va bien falloir qu nous prenions cette question en mains, à moins que nous soyons convaincu que l'intelligence de l'homme nous sortira de cette impasse grâce à un peu plus de technologie ou en allant coloniser une planète toute proche !
jeudi, octobre 29, 2015
Retrouver Patrick Vallençant ...
La nuit dernière, j'ai décidé de regarder - pour la première fois - quelques-uns des films de Patrick avait produit quand il était célèbre. Bien que l'audace de ses descentes m'ait toujours impressionné, je l’étais beaucoup moins par ses qualités de skieur. Il n'était après tout pas si bon que ça !
Pour moi, le ski doit se passer tout en douceur et en harmonie avec le cadre de la montagne. Surtout pas au coup-par-coup !Bien sûr, il faut quand même bien prendre son temps pour descendre, virage-par-virage, un couloir raide et meurtrier et d’être capable de voir ce que se passe plus bas sans flancher. Ceci dit, la qualité dominante de Patrick était bien son absence totale de peur.
Ce trait se retrouve chez la plupart des casses-cous. D'une certaine manière, leur instinct de survie, normalement stimulé par la peur est absent, bloqué, ou totalement neutralisé afin qu'ils puissent se lancer en dépit du pire danger.
Coté mécanique du ski, une fois que la peur a disparu, descendre une pente extrêmement pentue est une question de faire un seul virage à la fois (les enchaîner n'est pas du tout une option viable !), bien franchir la corniche supérieure (toujours très délicat), prendre tout son temps de préparer une solide plate-forme (appui sur le ski amont et le bâton), soulever suffisamment haut les talons des skis pour ne pas accrocher la pente et bien absorber l'accélération qui en découle afin de bien réceptionner et caler les skis en travers de la pente.
Après avoir bien repris souffle, répéter l’opération. Puis bas, toujours être prêts à franchir une crevasse ici et là, au dernier moment, et se faufiler entre les séracs ... Il est clair qu'il faut une foi aveugle et un courage bien assortit pour faire les premières de toutes ces descentes, mais aujourd'hui, il semble que la plupart des bons skieurs sont parfaitement capables de répéter tout ça. On n’arrête pas l'évolution !
Pour moi, le ski doit se passer tout en douceur et en harmonie avec le cadre de la montagne. Surtout pas au coup-par-coup !Bien sûr, il faut quand même bien prendre son temps pour descendre, virage-par-virage, un couloir raide et meurtrier et d’être capable de voir ce que se passe plus bas sans flancher. Ceci dit, la qualité dominante de Patrick était bien son absence totale de peur.
Ce trait se retrouve chez la plupart des casses-cous. D'une certaine manière, leur instinct de survie, normalement stimulé par la peur est absent, bloqué, ou totalement neutralisé afin qu'ils puissent se lancer en dépit du pire danger.
Coté mécanique du ski, une fois que la peur a disparu, descendre une pente extrêmement pentue est une question de faire un seul virage à la fois (les enchaîner n'est pas du tout une option viable !), bien franchir la corniche supérieure (toujours très délicat), prendre tout son temps de préparer une solide plate-forme (appui sur le ski amont et le bâton), soulever suffisamment haut les talons des skis pour ne pas accrocher la pente et bien absorber l'accélération qui en découle afin de bien réceptionner et caler les skis en travers de la pente.
Après avoir bien repris souffle, répéter l’opération. Puis bas, toujours être prêts à franchir une crevasse ici et là, au dernier moment, et se faufiler entre les séracs ... Il est clair qu'il faut une foi aveugle et un courage bien assortit pour faire les premières de toutes ces descentes, mais aujourd'hui, il semble que la plupart des bons skieurs sont parfaitement capables de répéter tout ça. On n’arrête pas l'évolution !
mercredi, octobre 28, 2015
Toutes les rencontres en valent la peine !
Récemment, ma nièce publiait sur sa page Facebook un texte fort intéressant à propos des gens que nous rencontrons au hasard de nos vies:
« Ne regrette jamais d'avoir connu une personne dans ta vie ! Car les bonnes personnes te donnent du bonheur. Les mauvaises personnes te donnent de l’expérience et les plus méchantes te donnent une lecon. Dans tous les cas, tu gagnes quelque chose, et tu n'est jamais perdant … L'important est de savoir reconnaître les bonnes personnes qui méritent de faire partie de ton univers ! »
Cela est tout à fait vrai et pourtant je n'y avais jamais pensé en ces termes. C'est pourquoi je vais désormais me souvenir d’accueillir sans la moindre appréhension bons, mauvais et méchants dans ma vie !
« Ne regrette jamais d'avoir connu une personne dans ta vie ! Car les bonnes personnes te donnent du bonheur. Les mauvaises personnes te donnent de l’expérience et les plus méchantes te donnent une lecon. Dans tous les cas, tu gagnes quelque chose, et tu n'est jamais perdant … L'important est de savoir reconnaître les bonnes personnes qui méritent de faire partie de ton univers ! »
Cela est tout à fait vrai et pourtant je n'y avais jamais pensé en ces termes. C'est pourquoi je vais désormais me souvenir d’accueillir sans la moindre appréhension bons, mauvais et méchants dans ma vie !
mardi, octobre 27, 2015
Qui a inventé la position de l’œuf ?
En faisant quelques recherches pour préparer l'avis de décès d'Alain Lazard pour le magazine « Ski History Association » j'ai été rappelé que les vieilles rancunes ne meurent pas si vite que ça.
Par exemple, l'une des dernières missions d'Alain qu'il venait de faire par l’intermédiaire de mon bon ami Gérard Bouvier, fut d’interviewer Jean Vuarnet, le champion olympique français de descente en 1960. Dans celle-ci, il était question de l'invention de la position de recherche de vitesse à ski, ou « œuf » laquelle est largement attribuée à Vuarnet.
Ce point n'allait pas échapper à Jean-Claude Killy qui a rétorqué que c'est son autre célèbre voisin de Val d'Isère, Henri Oreiller, qui serait en fait l'auteur de cette position aérodynamique, selon quelques photos prises en 1948, qui serviraient donc de preuve.
Je signale juste cet incident pour tous les inventeurs. Restez toujours alertes, prudents et rappelez vous bien que si jamais vous croyez avoir inventer quelque chose de bien, il y a aura toujours un précédent qui somnole quelque part et restera prêt à vous bondir dessus !
Par exemple, l'une des dernières missions d'Alain qu'il venait de faire par l’intermédiaire de mon bon ami Gérard Bouvier, fut d’interviewer Jean Vuarnet, le champion olympique français de descente en 1960. Dans celle-ci, il était question de l'invention de la position de recherche de vitesse à ski, ou « œuf » laquelle est largement attribuée à Vuarnet.
Ce point n'allait pas échapper à Jean-Claude Killy qui a rétorqué que c'est son autre célèbre voisin de Val d'Isère, Henri Oreiller, qui serait en fait l'auteur de cette position aérodynamique, selon quelques photos prises en 1948, qui serviraient donc de preuve.
Je signale juste cet incident pour tous les inventeurs. Restez toujours alertes, prudents et rappelez vous bien que si jamais vous croyez avoir inventer quelque chose de bien, il y a aura toujours un précédent qui somnole quelque part et restera prêt à vous bondir dessus !
lundi, octobre 26, 2015
Alain Lazard, 1942 – 2015
C'est avec le plus grand choc que appris le décès d'Alain. Après avoir battu un cancer avec succès il y a juste quelques années, il a fallu qu'il tombe proie à une pneumonie samedi dernier.
Même si j'avais entendu parler de mon compatriote depuis mon arrivée en Amérique, ce n'est guère que ces 15 dernières années que j'ai eu la chance de bien le connaître et de l'apprécier. Alain était intelligent, intense, exigeant avec lui-même et doté d'un humour bien à lui.
Il avait des qualités intellectuelles qui malheureusement ne sont pas légion dans la branche du ski, où la plupart sont beaucoup trop épris par leur passion du ski pour pouvoir toujours voir les choses clairement. Au fil des ans, mon compatriote qui était arrive dans l'Ouest vers la fin des années soixante en tant qu'entraîneur de ski, avait construit sa carrière, d'abord dans le ski de compétition, avant de ses diriger vers équipement des stations de ski.
Quand il finalement pris sa retraite il y a quelques années, il a continué à travailler sur sa belle propriété située sur les flanc de la Sierra Californienne et s'est plongé dans l'écriture d'un morceau d'histoire moderne du ski. Parmi ses ouvrages, il a étudié et a rouvert le débat sur le limogeage de l'équipe de ski français dans les milieu des années soixante-dix.
Il a également publié plusieurs pièces uniques en leur genre sur les stations de ski françaises comparées à leur homologues américaines, ainsi qu'une comparaison des programmes de ski compétition à travers le monde et leurs résultats respectifs. Ses vues offraient une perspective très dégagée, étaient très bien écrites, documentées et toujours très conclusives.
Alain, tu nous a quittés bien trop tôt et tu vas tous nos manquer !
Même si j'avais entendu parler de mon compatriote depuis mon arrivée en Amérique, ce n'est guère que ces 15 dernières années que j'ai eu la chance de bien le connaître et de l'apprécier. Alain était intelligent, intense, exigeant avec lui-même et doté d'un humour bien à lui.
Il avait des qualités intellectuelles qui malheureusement ne sont pas légion dans la branche du ski, où la plupart sont beaucoup trop épris par leur passion du ski pour pouvoir toujours voir les choses clairement. Au fil des ans, mon compatriote qui était arrive dans l'Ouest vers la fin des années soixante en tant qu'entraîneur de ski, avait construit sa carrière, d'abord dans le ski de compétition, avant de ses diriger vers équipement des stations de ski.
Quand il finalement pris sa retraite il y a quelques années, il a continué à travailler sur sa belle propriété située sur les flanc de la Sierra Californienne et s'est plongé dans l'écriture d'un morceau d'histoire moderne du ski. Parmi ses ouvrages, il a étudié et a rouvert le débat sur le limogeage de l'équipe de ski français dans les milieu des années soixante-dix.
Il a également publié plusieurs pièces uniques en leur genre sur les stations de ski françaises comparées à leur homologues américaines, ainsi qu'une comparaison des programmes de ski compétition à travers le monde et leurs résultats respectifs. Ses vues offraient une perspective très dégagée, étaient très bien écrites, documentées et toujours très conclusives.
Alain, tu nous a quittés bien trop tôt et tu vas tous nos manquer !
Alain Lazard est décédé d'une pneumonie le samedi 24 Octobre, 2015. Né
à Aix-en-Provence, Alain avait fait des études de Chimie à
Marseille avant de devenir moniteur de ski diplômé. En 1969, Alain
arrive aux États-Unis, et de New York, en vrai pionnier,
littéralement traverse le continent à bord de sa 2cv Citroën
jusqu'à son poste d'entraîneur en Oregon avant de rejoindre la
Californie et le Club Med de Bear Valley.
De retour en France il
s'inscrit à . l'Université de Grenoble et passe son diplôme
d'entraîneur de ski. Georges Joubert lui offre alors un travail
d’entraîneur avec l’équipe de France de ski jusqu'en 1974.
L’année suivante il prends la direction du club des sports de La
Clusaz. En 1976, il s'installe à Squaw Valley, en Californie pour
s'occuper de l'association de ski du Far West.
Au début des années
quatre-vingt, il devient directeur du circuit de ski professionnel
« Peugeot Far West Tour». Cinq ans plus tard, il est nommé
représentant du consortium français "France Neige
International" où il sert d'agent de liaison officiel entre les
équipementiers de station français comme Poma et plus de 400
stations de ski américaines.
En 2005, Lazard prends sa retraite,
travaille sur ses propriétés sur le flanc des sierras
californiennes et se plonge à fond dans l'histoire du ski moderne.
Parmi ses publications, il a recherché et rouvert le débat sur le
limogeage de l'équipe de ski française en 1974.
Il a également
publié plusieurs essais comparant les stations françaises à leurs
homologues américaines ainsi qu'une étude sur les stratégies de
programmes de ski de compétition dans le monde et leurs résultats
respectifs. Son œuvre, écrite d'un point de vue très détachée du
détail sans importance est rigoureux, bien documenté, et toujours
intéressant avec une foule de faits révélateurs.
Alain Lazard qui
avait 73 ans, est survécu par son épouse Sarah et sa belle-fille
Lillie.
dimanche, octobre 25, 2015
Shiffrin et Ligety ...
S'il y a bien deux arbres qui cachent la forêt dans l'équipe américaine de ski alpin, c'est sûrement Mikaela Shiffrin et Ted Ligety. Vous pouvez quand même ajouter Lindsey Vonn si jamais elle arrive à surmonter ses soucis physiques du moment, mais franchement à côté de ces athlètes de haut niveau, il n'y a personne qui semble pointer son nez.
Cela dit, où se trouve la forêt? Je n'arrive pas à l'apercevoir. C'est là, qu'une fois de plus, je me permet de donner un de mes petits conseils à l'équipe américaine de ski : achetez l'équipe italienne féminine et l'équipe française masculine !
Cela dit, où se trouve la forêt? Je n'arrive pas à l'apercevoir. C'est là, qu'une fois de plus, je me permet de donner un de mes petits conseils à l'équipe américaine de ski : achetez l'équipe italienne féminine et l'équipe française masculine !
samedi, octobre 24, 2015
Mon cholestérol (élevé) va-t-il me tuer ?
Mon toubib me dit que mon cholestérol est à la limite et depuis une décennie, n'a pas cessé de me harceler pour que j'avale des satines. Assez intuitivement, j'ai obstinément refusé de suivre ses recommandations et plus je lis ou vois d'informations sur ces éléments, plus ceux-ci me font peur.
Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais le cholestérol est un produit naturel que l'on trouve dans le corps et qui est fabriquée par le foie. Il est essentiel pour la fonction des cellules et c'est aussi la molécule souche pour toutes ces hormones telles que l’œstrogène, la progestérone et la testostérone. Il est essentiel pour le système immunitaire et le cerveau.
Ensuite, il n'y a pas de lien avéré entre le cholestérol alimentaire et les maladies coronariennes. La plus grande fourberie en matière d'études scientifiques est cette « Étude des Sept Pays » publiée en 1953 par le Dr Ancel Keys, dont les données qui n'allaient pas tout à fait dans le sens de ce que voulait prouver ce brave docteur avaient été éliminées.
En fait, il avait commencé avec 22 pays, mais en seulement gardé les 7 qui arrangeait ce qu'il voulait démontrer. Aussi incroyable que cela puisse paraître, toute l’affabulation à propos du cholestérol est basée sur cette étude truquée. Une autre étude, celle de Framington, montre à l'inverse que chez les personnes qui avaient une très longue vie, leur taux de cholestérol était très élevé.
Enfin, le plus grand poison de tous n'est pas tant le taux de cholestérol, mais les statines qui sont censés l'abaisser. Dans ce domaine, les recherches ne montrent aucune différence de taux de mortalité entre les patients qui prennent des statines et ceux qui n'en prennent pas. En fait, les statines sont responsables pour un tres grand nombre d'effets secondaires très sérieux, dont la perte de mémoire, la perte de libido, les douleurs musculaires et la fatigue généralisée.
C'est donc désormais pourquoi la prochaine fois que mon docteur osera aborder le sujet, je luis répondrais : « Toi et tes laboratoires pharmaceutiques peuvent se les mettre quelque part, vos sacrées statines ! »
Je ne sais pas si vous êtes au courant, mais le cholestérol est un produit naturel que l'on trouve dans le corps et qui est fabriquée par le foie. Il est essentiel pour la fonction des cellules et c'est aussi la molécule souche pour toutes ces hormones telles que l’œstrogène, la progestérone et la testostérone. Il est essentiel pour le système immunitaire et le cerveau.
Ensuite, il n'y a pas de lien avéré entre le cholestérol alimentaire et les maladies coronariennes. La plus grande fourberie en matière d'études scientifiques est cette « Étude des Sept Pays » publiée en 1953 par le Dr Ancel Keys, dont les données qui n'allaient pas tout à fait dans le sens de ce que voulait prouver ce brave docteur avaient été éliminées.
En fait, il avait commencé avec 22 pays, mais en seulement gardé les 7 qui arrangeait ce qu'il voulait démontrer. Aussi incroyable que cela puisse paraître, toute l’affabulation à propos du cholestérol est basée sur cette étude truquée. Une autre étude, celle de Framington, montre à l'inverse que chez les personnes qui avaient une très longue vie, leur taux de cholestérol était très élevé.
Enfin, le plus grand poison de tous n'est pas tant le taux de cholestérol, mais les statines qui sont censés l'abaisser. Dans ce domaine, les recherches ne montrent aucune différence de taux de mortalité entre les patients qui prennent des statines et ceux qui n'en prennent pas. En fait, les statines sont responsables pour un tres grand nombre d'effets secondaires très sérieux, dont la perte de mémoire, la perte de libido, les douleurs musculaires et la fatigue généralisée.
C'est donc désormais pourquoi la prochaine fois que mon docteur osera aborder le sujet, je luis répondrais : « Toi et tes laboratoires pharmaceutiques peuvent se les mettre quelque part, vos sacrées statines ! »
vendredi, octobre 23, 2015
Mon point de vue sur « One Wasatch »
Laissez-moi tout d'abord vous rappeler que « One Wasatch » est le nom donné au projet de liaison entre six stations de ski du massif du Wasatch en Utah.
Cela fait depuis que j'habite à Park City, en Utah, c'est a dire, il y a plus de 30 ans que j'attends que se fasse cette liaison à ski.
Tout ça, parce que j'ai deja assisté à la naissance d'un tel projet dans mon patelin des Portes du Soleil en France, et je peux témoigner de la joie et du plaisir que cette expérience m'a donné, a donné à mes amis, tous les usagers et les petites communes qui faisaient partie du projet et ont pu ainsi profiter de tous les avantages que ce projet a pu offrir.
À l'époque, j'enseignais le ski et j'avais un grand plaisir à emmener mes clients pour leur faire découvrir « l'autres coté de la montagne » et, croyez-moi, avec une liaison importante, il y a en a une multitude de « cotés »! La façon dont un groupe de montagne est stratifié n'en fini pas de combler les yeux des visiteurs. Tout est continuellement en train de changer et le chemin de retour est toujours aussi riche en images absolument inédites …
Quand j’étais moniteur de ski, j'ai fais découvrir à mes élèves une multitude de trésors cachés, illuminant ainsi leurs visages, tout comme le mien d'ailleurs. Cette satisfaction aurait suffi à me garder pour toujours dans ce milieu si je n'avais pas eu la bougeotte et decider de partir pour l'Amérique. Aujourd'hui, la plupart de mes amis et anciens collègues continuent à faire explorer leur beau domaine skiable à leurs clients aux « Portes du Soleil » cette liaison de plus de 200 remontées mécaniques qui s’étendent entre les montagnes Franco-Suisses ...
Nous sommes tous curieux, nous aimons tous explorer, chercher l'aventure et nous émerveiller devant nos merveilleuses découvertes. Voilà ce qu'un réseau de stations de ski reliés entre elles apporte à ceux qui savent apprécier la nature. Des paysages qui ne cessent de changer, les surprises qui guettent le visiteur au virage et cette expérience vivifiante que représente la randonnée en montagne.
Qui serait assez égoïste pour empêcher l'infirmière de 55 ans de Floride, l'enfant de 10 ans de Boston ou l'enseignant de 62 ans de Chicago de venir profiter de ce monde merveilleux ? Quelques individus qui disent adorer la nature parce qu'ils ont tout simplement la chance de vivre en montagne et sont persuadés que chaque virages doit être « gagné » ?
Personnellement, je ne le pense pas. En tant que montagnard qui suis né dans l'univers alpin et qui y a été élevé, je comprends et j’apprécie leur beauté et je crois que - lorsque cela est possible, ils devraient être ouverts à tous et partagées avec beaucoup de générosité. Dans le massif du Wasatch, il suffirait d'un minimum d'infrastructure pour permettre enfin d'offrir cette riche expérience au plus grand nombre. Juste 3 ou 4 remontées mécaniques suffiraient, pour permettre ce bond en avant. L'impact écologique serait minime, voire nul, car il pourrait supprimer un fort kilométrage parcouru aujourd'hui par les skieurs qui passent d'un canyon à l'autre.
De plus, l'expérience pratique des liaisons alpines montre en fait que les hivernants profitent rarement de toutes les possibilités offertes par le réseau pendant leur semaine de séjour. Mais le simple de savoir que ces options existent et qu'elles sont à leur portée suffira à les satisfaire pleinement. En fin de compte, c'est la population locale qui sera la grande bénéficiaire de ce que va apporter la liaison, et cela pendant des hivers entiers au cours desquels il leur sera possible de tout découvrir et d'explorer ...
C'est ainsi qu'il faut être assez bornés pour nier cette expérience exceptionnelle aux hivernants qui dépensent leur argent pour nous rendre visite et nous permettre de vivre ? Le massif du Wasatch est après tout le seul endroit où un tel domaine skiable relié pourrait être facilement créé en Amérique du Nord ... Ceux qui s'opposent au « One Wasatch » seraient-ils assez élitistes et égoïstes au point de vouloir fermer le portail derrière eux et savourer à eux seuls une expérience qui pourrait être appréciée par tous ?
Tout le monde n'est pas adepte de la randonnée à peau de phoque ni ne possède les compétences nécessaires pour évoluer sur tous les type de neiges et la pentes qui se trouvent sur les domaines hors-piste. Peu d'hivernants ont le temps d'apprendre comment utiliser des peaux et apprendre à naviguer parmi tous les écueils qui existent hors des pistes officielles. Pas plus du reste que chacun est physiquement prêt à « gagner » ses propres virages s'il leur est impossible d'avoir 3 ou 4 remontées à leur disposition pour amplifier considérablement leur expérience montagnarde.
S'opposer ainsi au libre passage de skieurs, ressemble d'avantage à un mouvement égoïste qu'a un acte généreux en vue de protéger la nature comme il prétend l'être. Plus de 40 ans après que les premières liaisons entre stations aient été établies dans les alpes, ces conflits entre « purs du skis » et le reste de la population n'ont jamais eu vraiment cours.
Tout au contraire, une bonne cohabitation a donné plus de plaisir à tous en rendant ski et snowboard beaucoup plus inclusifs, et en particulier ont donnés aux habitants locaux qui ont une multitude de saisons d'hiver à leur disposition, l'occasion d'explorer et de découvrir tous les trésors cachés parmi leurs montagnes et celles des autres.
Ces liaisons ont également favorisé une saine émulation entre stations, ont uni des communautés de montagne normalement éloignés, optimisé les investissements des stations de ski en apportant d'avantage de circulation vers les petites stations peu fréquentées et a exposé plus de skieurs aux joies du ski de rando et hors-piste grâce à un accès bien amélioré. Quelles personnes qui aiment l'aventure, l'exploration, et ont une bonne dose de curiosité naturelle ne souhaiteraient pas cela !
Tout ça, parce que j'ai deja assisté à la naissance d'un tel projet dans mon patelin des Portes du Soleil en France, et je peux témoigner de la joie et du plaisir que cette expérience m'a donné, a donné à mes amis, tous les usagers et les petites communes qui faisaient partie du projet et ont pu ainsi profiter de tous les avantages que ce projet a pu offrir.
À l'époque, j'enseignais le ski et j'avais un grand plaisir à emmener mes clients pour leur faire découvrir « l'autres coté de la montagne » et, croyez-moi, avec une liaison importante, il y a en a une multitude de « cotés »! La façon dont un groupe de montagne est stratifié n'en fini pas de combler les yeux des visiteurs. Tout est continuellement en train de changer et le chemin de retour est toujours aussi riche en images absolument inédites …
Quand j’étais moniteur de ski, j'ai fais découvrir à mes élèves une multitude de trésors cachés, illuminant ainsi leurs visages, tout comme le mien d'ailleurs. Cette satisfaction aurait suffi à me garder pour toujours dans ce milieu si je n'avais pas eu la bougeotte et decider de partir pour l'Amérique. Aujourd'hui, la plupart de mes amis et anciens collègues continuent à faire explorer leur beau domaine skiable à leurs clients aux « Portes du Soleil » cette liaison de plus de 200 remontées mécaniques qui s’étendent entre les montagnes Franco-Suisses ...
Nous sommes tous curieux, nous aimons tous explorer, chercher l'aventure et nous émerveiller devant nos merveilleuses découvertes. Voilà ce qu'un réseau de stations de ski reliés entre elles apporte à ceux qui savent apprécier la nature. Des paysages qui ne cessent de changer, les surprises qui guettent le visiteur au virage et cette expérience vivifiante que représente la randonnée en montagne.
Qui serait assez égoïste pour empêcher l'infirmière de 55 ans de Floride, l'enfant de 10 ans de Boston ou l'enseignant de 62 ans de Chicago de venir profiter de ce monde merveilleux ? Quelques individus qui disent adorer la nature parce qu'ils ont tout simplement la chance de vivre en montagne et sont persuadés que chaque virages doit être « gagné » ?
Personnellement, je ne le pense pas. En tant que montagnard qui suis né dans l'univers alpin et qui y a été élevé, je comprends et j’apprécie leur beauté et je crois que - lorsque cela est possible, ils devraient être ouverts à tous et partagées avec beaucoup de générosité. Dans le massif du Wasatch, il suffirait d'un minimum d'infrastructure pour permettre enfin d'offrir cette riche expérience au plus grand nombre. Juste 3 ou 4 remontées mécaniques suffiraient, pour permettre ce bond en avant. L'impact écologique serait minime, voire nul, car il pourrait supprimer un fort kilométrage parcouru aujourd'hui par les skieurs qui passent d'un canyon à l'autre.
De plus, l'expérience pratique des liaisons alpines montre en fait que les hivernants profitent rarement de toutes les possibilités offertes par le réseau pendant leur semaine de séjour. Mais le simple de savoir que ces options existent et qu'elles sont à leur portée suffira à les satisfaire pleinement. En fin de compte, c'est la population locale qui sera la grande bénéficiaire de ce que va apporter la liaison, et cela pendant des hivers entiers au cours desquels il leur sera possible de tout découvrir et d'explorer ...
C'est ainsi qu'il faut être assez bornés pour nier cette expérience exceptionnelle aux hivernants qui dépensent leur argent pour nous rendre visite et nous permettre de vivre ? Le massif du Wasatch est après tout le seul endroit où un tel domaine skiable relié pourrait être facilement créé en Amérique du Nord ... Ceux qui s'opposent au « One Wasatch » seraient-ils assez élitistes et égoïstes au point de vouloir fermer le portail derrière eux et savourer à eux seuls une expérience qui pourrait être appréciée par tous ?
Tout le monde n'est pas adepte de la randonnée à peau de phoque ni ne possède les compétences nécessaires pour évoluer sur tous les type de neiges et la pentes qui se trouvent sur les domaines hors-piste. Peu d'hivernants ont le temps d'apprendre comment utiliser des peaux et apprendre à naviguer parmi tous les écueils qui existent hors des pistes officielles. Pas plus du reste que chacun est physiquement prêt à « gagner » ses propres virages s'il leur est impossible d'avoir 3 ou 4 remontées à leur disposition pour amplifier considérablement leur expérience montagnarde.
S'opposer ainsi au libre passage de skieurs, ressemble d'avantage à un mouvement égoïste qu'a un acte généreux en vue de protéger la nature comme il prétend l'être. Plus de 40 ans après que les premières liaisons entre stations aient été établies dans les alpes, ces conflits entre « purs du skis » et le reste de la population n'ont jamais eu vraiment cours.
Tout au contraire, une bonne cohabitation a donné plus de plaisir à tous en rendant ski et snowboard beaucoup plus inclusifs, et en particulier ont donnés aux habitants locaux qui ont une multitude de saisons d'hiver à leur disposition, l'occasion d'explorer et de découvrir tous les trésors cachés parmi leurs montagnes et celles des autres.
Ces liaisons ont également favorisé une saine émulation entre stations, ont uni des communautés de montagne normalement éloignés, optimisé les investissements des stations de ski en apportant d'avantage de circulation vers les petites stations peu fréquentées et a exposé plus de skieurs aux joies du ski de rando et hors-piste grâce à un accès bien amélioré. Quelles personnes qui aiment l'aventure, l'exploration, et ont une bonne dose de curiosité naturelle ne souhaiteraient pas cela !
Libellés :
l'art du ski,
montagne,
ski biz
jeudi, octobre 22, 2015
Meilleur système de santé au monde ?
En Amérique, nous entendons souvent, surtout de la bouche nos politiciens, que nous avons le « meilleurs système de soins de santé dans le monde entier ». Cela fait plaisir à entendre, mais ne se vérifie pas lorsque nous regardons l'espérance de vie par pays.
Le Japon reste très largement en tête, avec un tas de nations minuscules et de principautés, suivi par la plupart des nations européennes. Nos bons vieux États-Unis doivent se contenter de la 35e place, juste en dessous d'une moyenne de 80 ans.
Le reste du classement est assez évident. J'ai énuméré de façon arbitraire les pays qui m'ont le plus intéressé, mais le classement complet peut être vu ici. Alors, comment se fait-il que le pays se vantant d’être le meilleur en matière de santé n'est pas numéro un? Où est « l'exceptionnalisme américain? » dont on aime tant parler ?
C'est assez simple, ce mauvais classement est lié à deux éléments. D'abord, les inégalités sociales qui sont plus élevés aux États-Unis que dans les autres pays développés, empêchant un accès facile aux soins de santé et un taux assez élevé de mortalité infantile. Ajoutez à cela des habitudes alimentaires désastreuses liées à des réglementations alimentaires assez douteuses, et vous avez les raison de notre piètre performance.
À bien des égards, ces raisons sont le résultat d'un capitalisme débridé où le profit à tout prix reste roi. La qualité de certains de nos hôpitaux peut être au « top » mondial, mais cela ne suffit pas à tirer notre nation tout entière vers une meilleure santé; nous avons encore du pain sur la planche avant d'y arriver !
Le Japon reste très largement en tête, avec un tas de nations minuscules et de principautés, suivi par la plupart des nations européennes. Nos bons vieux États-Unis doivent se contenter de la 35e place, juste en dessous d'une moyenne de 80 ans.
Le reste du classement est assez évident. J'ai énuméré de façon arbitraire les pays qui m'ont le plus intéressé, mais le classement complet peut être vu ici. Alors, comment se fait-il que le pays se vantant d’être le meilleur en matière de santé n'est pas numéro un? Où est « l'exceptionnalisme américain? » dont on aime tant parler ?
À bien des égards, ces raisons sont le résultat d'un capitalisme débridé où le profit à tout prix reste roi. La qualité de certains de nos hôpitaux peut être au « top » mondial, mais cela ne suffit pas à tirer notre nation tout entière vers une meilleure santé; nous avons encore du pain sur la planche avant d'y arriver !
mercredi, octobre 21, 2015
Ma solution aux problèmes d'immigration US ...
La nuit dernière, j'ai regardé « Frontline », une de mes émissions télévisées préférées, sur l'immigration. Après m’être forcé à tout regarder, j’étais profondément déçu par sa structure, son approches, son manque d'idées constructives et l'absence de conclusion. Ce qui suit est ma réaction:
D'abord, les « clandestins » sont des gens qui ont enfreint la loi. En conséquence, ils doivent être sanctionnés ; je ne vois pas pourquoi il faudrait compatir avec eux. Bien sûr, avant de faire quoi que ce soit, il faut d'abord stopper la « fuite. »
Les visiteurs avec visas de travail ou de tourisme doivent être suivis pour vérifier qu'ils quittent bien le pays dans les délais impartis ; nous avons des ordinateurs pour ça, d'accord ? S'ils se font pincer, ils perdent à jamais le droit de retourner aux États-Unis.
Les clandestins de « fraîche date » (moins de 6 mois dans le pays) sont déportés sine die et ne sont plus jamais autorisés à retourner au pays. Bien sûr, chaque clandestin devra être filtré. Tout individu avec un casier judiciaire sera déporté sur place.
Tous les autres peuvent demander un statut permanent à condition qu'ils s'acquitent d'une amende, disons de 10 000 dollars par personne ou plus, pour chaque individu, y compris tous les membres de la famille se trouvant dans le pays. S'il « n'y a que 11 millions » de clandestins, cela amènerait 110 milliards de dollars dans les caisses de l’état. De quoi remettre toute notre infrastructure à neuf !
Ces contrevenants devraient sans doute avoir à prendre des prêts, travailler d'avantage, gagner ainsi leur retour dans la légalité. Les gens en demande comme les ingénieurs, les prestataires de soins de santé, les éducateurs, les chercheurs ou les créateurs d'emplois n'auraient rien à payer et leur statut de résidents permanents serait prioritaire.
Oh, oui, j'avais presque oublié. Pour toute personne entrant aux États-Unis, l'anglais serait la langue officielle et tout nouvel entrant s'engagerait à respecter les coutumes sociales nord-américaines.
Les travailleurs peu ou moins qualifiés auraient toujours visas de travail saisonniers ou à temps défini en fonction de la demande. Enfin, seuls les enfants nés de résidents permanents ou de citoyens obtiendraient la citoyenneté américaine.
D'abord, les « clandestins » sont des gens qui ont enfreint la loi. En conséquence, ils doivent être sanctionnés ; je ne vois pas pourquoi il faudrait compatir avec eux. Bien sûr, avant de faire quoi que ce soit, il faut d'abord stopper la « fuite. »
Les visiteurs avec visas de travail ou de tourisme doivent être suivis pour vérifier qu'ils quittent bien le pays dans les délais impartis ; nous avons des ordinateurs pour ça, d'accord ? S'ils se font pincer, ils perdent à jamais le droit de retourner aux États-Unis.
Les clandestins de « fraîche date » (moins de 6 mois dans le pays) sont déportés sine die et ne sont plus jamais autorisés à retourner au pays. Bien sûr, chaque clandestin devra être filtré. Tout individu avec un casier judiciaire sera déporté sur place.
Tous les autres peuvent demander un statut permanent à condition qu'ils s'acquitent d'une amende, disons de 10 000 dollars par personne ou plus, pour chaque individu, y compris tous les membres de la famille se trouvant dans le pays. S'il « n'y a que 11 millions » de clandestins, cela amènerait 110 milliards de dollars dans les caisses de l’état. De quoi remettre toute notre infrastructure à neuf !
Ces contrevenants devraient sans doute avoir à prendre des prêts, travailler d'avantage, gagner ainsi leur retour dans la légalité. Les gens en demande comme les ingénieurs, les prestataires de soins de santé, les éducateurs, les chercheurs ou les créateurs d'emplois n'auraient rien à payer et leur statut de résidents permanents serait prioritaire.
Oh, oui, j'avais presque oublié. Pour toute personne entrant aux États-Unis, l'anglais serait la langue officielle et tout nouvel entrant s'engagerait à respecter les coutumes sociales nord-américaines.
Les travailleurs peu ou moins qualifiés auraient toujours visas de travail saisonniers ou à temps défini en fonction de la demande. Enfin, seuls les enfants nés de résidents permanents ou de citoyens obtiendraient la citoyenneté américaine.
mardi, octobre 20, 2015
Une vraie « fixation » ...
Récemment, alors que je regardais des vidéos relatant les exploits des premiers skieurs de l’extrême comme Anselme Baud et Patrick Patrick Vallençant, je remarquai leur fixations de skis qui, assez curieusement, étaient en tous points semblables à celles que j'ai utilisés quelques saisons vers la fin des années soixante et le début des années soixante-dix.
Le système consistait en une butée Look Nevada II jumelée avec un pivot Compétition Look, sans aucune plaque de frottement en Téflon ou même juste en plastique sous l'avant du pied. Le frottement était donc roi avec un tel système et la butée choisie n’était pas la bonne pour fonctionner correctement avec sa talonnière rudimentaire.
La retenue parfaite du pied était totalement garantie sans aucun espoir de « dégagement », ce qui n’était pas du reste le but recherché par Baud et Vallençant ! Une butée à double pivot Look Nevada eut été préférable avec ses encoches à l'avant de la semelle de la chaussure. Mais qui suis-je pour dire des choses pareilles quand j'ai skié pendant trois ou quatre saisons, sans me blesser, avec tel système !
Serge Cachat-Rosset, un autre skieur « extrême » utilisait l'ensemble plus moderne Look Nevada II avec des inserts en Téflon et le Pivot N17, mais n'a jamais atteint la notoriété de ses deux principaux concurrents en dépit de quelques premières assez audacieuses à son propre actif.
Ce qui est marrant, cependant, c'est que Serge ait été embauchée par Look à peu près en même temps que moi, et c'est enfin à ce moment que j'ai appris à appairer le fixations de skis correctement !
Le système consistait en une butée Look Nevada II jumelée avec un pivot Compétition Look, sans aucune plaque de frottement en Téflon ou même juste en plastique sous l'avant du pied. Le frottement était donc roi avec un tel système et la butée choisie n’était pas la bonne pour fonctionner correctement avec sa talonnière rudimentaire.
La retenue parfaite du pied était totalement garantie sans aucun espoir de « dégagement », ce qui n’était pas du reste le but recherché par Baud et Vallençant ! Une butée à double pivot Look Nevada eut été préférable avec ses encoches à l'avant de la semelle de la chaussure. Mais qui suis-je pour dire des choses pareilles quand j'ai skié pendant trois ou quatre saisons, sans me blesser, avec tel système !
Serge Cachat-Rosset, un autre skieur « extrême » utilisait l'ensemble plus moderne Look Nevada II avec des inserts en Téflon et le Pivot N17, mais n'a jamais atteint la notoriété de ses deux principaux concurrents en dépit de quelques premières assez audacieuses à son propre actif.
Ce qui est marrant, cependant, c'est que Serge ait été embauchée par Look à peu près en même temps que moi, et c'est enfin à ce moment que j'ai appris à appairer le fixations de skis correctement !
lundi, octobre 19, 2015
Devrait-on « doser » l'extrême ?
Cela fait désormais longtemps que les sports extrêmes ont la vedette. Du ski extrême (Patrick Vallençant et compagnie) au numéros de VTT, au base-jumping ou encore à l'escalade de pointe, la barre continue de monter.
Il ne se passe pas un mois sans qu'un athlète « extrême » d'une quelconque catégorie se tue, victime d'une marge de sécurité rétrécie par les niveaux impressionnants auxquels se hissent les athlètes.
Ce week-end dernier, les projecteurs étaient braqués sur les épreuves de VTT Red Bull à St. George, dans le sud de l'Utah, où l'on nous a régalés avec de belles images et quelques chutes spectaculaires de vététistes d'une témérité de premier ordre.
Je me demande si ces casse-cou pensent parfois à leur famille (parents, compagnons, enfants) avant de se lâcher ? Quelle innovation ce serait, si c’était le cas !
Il ne se passe pas un mois sans qu'un athlète « extrême » d'une quelconque catégorie se tue, victime d'une marge de sécurité rétrécie par les niveaux impressionnants auxquels se hissent les athlètes.
Ce week-end dernier, les projecteurs étaient braqués sur les épreuves de VTT Red Bull à St. George, dans le sud de l'Utah, où l'on nous a régalés avec de belles images et quelques chutes spectaculaires de vététistes d'une témérité de premier ordre.
Je me demande si ces casse-cou pensent parfois à leur famille (parents, compagnons, enfants) avant de se lâcher ? Quelle innovation ce serait, si c’était le cas !
dimanche, octobre 18, 2015
Cette élection présidentielle américaine ...
... ne sera pas tellement à propos de qui vas briguer le plus haut poste politique en Amérique, mais comment ce responsable de la branche exécutive de notre gouvernement, pourra façonner sa branche judiciaire, qui est notre Cour suprême.
Avec deux mandats présidentiels consécutifs potentiels, il y aura beaucoup de possibilités pour que des changements s’opèrent parmi les neuf sièges qui composent la plus haute court du pays, et comme ces nominations sont à long terme, cela sera de loin la plus grande conséquence possible de cette élection de 2016.
En tout cas, c'est ma vue personnelle de l'enjeu politique de cette consultation ...
Avec deux mandats présidentiels consécutifs potentiels, il y aura beaucoup de possibilités pour que des changements s’opèrent parmi les neuf sièges qui composent la plus haute court du pays, et comme ces nominations sont à long terme, cela sera de loin la plus grande conséquence possible de cette élection de 2016.
En tout cas, c'est ma vue personnelle de l'enjeu politique de cette consultation ...
samedi, octobre 17, 2015
Notre premier (et dernier) appart ...
Il y a juste quarante ans, quand nous vivions encore en France, nous nous achetions notre premier appartement dans un immeuble très ancien, en plein Nevers. Celui-ci comprenait une chambre à coucher, cuisine et salon ; il était située au 3ème étage et s'assortissait d'un grenier au 4ème.
Il était situé en plein centre-ville, à côté du marché couvert de Saint-Arigle, et il fallait nous garer dans la rue. Nous montions nos vélos jusqu'à notre étage. Nous étions seulement trois copropriétaires et avions eu un problème majeur avec notre toit qu'il avait fallu réparer quand nous occupions les lieux.
Le logement était vieux, mais ma femme l'avait arrangé avec beaucoup de goût et nous avons vécu dans cet espace assez restreint pendant environ un an. La quartier était bruyant et nos voisins d'en face ... trop curieux !
Nous avons vendu ce logement un an plus tard pour environ 20 000 euros et fait un tout petit bénéfice. C'est la dernière fois que nous avons vécu dans un appartement en plein centre-ville ...
Il était situé en plein centre-ville, à côté du marché couvert de Saint-Arigle, et il fallait nous garer dans la rue. Nous montions nos vélos jusqu'à notre étage. Nous étions seulement trois copropriétaires et avions eu un problème majeur avec notre toit qu'il avait fallu réparer quand nous occupions les lieux.
Le logement était vieux, mais ma femme l'avait arrangé avec beaucoup de goût et nous avons vécu dans cet espace assez restreint pendant environ un an. La quartier était bruyant et nos voisins d'en face ... trop curieux !
Nous avons vendu ce logement un an plus tard pour environ 20 000 euros et fait un tout petit bénéfice. C'est la dernière fois que nous avons vécu dans un appartement en plein centre-ville ...
vendredi, octobre 16, 2015
Feng shui : Suivi ...
Il y a encore quelques jours, je fondais les espérances les plus folles pour cette forme d'art chinois. Depuis j'ai beaucoup lu sur ce sujet et j'ai vu pas mal de vidéos qui m'ont permit de conclure que même si la technique semblerai prometteuse et même si quelqu'un à que je faisais confiance m'en avait parlé avec tant de conviction, je n'arrivais cependant pas à accepter ses principes généraux.
Quelques-uns d'entre eux me semblent bons et je vais les essayer, mais tout le reste appartient au domaine de la superstition, qui comme toujours reste à prouver. Ma vie est bien trop précieuse et trop courte pour que j'investisse dans une pratique basée sur un acte de foi. Jusqu'à preuve du contraire, et je dis bien Preuve, je vais continuer à pratiquer le bon sens.
C'est beaucoup plus simple et d'ailleurs, j'en étais déjà équipé quand je suis né!
Quelques-uns d'entre eux me semblent bons et je vais les essayer, mais tout le reste appartient au domaine de la superstition, qui comme toujours reste à prouver. Ma vie est bien trop précieuse et trop courte pour que j'investisse dans une pratique basée sur un acte de foi. Jusqu'à preuve du contraire, et je dis bien Preuve, je vais continuer à pratiquer le bon sens.
C'est beaucoup plus simple et d'ailleurs, j'en étais déjà équipé quand je suis né!
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jeudi, octobre 15, 2015
Pas n'importe quelles fenêtres !
Depuis que je suis à la retraite, je dois être sur la liste de ces vieillards crédules qu'il faut absolument séparer de leurs sous, et c'est la raison pour laquelle les appels téléphoniques n’arrêtent jamais chez nous. La plupart du temps, je les ignore et les laisse aller sur ma messagerie vocale, mais aujourd'hui, j'ai décidé d'en prendre un.
À l'autre bout du fil, une voix avec un fort accent me dit: « Je vous appelle parce que vous avez un problème avec votre enregistrement de Windows (le système d'exploitation de mon ordi) »; c'est le stratagème typique pour obtenir des renseignements personnels de la part de ceux qui sont assez fous pour les partager avec un inconnu.
Comme « windows » veut dire « fenêtres », je joue sur les mots et dis: « Parlez-vous vraiment de fenêtres? » L'homme répondit: « Oui ». Je lui dit: « S'il vous plaît, faites-moi plaisir ; allez vers la fenêtre de votre bureau et sautez ! » L'homme (assez malin) rétorque : « Ma fenêtre est au rez-de-chaussée ».
Avant de raccrocher, je lui demande quand même : « Prétendez juste que vous êtes au 10e étage. Cela fera circuler un peu votre adrénaline, donnera un peu de piment dans votre vie qui semble en avoir besoin et vous me foutrez la paix ! »
À l'autre bout du fil, une voix avec un fort accent me dit: « Je vous appelle parce que vous avez un problème avec votre enregistrement de Windows (le système d'exploitation de mon ordi) »; c'est le stratagème typique pour obtenir des renseignements personnels de la part de ceux qui sont assez fous pour les partager avec un inconnu.
Comme « windows » veut dire « fenêtres », je joue sur les mots et dis: « Parlez-vous vraiment de fenêtres? » L'homme répondit: « Oui ». Je lui dit: « S'il vous plaît, faites-moi plaisir ; allez vers la fenêtre de votre bureau et sautez ! » L'homme (assez malin) rétorque : « Ma fenêtre est au rez-de-chaussée ».
Avant de raccrocher, je lui demande quand même : « Prétendez juste que vous êtes au 10e étage. Cela fera circuler un peu votre adrénaline, donnera un peu de piment dans votre vie qui semble en avoir besoin et vous me foutrez la paix ! »
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mercredi, octobre 14, 2015
Accro techno !
Je viens de changer de smart-phone, et comme on aurait pu le craindre, mes problèmes ont commencé des que j'ai introduit ma vieille micro carte SD dans l'appareil.
D'abord, j'ai pensé que mon nouveau portable était la cause du problème, mais après avoir remué ciel et terre pendant quelques jours, j'ai découvert que cette carte était défectueuse. Je l'ai donc changé et cela a fonctionné.
J'ai eu une foule d'autres questions et problèmes, la plupart liés à mon ignorance, certains à ma lenteur d'adaptation et d'autres à mon inattention. Tout est donc redevenu normal et cela me permet de réaliser que la technologie qui ne cesse d'évoluer nous oblige à apprendre un peu plus tous les jours.
Bien que je peste dès que j'ai une panne, j'adore me frotter à celle-ci car elle me retient toute mon attention, me force à m'adapter, à comprendre, à découvrir et à au bout du compte à apprendre sans cesse. Une dépendance salutaire !
D'abord, j'ai pensé que mon nouveau portable était la cause du problème, mais après avoir remué ciel et terre pendant quelques jours, j'ai découvert que cette carte était défectueuse. Je l'ai donc changé et cela a fonctionné.
J'ai eu une foule d'autres questions et problèmes, la plupart liés à mon ignorance, certains à ma lenteur d'adaptation et d'autres à mon inattention. Tout est donc redevenu normal et cela me permet de réaliser que la technologie qui ne cesse d'évoluer nous oblige à apprendre un peu plus tous les jours.
Bien que je peste dès que j'ai une panne, j'adore me frotter à celle-ci car elle me retient toute mon attention, me force à m'adapter, à comprendre, à découvrir et à au bout du compte à apprendre sans cesse. Une dépendance salutaire !
mardi, octobre 13, 2015
Enfin prêts pour le Feng Shui ?
Nous connaissons un peintre en bâtiment qui a vécu environ 35 ans à Park City. Il y est d'abord venu pour faire du ski depuis son Ecosse natale, puis s'est mis à travailler sérieusement et a très bien réussi.
Alors que nous nous promenions hier après-midi, nous l'avons rencontré, avons bavardé à propos de tout et de rien avant d'aborder le sujet du Feng Shui, ce concept traditionnel chinois qui permet aux gens de vivre en harmonie avec leur environnement.
Il nous a dit que bien qu'il soit assez sceptique au début, il avait eu de nombreuses expériences positives en appliquant cette technique chaque fois qu'il a dû vendre ou acheter des maisons (l'immobilier est sa stratégie d'investissement de choix) et qu'il n'hésitera jamais à investir dans les conseils d'un spécialiste du Feng Shui pour être du bon côté d'une opération immobilière (rappelez-vous, l'homme est écossais, il aime ses sous).
Sa conviction nous a fait réfléchir et nous a sérieusement encouragés à prendre cette science, au demeurant assez bizarre, un peu plus au sérieux !
Alors que nous nous promenions hier après-midi, nous l'avons rencontré, avons bavardé à propos de tout et de rien avant d'aborder le sujet du Feng Shui, ce concept traditionnel chinois qui permet aux gens de vivre en harmonie avec leur environnement.
Il nous a dit que bien qu'il soit assez sceptique au début, il avait eu de nombreuses expériences positives en appliquant cette technique chaque fois qu'il a dû vendre ou acheter des maisons (l'immobilier est sa stratégie d'investissement de choix) et qu'il n'hésitera jamais à investir dans les conseils d'un spécialiste du Feng Shui pour être du bon côté d'une opération immobilière (rappelez-vous, l'homme est écossais, il aime ses sous).
Sa conviction nous a fait réfléchir et nous a sérieusement encouragés à prendre cette science, au demeurant assez bizarre, un peu plus au sérieux !
lundi, octobre 12, 2015
Meru, le documentaire fait pour ...
... Épater !
Ce film, que nous avons vu la nuit dernière, decrit l'ascension réussie du spigolo Est du Meru central ... Un spigolo en forme d'aileron de requin, « Shark Fin », très monolithique situé dans le Garhwal, une partie de Himalaya indienne, par les alpinistes américains Conrad Anker, Jimmy Chin et Renan Ozturk le 2 Octobre, 2011.
Le documentaire a reçu l'hiver dernier le prix du public lors du Festival du Film de Sundance à Park City. L'ascension a été faite en 11 jours après une tentative ratée, par la même équipe, en 2008.
Les photos sont superbes, l'histoire est habilement cousue et - à mon avis - glorifie les risque extrêmes pris pour satisfaire les sponsors du projet et pour fabriquer un documentaire magnifique, qui, tout au long de cette expedition, était probablement l'objectif ultime poursuivit par ces grimpeurs ...
Ce film, que nous avons vu la nuit dernière, decrit l'ascension réussie du spigolo Est du Meru central ... Un spigolo en forme d'aileron de requin, « Shark Fin », très monolithique situé dans le Garhwal, une partie de Himalaya indienne, par les alpinistes américains Conrad Anker, Jimmy Chin et Renan Ozturk le 2 Octobre, 2011.
Le documentaire a reçu l'hiver dernier le prix du public lors du Festival du Film de Sundance à Park City. L'ascension a été faite en 11 jours après une tentative ratée, par la même équipe, en 2008.
Les photos sont superbes, l'histoire est habilement cousue et - à mon avis - glorifie les risque extrêmes pris pour satisfaire les sponsors du projet et pour fabriquer un documentaire magnifique, qui, tout au long de cette expedition, était probablement l'objectif ultime poursuivit par ces grimpeurs ...
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dimanche, octobre 11, 2015
Un autre classement par Ski Magazine ...
Le classement annuel des stations de skis de l'Ouest Nord Americain par Ski Magazine était des plus différent et des plus confusants qui soit.
La surprise ne fut pas tant que Whistler Blackcomb, au Canada, prenne, une fois de plus, la première place mais plutôt que Sun Valley soit second pour marquer le coup (semble-t-il) de son 80e anniversaire, que Vail n'arrive qu'à la septième place et Park City soit relegués en onzième position .
Bien sûr, Deer Valley s'est accroché au numéro trois, mais tout cela a enfin montré que ce fameux classement par un magazine de ski en train de crever est vraiment bidon, et l'a été pendant des années.
Quand il s'agit de « classements officiels », s'il vous plaît, ne tombez pas dans le panneau, faites votre travail de recherche vous-même et ne laissez pas des ignorants vous dire le contraire ...
La surprise ne fut pas tant que Whistler Blackcomb, au Canada, prenne, une fois de plus, la première place mais plutôt que Sun Valley soit second pour marquer le coup (semble-t-il) de son 80e anniversaire, que Vail n'arrive qu'à la septième place et Park City soit relegués en onzième position .
Bien sûr, Deer Valley s'est accroché au numéro trois, mais tout cela a enfin montré que ce fameux classement par un magazine de ski en train de crever est vraiment bidon, et l'a été pendant des années.
Quand il s'agit de « classements officiels », s'il vous plaît, ne tombez pas dans le panneau, faites votre travail de recherche vous-même et ne laissez pas des ignorants vous dire le contraire ...
samedi, octobre 10, 2015
Bonne lecture ?
Hier, nous sommes faire notre vaccin anti-grippal annuel (pour la seconde fois dans notre entière existence), et là, dans la salle d'attente, j'ai pris un livret intitulé « Senior BlueBook ».
Aux États-Unis, un « blue book » c'est le Kelley Blue Book, tout comme l'Argus en France, qui sert à calculer la valeur résiduelle d'une auto sur la base de l'année, du kilométrage et de son état général. Je pensais qu'il s'agissait du même outil pour effectuer un estimation rapide de ma vraie valeur.
J'ai donc rapidement feuilleté le volume et me suis aperçu qu'il ne contenait guère que des des astuces pour améliorer la mémoire, des conseils sur l'assurance-maladie vieillesse, des services de soins infirmiers, des listes de maisons de retraite et des services de crémation-minute. Nulle part n'ai-je pu trouver la moindre formule me permettant de calculer ma valeur résiduelle.
Découragé, j'ai posé le livre. J’étais à la fois en colère et déçu, parce que j’espérais quand même trouver que ma propre valeur était au dessus des « restes » que je vois chaque matin dans le miroir !
Aux États-Unis, un « blue book » c'est le Kelley Blue Book, tout comme l'Argus en France, qui sert à calculer la valeur résiduelle d'une auto sur la base de l'année, du kilométrage et de son état général. Je pensais qu'il s'agissait du même outil pour effectuer un estimation rapide de ma vraie valeur.
J'ai donc rapidement feuilleté le volume et me suis aperçu qu'il ne contenait guère que des des astuces pour améliorer la mémoire, des conseils sur l'assurance-maladie vieillesse, des services de soins infirmiers, des listes de maisons de retraite et des services de crémation-minute. Nulle part n'ai-je pu trouver la moindre formule me permettant de calculer ma valeur résiduelle.
Découragé, j'ai posé le livre. J’étais à la fois en colère et déçu, parce que j’espérais quand même trouver que ma propre valeur était au dessus des « restes » que je vois chaque matin dans le miroir !
vendredi, octobre 09, 2015
Mon idée d'une « Planète Ouverte »
Je répète souvent que sans frontières visibles depuis l'espace, tout être humain devraient être en mesure d'aller s'installer là où il souhaite vivre sur la planète. Ce concept audacieux et courageux cependant, s'assortit de certaines conditions.
Tout d'abord, les migrants auraient besoin de demander et d'obtenir la permission avant d'entrer dans un espace, une nation ou une culture. De plus, ces mêmes migrants ne pourrait en aucun cas compter sur des subventions quelles qu'elles soient.
Chaque communauté serait libre d'apprécier si quelqu'un peut y entrer. Cela pourrait se faire soit la base d'un statut de réfugié ou sur celle de compétences ou des types de personnalités recherchées, souhaitées ou en forte demande au sein de cette communauté.
Dès lors, si ils sont admis, ces migrants devraient accepter et promettre de se conformer aux coutumes, à la langue et au règles de la communauté d'accueil, s'engager à intégrer totalement la société qui les accepte tout en la valorisant le mieux possible.
Si des migrants entrent sans avoir été invité (ce qui voudrait dire illégalement), ils s'exposeraient à l'expulsion ou à des sanction proposées par la communauté où ils se sont introduits.
Enfin, s'ils ne veulent ou ne peuvent pas se conformer aux particularités ainsi qu'au traditions de leur société d'accueil, cela mettrait leur chances d'insertion en danger.
L'idée est d'ajouter de la valeur à la société d'accueil et non de l'affaiblir, la blesser ou la déchirer. Cela me paraît assez simple ...
Tout d'abord, les migrants auraient besoin de demander et d'obtenir la permission avant d'entrer dans un espace, une nation ou une culture. De plus, ces mêmes migrants ne pourrait en aucun cas compter sur des subventions quelles qu'elles soient.
Chaque communauté serait libre d'apprécier si quelqu'un peut y entrer. Cela pourrait se faire soit la base d'un statut de réfugié ou sur celle de compétences ou des types de personnalités recherchées, souhaitées ou en forte demande au sein de cette communauté.
Dès lors, si ils sont admis, ces migrants devraient accepter et promettre de se conformer aux coutumes, à la langue et au règles de la communauté d'accueil, s'engager à intégrer totalement la société qui les accepte tout en la valorisant le mieux possible.
Si des migrants entrent sans avoir été invité (ce qui voudrait dire illégalement), ils s'exposeraient à l'expulsion ou à des sanction proposées par la communauté où ils se sont introduits.
Enfin, s'ils ne veulent ou ne peuvent pas se conformer aux particularités ainsi qu'au traditions de leur société d'accueil, cela mettrait leur chances d'insertion en danger.
L'idée est d'ajouter de la valeur à la société d'accueil et non de l'affaiblir, la blesser ou la déchirer. Cela me paraît assez simple ...
jeudi, octobre 08, 2015
Ternes couleurs d'automne ...
Habituellement, les couleurs d'automne à travers l'Utah sont un véritable festival en technicolor. Cette année c'est une toute autre histoire et hier, nous sommes finalement allés faire notre petite excursion pour voir si ces fameuses couleurs étaient au rendez-vous annuel, en grimpant jusqu'à Guardsman Pass, un col à près de 3000 mètres d'altitude.
Même si nos attentes étaient au ras des pâquerettes, sur la base de ce qui était visible sur le versant de Park City, nous avons quand même été déçus. Selon les experts météorologiques et les arboristes, le temps exceptionnellement pluvieux que nous avons eu ce printemps s'est combiné avec deux maladies fongiques pour gâcher ce qui est d'habitude un véritable plaisir pour les yeux.
La plupart des arbres des trembles qui se transforment en or 18 carats souffrent de maladies qui provoquent des taches sombres sur leurs feuilles, ternissent leurs couleurs d'automne et accélèrent leur chute. Les deux fongus en questions sont la marssonina, la maladie la plus commune de la feuille de tremble et des peupliers deltoïdes, et la septoriose . Je ai aucune idée si cette théorie tient la route ou pas, mais les résultats parlent d'eux-mêmes.
Bah, on verra ce qu'on a l'année prochaine !
Même si nos attentes étaient au ras des pâquerettes, sur la base de ce qui était visible sur le versant de Park City, nous avons quand même été déçus. Selon les experts météorologiques et les arboristes, le temps exceptionnellement pluvieux que nous avons eu ce printemps s'est combiné avec deux maladies fongiques pour gâcher ce qui est d'habitude un véritable plaisir pour les yeux.
La plupart des arbres des trembles qui se transforment en or 18 carats souffrent de maladies qui provoquent des taches sombres sur leurs feuilles, ternissent leurs couleurs d'automne et accélèrent leur chute. Les deux fongus en questions sont la marssonina, la maladie la plus commune de la feuille de tremble et des peupliers deltoïdes, et la septoriose . Je ai aucune idée si cette théorie tient la route ou pas, mais les résultats parlent d'eux-mêmes.
Bah, on verra ce qu'on a l'année prochaine !
mercredi, octobre 07, 2015
Voyage au Pérou – Cauchemar photo
Le gros problème avec la photographie numérique est que nous finissons par prendre-beaucoup trop de photos. C'est ainsi qu'après un voyage, un événement ou une fête, nous nous retrouvons avec un tas de clichés dont nous ne savons quoi faire.
D'abord, il convient de les trier. C'est toujours un processus long et douloureux car il sollicite fortement notre matière grive, demande une forte dépense d'énergie en décidant quoi faire pour chaque image.
Ensuite, si nous avons la chance (ou la malédiction) d'utiliser un logiciel de retouche photo, il convient alors de nettoyer chacune d'entre elles, les re-cadrer s'il cela est nécessaire, les rendre plus lumineuses ou encore plus contrastées.
Tout en faisant cela, on poursuit le travail de tri en découvrant encore plus d'images qui ne valent pas le coup d'être conservées. Je travaille sur nos photos du Pérou depuis notre départ de Lima et je n'ai toujours pas fini le travail, plus de deux semaines plus tard. Bien sûr, je n'ai pas commencé à visionner mes vidéos Péruviennes.
Maintenant, j'ai besoin de vacances!
D'abord, il convient de les trier. C'est toujours un processus long et douloureux car il sollicite fortement notre matière grive, demande une forte dépense d'énergie en décidant quoi faire pour chaque image.
Ensuite, si nous avons la chance (ou la malédiction) d'utiliser un logiciel de retouche photo, il convient alors de nettoyer chacune d'entre elles, les re-cadrer s'il cela est nécessaire, les rendre plus lumineuses ou encore plus contrastées.
Tout en faisant cela, on poursuit le travail de tri en découvrant encore plus d'images qui ne valent pas le coup d'être conservées. Je travaille sur nos photos du Pérou depuis notre départ de Lima et je n'ai toujours pas fini le travail, plus de deux semaines plus tard. Bien sûr, je n'ai pas commencé à visionner mes vidéos Péruviennes.
Maintenant, j'ai besoin de vacances!
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mardi, octobre 06, 2015
Un autre rêve de ski bizarre ...
La nuit dernière, j'ai rêvais que j’étais allé skier, quelque part dans les Sierras, en Californie, avec mon ami Jean-Louis Villiot. Une fois le ski terminé, je n'arrivait pas à me rappeler où j'avais bien pu laisser mes chaussures de ski, mes après-skis et mon sac à chaussures.
J'étais tout seul (Jean-Louis était déjà parti) et je cherchais absolument partout, sans résultat. Je suis allé voir les autres personnes qui étaient encore sur les lieux, et toutes étaient assez déplaisantes. Certains ricanaient en disant que pour quelqu'un qui avait travaillé dans la branche du ski toute sa vie, ce n’était quand même pas malin de ne pas être capable de savoir où se trouvait son matériel.
C'est à ce moment que je me suis mis à rationaliser ma perte en me disant qu'après tout, mes chaussures de skis et mes après-skis étaient vieux et que je pourrais toujours les remplacer. Soudain, j'ai réalisé que mes semelles orthopédiques Superfeet étaient restées dans mes chaussures de ski et cette simple pensée m'a fait grincer des dents.
En fait, j'ai tellement grincé des dents, que c'est ce qui m'a réveillé ...
J'étais tout seul (Jean-Louis était déjà parti) et je cherchais absolument partout, sans résultat. Je suis allé voir les autres personnes qui étaient encore sur les lieux, et toutes étaient assez déplaisantes. Certains ricanaient en disant que pour quelqu'un qui avait travaillé dans la branche du ski toute sa vie, ce n’était quand même pas malin de ne pas être capable de savoir où se trouvait son matériel.
C'est à ce moment que je me suis mis à rationaliser ma perte en me disant qu'après tout, mes chaussures de skis et mes après-skis étaient vieux et que je pourrais toujours les remplacer. Soudain, j'ai réalisé que mes semelles orthopédiques Superfeet étaient restées dans mes chaussures de ski et cette simple pensée m'a fait grincer des dents.
En fait, j'ai tellement grincé des dents, que c'est ce qui m'a réveillé ...
lundi, octobre 05, 2015
Résoudre les conflits en douceur ...
Avec un peu plus d'âge et d'expérience, la résolution de la plupart des conflits se passe beaucoup mieux si l'on se concentre d'avantage sur l'objectif à atteindre que sur les raisons et les circonstances du problème.
En d'autres termes, nous sommes trop souvent concentrés sur le principe d'avoir raison ou tord, et jamais assez sur ce qui semblerai être un résultat bon et souhaitable.
L'âge et l'expérience nous donnent une bien meilleure chance de nous appliquer à traiter beaucoup plus calmement la question à débattre et beaucoup moins à nous attacher aux cotes passionnels du problème, à savoir qui a raison ou qui a tord.
Seule cette approche permet de régler les problèmes calmement, de manière objective et pragmatique.
En d'autres termes, nous sommes trop souvent concentrés sur le principe d'avoir raison ou tord, et jamais assez sur ce qui semblerai être un résultat bon et souhaitable.
L'âge et l'expérience nous donnent une bien meilleure chance de nous appliquer à traiter beaucoup plus calmement la question à débattre et beaucoup moins à nous attacher aux cotes passionnels du problème, à savoir qui a raison ou qui a tord.
Seule cette approche permet de régler les problèmes calmement, de manière objective et pragmatique.
dimanche, octobre 04, 2015
Coût comparatifs de services publics ...
Ce week-end aura vu la fin de l'été et de ses températures estivales, qui ont duré si longtemps, cette saison, à Park City ; cette fois, c'est bien l'automne qui est arrivé ! Ce matin, notre chauffage s'est mis en route et comme je pensais justement à la performance énergétique de notre nouvelle maison, je me suis penché sur notre consommation annuelle.
Nous dépensons un montant égal pour nous chauffer, nous rafraîchir en été, et pour nous éclairer, que pour communiquer (Internet, téléphones, sans compter le coût d'achat de smart phones ou autres tablettes), mais ce qui est bien plus étonnant, c'est que la plus grande partie de nos dépenses va pour notre consommation d'eau et son traitement (eaux usées), même si nous utilisons cette précieuse denrée au strict minimum, ce qui est tout à fait de mise, de nos jours, dans l'Ouest américain.
J'ai ensuite comparé ces chiffres avec ceux que nous avions lorsque nous vivions dans notre maison de banlieue, près de New York en 1981. Le coût du mazout était de loin notre plus grosse dépense ; ajustée pour inflation, notre consommation électrique était aussi trois fois plus élevée que ce que nous payons aujourd'hui, mais l'eau était super bon marché en ce temps là.
Si vous voulez, utilisez la table comparative et ajoutez-y vos chiffres de consommation. Je serais ravi de comparer vos données avec les nôtres !
Nous dépensons un montant égal pour nous chauffer, nous rafraîchir en été, et pour nous éclairer, que pour communiquer (Internet, téléphones, sans compter le coût d'achat de smart phones ou autres tablettes), mais ce qui est bien plus étonnant, c'est que la plus grande partie de nos dépenses va pour notre consommation d'eau et son traitement (eaux usées), même si nous utilisons cette précieuse denrée au strict minimum, ce qui est tout à fait de mise, de nos jours, dans l'Ouest américain.
J'ai ensuite comparé ces chiffres avec ceux que nous avions lorsque nous vivions dans notre maison de banlieue, près de New York en 1981. Le coût du mazout était de loin notre plus grosse dépense ; ajustée pour inflation, notre consommation électrique était aussi trois fois plus élevée que ce que nous payons aujourd'hui, mais l'eau était super bon marché en ce temps là.
Si vous voulez, utilisez la table comparative et ajoutez-y vos chiffres de consommation. Je serais ravi de comparer vos données avec les nôtres !
samedi, octobre 03, 2015
Éducation électorale ...
Hier, nous avons eu la chance de passer en revu les six conseillers municipaux en lice pour la prochaine élection à Park City. Ceux-ci participaient pour la première fois a un forum public. Cette année, trois hommes et trois femmes se présentent pour pourvoir trois sièges vacants.
La réunion était organisée par trois groupes locaux (les agents immobiliers, l'alliance historique et la chambre de commerce) et le débat s'est déroulée sur les thèmes habituels : La croissance à Park City, les difficultés à trouver des logements abordables et les problèmes liés au transports.
Le débat s'est déroulé entre 11h45 jusqu'à environ 13h30, et était animé par un ancien conseiller municipal. Ses questions étaient plutôt tarabiscotées et donnèrent à plus d'un candidat l'occasion d'aller broder en dehors du sujet, mais au bout du compte, nous avons quitté la séance avec une idée parfaitement claire quand aux trois candidats qui recevraient nos votes début Novembre.
Une formule plutôt facile et sans peine pour faire un des ces multiples choix qui nous confrontent au quotidien !
La réunion était organisée par trois groupes locaux (les agents immobiliers, l'alliance historique et la chambre de commerce) et le débat s'est déroulée sur les thèmes habituels : La croissance à Park City, les difficultés à trouver des logements abordables et les problèmes liés au transports.
Le débat s'est déroulé entre 11h45 jusqu'à environ 13h30, et était animé par un ancien conseiller municipal. Ses questions étaient plutôt tarabiscotées et donnèrent à plus d'un candidat l'occasion d'aller broder en dehors du sujet, mais au bout du compte, nous avons quitté la séance avec une idée parfaitement claire quand aux trois candidats qui recevraient nos votes début Novembre.
Une formule plutôt facile et sans peine pour faire un des ces multiples choix qui nous confrontent au quotidien !
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vendredi, octobre 02, 2015
Et voici Poutine, le cow-boy!
Je crois que Poutine est une brute et il en a parfaitement conscience. Il sait aussi qu'il pour le moment quasiment tout se permettre. Il n'y a pas un seul chef d’état qui semble avoir l'audace de le rappeler à l'ordre, de lui faire cesser ses tactiques d'intimidation ou de le contraindre à se comporter raisonnablement.
Dommage qu'Obama ne montre guère d'appétit pour essayer de mater ce Russe barbare comme il devrait en être capable (passer de la pommade dans le dos des gens n'a jamais été le point fort de notre président actuel ...)
En conséquence, Poutine joue les cow-boy, un rôle dont il a toujours rêvé et est en train de sauver son pote Bachar al-Assad et ses bases stratégiques sur la Méditerranée. Méfiez-vous quand même de ce cow-boy ; il est armé, irresponsable et extrêmement dangereux !
Dommage qu'Obama ne montre guère d'appétit pour essayer de mater ce Russe barbare comme il devrait en être capable (passer de la pommade dans le dos des gens n'a jamais été le point fort de notre président actuel ...)
En conséquence, Poutine joue les cow-boy, un rôle dont il a toujours rêvé et est en train de sauver son pote Bachar al-Assad et ses bases stratégiques sur la Méditerranée. Méfiez-vous quand même de ce cow-boy ; il est armé, irresponsable et extrêmement dangereux !
jeudi, octobre 01, 2015
Déjeuner à l'école de ski d'Avoriaz
La nuit dernière, je rêvais que j’étais en train de casser la croûte à l'école de ski d'Avoriaz. Même si nous n'avions pas de local pour manger à l’époque où j'enseignais, j’étais là en train de mâchouiller mon sandwich en écoutant des clients américains raser leur moniteur français avec toutes leurs obsessions de technique de ski.
Puis, on m'a viré de ma table, ce n’était de toute évidence pas la mienne ; j'ai alors essayé plusieurs autres tables et à chaque fois, on m'a demandé de bien vouloir partir. Je n’étais pas vraiment accepté en ces lieux, en dépit du fait que je portais le pull-over rouge officiel de marque « Montand » avec ma médaille de moniteur diplômé bien en vue sur ma poitrine.
Je me sentais un peu gêné car au lieu de porter des pantalons de ski, j’étais soit en caleçons longs, soit peut-être en pantalons de survêtement. Je déménageais vers une autre table où une monitrice de ski solitaire grignotait elle aussi un sandwich. Elle avait l'air résignée et m'a juste dit : « Beaucoup de choses ont changé, rien n'est plus comme avant ... » J'acquiesçai et c'est là que je me suis réveillé.
Puis, on m'a viré de ma table, ce n’était de toute évidence pas la mienne ; j'ai alors essayé plusieurs autres tables et à chaque fois, on m'a demandé de bien vouloir partir. Je n’étais pas vraiment accepté en ces lieux, en dépit du fait que je portais le pull-over rouge officiel de marque « Montand » avec ma médaille de moniteur diplômé bien en vue sur ma poitrine.
Je me sentais un peu gêné car au lieu de porter des pantalons de ski, j’étais soit en caleçons longs, soit peut-être en pantalons de survêtement. Je déménageais vers une autre table où une monitrice de ski solitaire grignotait elle aussi un sandwich. Elle avait l'air résignée et m'a juste dit : « Beaucoup de choses ont changé, rien n'est plus comme avant ... » J'acquiesçai et c'est là que je me suis réveillé.
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