Après une longue attente, mon ordi de bureau et mon portable sont finalement mis à jour avec Windows 10. Même si le nouveau système d'exploitation de Microsoft est disponible depuis le 29 Juillet, c'est seulement deux bons mois plus tard que mes deux ordinateurs ont été mis à jour.
Le portable (acheté plus récemment) avait reçu le nouveau système sans trop de problème, mais pour mon appareil de bureau, les choses n'ont pas été aussi faciles. Même si d'habitude j'adopte très rapidement les nouvelles technologies, là je suis tombé sur un os et bien que j'ai essayé sans relâche d'obtenir Windows 10 depuis son lancement, je n'y parvenait pas.
C'est seulement un peu par accident que tout est rentré dans l'ordre hier. Cela ne m'a guère surpris et c’était bien dans les cordes de Microsoft qui n'a jamais vraiment su se mettre à la place de l'utilisateur final. J'avais même fait appel à mon revendeur qui au vu de la complexité de ma situation n'avait même pas pu m'aider, ce qui en dit long.
Maintenant, j’arrête de me plaindre et je vais voir ce que Windows 10 a vraiment dans le ventre !
mercredi, septembre 30, 2015
mardi, septembre 29, 2015
Notre Pape « Vert »
Le Pape François aura fait une très forte impression sur la population américaine au cours de sa dernière visite, et tandis que chaque côté du spectre politique a essayé de tourner ce qu'il a dit à son avantage, il était assez clair qu'il a bien exprimé que l'homme avait saccagé la planète et qu'il était plus que temps de faire quelque chose à ce sujet.
Ce que le Pape n'a pas dit, cependant, c'est que le changement climatique était le symptôme et non la cause profonde du danger que courre la Terre en ce moment. La vraie raison, trop peu la comprennent ; c'est tout simplement que les humains sont beaucoup trop nombreux sur cette petite planète et que c'est justement dans ce domaine qu'il convient d'agir.
Bien sûr, nous avons besoin d’être à la fois patients et compréhensifs à l’égard du Pape ; il dirige une organisation des plus conservatrices et il faudra des tas d'années avant qu'il puisse se permettre de reconnaître officiellement que nous avons un gros problème de surpopulation !
Ce que le Pape n'a pas dit, cependant, c'est que le changement climatique était le symptôme et non la cause profonde du danger que courre la Terre en ce moment. La vraie raison, trop peu la comprennent ; c'est tout simplement que les humains sont beaucoup trop nombreux sur cette petite planète et que c'est justement dans ce domaine qu'il convient d'agir.
Bien sûr, nous avons besoin d’être à la fois patients et compréhensifs à l’égard du Pape ; il dirige une organisation des plus conservatrices et il faudra des tas d'années avant qu'il puisse se permettre de reconnaître officiellement que nous avons un gros problème de surpopulation !
lundi, septembre 28, 2015
Transformer le négatif en énergie positive
Tout comme l'alchimiste transforme le plomb en or, je serais ravi
d'être en mesure de transmuter toutes ces douleurs négatives que nous
rencontrons sans cesse en formes d'énergies positives.
Pour être honnête, je cherche une méthode ou une certaine façon d'y parvenir, parce qu'il me semble que cette démarche est tout à fait logique. La seule approche dont j'ai entendu parler à ce jour est dérivée du yoga.
Elle consiste à reconnaître la présence de la douleur de manière consciente au lieu de la nier ou de la repousser. Il suffit par exemple, lorsque l'on ressent une telle douleur, d'inspirer fortement, comme on prend son souffle, et ce faisant, se concentrer sur le fait que l'on absorbe toute cette douleur et cette souffrance subies par soi-même et par le monde.
Dès que l'on a inspiré de cette manière, il suffit d'expirer cette même la douleur et de se concentrer sur sa sortie du corps et du monde entier. J'aime assez bien cette approche et je suis déterminé à l'essayer à la prochaine occasion !
Pour être honnête, je cherche une méthode ou une certaine façon d'y parvenir, parce qu'il me semble que cette démarche est tout à fait logique. La seule approche dont j'ai entendu parler à ce jour est dérivée du yoga.
Elle consiste à reconnaître la présence de la douleur de manière consciente au lieu de la nier ou de la repousser. Il suffit par exemple, lorsque l'on ressent une telle douleur, d'inspirer fortement, comme on prend son souffle, et ce faisant, se concentrer sur le fait que l'on absorbe toute cette douleur et cette souffrance subies par soi-même et par le monde.
Dès que l'on a inspiré de cette manière, il suffit d'expirer cette même la douleur et de se concentrer sur sa sortie du corps et du monde entier. J'aime assez bien cette approche et je suis déterminé à l'essayer à la prochaine occasion !
dimanche, septembre 27, 2015
Le credo de l'Inca est fait pour moi !
Lors de notre récent voyage en Amérique du Sud, nous avons appris pas mal de choses sur les Incas, et en particulier, j'ai bien retenu leurs trois commandements ; c'est bien ca, juste trois :
Les trois premiers sont centrés sur Dieu et ont pas grand chose à voir avec l'humanité ou les êtres vivants comme vous et moi :
Après mûre réflexion, le credo de l'Inca est simple, facile à retenir et fonctionne parfaitement pour moi !
- Ne ment pas.
- Ne vole pas.
- Ne sois pas paresseux.
Les trois premiers sont centrés sur Dieu et ont pas grand chose à voir avec l'humanité ou les êtres vivants comme vous et moi :
- Tu auras pas d'autres dieux que moi.
- Tu ne te feras aucune idole.
- Tu n’invoqueras pas le nom du Seigneur ton Dieu pour le mal.
- Tu feras du sabbat un mémorial, un jour sacré.
- Honore ton père et ta mère.
- Tu ne tueras point.
- Tu ne commettras pas d'adultère.
- Tu ne voleras pas.
- Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain.
- Tu ne convoiteras rien.
Après mûre réflexion, le credo de l'Inca est simple, facile à retenir et fonctionne parfaitement pour moi !
samedi, septembre 26, 2015
Coup de pub papale !
Sergio Marchionne, le PDG de Fiat Chrysler Automobiles NV, a su orchestrer un exploit marketing de premier ordre quand il a réussi à convaincre le Pape François de laisser tomber sa papamobile Mercedes pour une Jeep et surtout de faire d'une petite Fiat 500L sa limousine officielle.
Bien sûr, ce placement de produit parfait était la confluence idéale entre le fait pape, résident de l’état du Vatican, est bel et bien enclavé au beau milieu de l'Italie, et celui que François prêche par l'exemple en termes de son vœu de pauvreté en tant que jésuite.
Cet impressionnant coup de pub va-t-il réussir à vendre d'avantage de Jeeps et de Fiats ? L'avenir nous le dira, mais cet événement médiatique est bien parti pour rester le placement de produit du siècle !
Bien sûr, ce placement de produit parfait était la confluence idéale entre le fait pape, résident de l’état du Vatican, est bel et bien enclavé au beau milieu de l'Italie, et celui que François prêche par l'exemple en termes de son vœu de pauvreté en tant que jésuite.
Cet impressionnant coup de pub va-t-il réussir à vendre d'avantage de Jeeps et de Fiats ? L'avenir nous le dira, mais cet événement médiatique est bien parti pour rester le placement de produit du siècle !
vendredi, septembre 25, 2015
Doit-on mourir pour sa religion ?
Le terrible accident qui vient de marquer le Hajj à la Mecque soulève beaucoup de questions mais fourni bien peu de réponses. Je suis profondément désolé pour tous les innocents qui ont perdus leur vies dans cette catastrophe tout à fait évitable.
Pire encore, cela n'est pas un incident isolé ; au cours du dernier quart de siècle, plusieurs milliers de personnes ont été ainsi écrasées lors de ce fameux pèlerinage. La responsabilité semble tomber carrément sur les Saoudiens, leur organisation de piètre qualité et leur mépris total pour la vie humaine (de surcroît, ils garantissent que les morts seront des « martyrs »).
Comment un pays si riche peut-il régulièrement permettre des bousculades barbares qui finissent par tuer de des centaines de personnes ? Ce genre de coutume me semble autant ridicule que médiéval et quelque chose doit changer rapidement.
L'Arabie Saoudite et les tous les responsables musulmans feraient bien de mettre tout en œuvre pour amener leur religion et ses pratiques en phase avec le siècle dans lequel nous vivons. Si cela se produisait, notre monde serait transformé !
Pire encore, cela n'est pas un incident isolé ; au cours du dernier quart de siècle, plusieurs milliers de personnes ont été ainsi écrasées lors de ce fameux pèlerinage. La responsabilité semble tomber carrément sur les Saoudiens, leur organisation de piètre qualité et leur mépris total pour la vie humaine (de surcroît, ils garantissent que les morts seront des « martyrs »).
Comment un pays si riche peut-il régulièrement permettre des bousculades barbares qui finissent par tuer de des centaines de personnes ? Ce genre de coutume me semble autant ridicule que médiéval et quelque chose doit changer rapidement.
L'Arabie Saoudite et les tous les responsables musulmans feraient bien de mettre tout en œuvre pour amener leur religion et ses pratiques en phase avec le siècle dans lequel nous vivons. Si cela se produisait, notre monde serait transformé !
jeudi, septembre 24, 2015
« Diesel Propre »
La fraude Volkswagen et le fiasco qui en découle sont en train d'exposer le mensonge que les constructeurs automobiles nous ont servit en prétendant offrir « Diesel Propre » sur leurs produits. Pour moi, le terme Diesel Propre a toujours été une contradiction.
Le Diesel est une source de particules qui polluent notre environnement au jour le jour et devrait probablement être interdit. Il y a une alternative propre qui est le gaz naturel, qui, pour l'instant, est à la fois abondant et bon marche.
Je suis heureux que l'agence américaine de la protection de l'environnement ait enfin démasqué la tricherie de Volkswagen et que la firme allemande payera un prix très fort pour son arrogance et sa supercherie !
Le Diesel est une source de particules qui polluent notre environnement au jour le jour et devrait probablement être interdit. Il y a une alternative propre qui est le gaz naturel, qui, pour l'instant, est à la fois abondant et bon marche.
Je suis heureux que l'agence américaine de la protection de l'environnement ait enfin démasqué la tricherie de Volkswagen et que la firme allemande payera un prix très fort pour son arrogance et sa supercherie !
Libellés :
automobiles,
écologie,
éthique
mercredi, septembre 23, 2015
Quand je regarde la planète ...
...Je vois une belle boule toute bleue, avec environ 30% de terre ferme et pas une seule frontière visible. Vu depuis l'espace, il semblerai logique que les gens puissent être autorisés à se balader librement sur ce précieux espace terrestre et pouvoir choisir l'endroit où ils aimeraient vivre.
C’était sans doute la façon dont les choses auraient du se produire à l'origine de la civilisation humaine, avant que l'homme commence à délimiter des nations et à se mettre à contrôler ce qui allait se passer dans chacune d'elles.
Je ne parle même pas de « possession » de bien fonciers, un sujet qui mériterait une discussion à lui seul.
Ce dont je veux parler, c'est du droit de libre circulation sur une planète qui appartient à tous et à toutes. Il me semble que les obstacles mis en place par les gouvernements sont appelés à s'affaiblir progressivement et devenir intenable, au point que nous pourrions voir bientôt l’avènement de l'âge de la libre circulation et la chute des gouvernements tels que nous les connaissons.
Il ne restera qu'à établir de nouvelles règles pour faciliter ce changement et le rendre possible. À la vitesse à laquelle les choses changent, cela pourrait être pour très bientôt !
C’était sans doute la façon dont les choses auraient du se produire à l'origine de la civilisation humaine, avant que l'homme commence à délimiter des nations et à se mettre à contrôler ce qui allait se passer dans chacune d'elles.
Je ne parle même pas de « possession » de bien fonciers, un sujet qui mériterait une discussion à lui seul.
Ce dont je veux parler, c'est du droit de libre circulation sur une planète qui appartient à tous et à toutes. Il me semble que les obstacles mis en place par les gouvernements sont appelés à s'affaiblir progressivement et devenir intenable, au point que nous pourrions voir bientôt l’avènement de l'âge de la libre circulation et la chute des gouvernements tels que nous les connaissons.
Il ne restera qu'à établir de nouvelles règles pour faciliter ce changement et le rendre possible. À la vitesse à laquelle les choses changent, cela pourrait être pour très bientôt !
Libellés :
affaires étrangères,
écologie,
politique,
societé
mardi, septembre 22, 2015
Voyage au Pérou - Retour
Les compagnies aériennes traditionnelles américaines sont régulièrement les pires en matière de service. Ma dernière mauvaise expérience remonte à aujourd'hui et au petit cauchemar que vient de nous offrir United Airlines.
Vers minuit, la nuit dernière, ma femme et moi avions un vol réservé entre Lima et Houston, en classe Economy Plus, pour lequel nous avions payé un supplément. Comme ce vol avait été annulé, nous avions été ré-acheminés sur Panama avec Copa Airlines ce qui nous a valu d'arriver presque dix heures plus tard à la maison.
Bien sûr, l'agent de guichet m'avait assuré que nous volerions en classe Economy Plus, ce qui ne s'est pas produit quand nous nous sommes retrouvés assis à l'arrière de l'avion. J'ai proteste auprès du steward, mais cela a été peine perdue. Quand je suis arrivé à Houston, je suis allé directement au guichet du service à la clientèle pour me plaindre.
Le représentant m'a dit qu'il ne pouvait rien faire en termes de remboursement, parce que United n'avait aucun contrôle sur ce que Copa Airlines faisait. Cela n'était bien évidemment pas mon problème, mais entièrement celui de United Airlines.
Je compte régler cette question avec American Express demain, et il se peut bien que cela marque la fin d'une longue relation entre United et moi, a moins bien sûr que la compagnie me fasse une offre extraordinaire !
Vers minuit, la nuit dernière, ma femme et moi avions un vol réservé entre Lima et Houston, en classe Economy Plus, pour lequel nous avions payé un supplément. Comme ce vol avait été annulé, nous avions été ré-acheminés sur Panama avec Copa Airlines ce qui nous a valu d'arriver presque dix heures plus tard à la maison.
Bien sûr, l'agent de guichet m'avait assuré que nous volerions en classe Economy Plus, ce qui ne s'est pas produit quand nous nous sommes retrouvés assis à l'arrière de l'avion. J'ai proteste auprès du steward, mais cela a été peine perdue. Quand je suis arrivé à Houston, je suis allé directement au guichet du service à la clientèle pour me plaindre.
Le représentant m'a dit qu'il ne pouvait rien faire en termes de remboursement, parce que United n'avait aucun contrôle sur ce que Copa Airlines faisait. Cela n'était bien évidemment pas mon problème, mais entièrement celui de United Airlines.
Je compte régler cette question avec American Express demain, et il se peut bien que cela marque la fin d'une longue relation entre United et moi, a moins bien sûr que la compagnie me fasse une offre extraordinaire !
Libellés :
divertissement,
géographie,
voyage
lundi, septembre 21, 2015
Voyage au Pérou - Dernier jour
Notre dernier jour au Pérou s'est soldé par une autre journée passée à Cuzco. Dans la matinée, nous sommes allés finir nos achats et en avons aussi profité pour visiter quelques musées dans le centre-ville.
Quand tout cela fut fini, un violent orage nous est tombé dessus et nous a donné peu de choix, mais trouver dare-dare un abri sous une succession des portes cochères peu profondes, le long des rues étroites qui nous ramenaient à notre hôtel. C'est à ce moment que la pluie giclant de toutes part à commencé à nous mouiller assez sérieusement et très vite la rue en pente dans laquelle nous nous trouvions s'est transformée en un torrent rugissant.
Les voitures qui passaient nous éclaboussaient au point que nous étions désormais totalement trempés. Comme il ne nous restait que quelques minutes avant notre taxi nous ramasse à l’hôtel pour nous ramener à l'aéroport, nous nous sommes mis à courir comme des fous en direction de la Quinta de San Blas où nous avons juste eu le temps de nous sécher et nous changer avant de prendre la direction de l'aéroport de Cuzco.
Notre avion pour Lima avait un peu de retard, mais cela ne nous inquiétait pas trop car notre vol ne partait qu’après minuit ! Lorsque nous sommes arrivés à Lima, nous avons dîné au premier étage de l’aérogare qui domine la salle d'embarquement de l'aéroport, et avons observé toute l'animation, ce qui nous a bien distrait jusqu'à l'heure de notre départ.
Vers 21h30, nous nous apprêtions alors à enregistrer pour notre vol à destination de Houston. Alors que nous faisions la queue, on nous a d'abord dit que vol était retardée, avant de nous annoncer une heure plus tard qu'il était annulé, l'avion nous ramenant aux États-Unis ayant dû faire un atterrissage d'urgence au Costa Rica pour des raisons mécaniques.
Nous avons recommencé à faire la queue avant d’être mis sur un vol de Copa Airlines en direction de Panama qui allait éventuellement nous ramener à Houston et Salt Lake City, comme cela se produit trop souvent. On nous a annoncé que nous serions à la maison vers 20h30 au lieu des 13h30 prévues ...
Ce changement dont on se serait parfaitement passé conclut ainsi une longue journée d'incidents variées qui, une fois de plus, nous ont rappelé que tout voyage s'assortit souvent de mauvaises surprises en tous genres !
Quand tout cela fut fini, un violent orage nous est tombé dessus et nous a donné peu de choix, mais trouver dare-dare un abri sous une succession des portes cochères peu profondes, le long des rues étroites qui nous ramenaient à notre hôtel. C'est à ce moment que la pluie giclant de toutes part à commencé à nous mouiller assez sérieusement et très vite la rue en pente dans laquelle nous nous trouvions s'est transformée en un torrent rugissant.
Les voitures qui passaient nous éclaboussaient au point que nous étions désormais totalement trempés. Comme il ne nous restait que quelques minutes avant notre taxi nous ramasse à l’hôtel pour nous ramener à l'aéroport, nous nous sommes mis à courir comme des fous en direction de la Quinta de San Blas où nous avons juste eu le temps de nous sécher et nous changer avant de prendre la direction de l'aéroport de Cuzco.
Notre avion pour Lima avait un peu de retard, mais cela ne nous inquiétait pas trop car notre vol ne partait qu’après minuit ! Lorsque nous sommes arrivés à Lima, nous avons dîné au premier étage de l’aérogare qui domine la salle d'embarquement de l'aéroport, et avons observé toute l'animation, ce qui nous a bien distrait jusqu'à l'heure de notre départ.
Vers 21h30, nous nous apprêtions alors à enregistrer pour notre vol à destination de Houston. Alors que nous faisions la queue, on nous a d'abord dit que vol était retardée, avant de nous annoncer une heure plus tard qu'il était annulé, l'avion nous ramenant aux États-Unis ayant dû faire un atterrissage d'urgence au Costa Rica pour des raisons mécaniques.
Nous avons recommencé à faire la queue avant d’être mis sur un vol de Copa Airlines en direction de Panama qui allait éventuellement nous ramener à Houston et Salt Lake City, comme cela se produit trop souvent. On nous a annoncé que nous serions à la maison vers 20h30 au lieu des 13h30 prévues ...
Ce changement dont on se serait parfaitement passé conclut ainsi une longue journée d'incidents variées qui, une fois de plus, nous ont rappelé que tout voyage s'assortit souvent de mauvaises surprises en tous genres !
Libellés :
divertissement,
géographie,
voyage
dimanche, septembre 20, 2015
Voyage au Pérou - Cuzco
Ce jour-là était censé être une journée libre, juste pour nous à Cuzco ; nous avons donc fait bien en sorte de ne pas nous précipiter. La météo était un temps soit peu menaçant, et nous avons pris un risque supplémentaire en faisant une excursion autour de la ville au sommet (découvert) d'un bus à impériale.
Bien sûr, nous avions laissé à l’hôtel nos deux ponchos en plastique achetés la veille à Machu Picchu, ainsi que nos parapluies, donc nous étions parfaitement livrés aux élément alors que nous nous promenions parmi les rues étroites de la capitale Inca.
Comme toujours, ces sortes d'excursions spectaculaires ne sont jamais à la hauteur de la publicité qui les précédé, mais ça, nous le savions et acceptions la résultante réalité. Nous ne nous sommes quand même pas fait mouillé !
Le reste de la journée a été consacrée à déambuler dans les rues et les multiples places tout en observant les manifestations colorées qui semblent faire partie du quotidien de Cuzco. Nous en avons également profité pour acheter quelques souvenirs avant notre départ.
Le soir, nous sommes retournés à ce bar de tapas que nous aimons tant, assis au bar entre un couple d’américains et de … belges ! Une journée absolument parfaite !
Bien sûr, nous avions laissé à l’hôtel nos deux ponchos en plastique achetés la veille à Machu Picchu, ainsi que nos parapluies, donc nous étions parfaitement livrés aux élément alors que nous nous promenions parmi les rues étroites de la capitale Inca.
Comme toujours, ces sortes d'excursions spectaculaires ne sont jamais à la hauteur de la publicité qui les précédé, mais ça, nous le savions et acceptions la résultante réalité. Nous ne nous sommes quand même pas fait mouillé !
Le reste de la journée a été consacrée à déambuler dans les rues et les multiples places tout en observant les manifestations colorées qui semblent faire partie du quotidien de Cuzco. Nous en avons également profité pour acheter quelques souvenirs avant notre départ.
Le soir, nous sommes retournés à ce bar de tapas que nous aimons tant, assis au bar entre un couple d’américains et de … belges ! Une journée absolument parfaite !
samedi, septembre 19, 2015
Voyage au Pérou - Machu Picchu
Le moment d'explorer les ruines Machu Picchu est enfin arrivé ! Nous avons quitté notre hôtel tôt le matin pour nous rendre à la gare d'Ollantaytambo et sauter dans le train panoramique « Vistadome » jusqu'à Aguas Calientes, le point de départ pour cette excursion emblématique.
Même si nous étions assis dans le sens opposé de la marche, nous avons bien profité des vues assez extraordinaires ...
Là, dès que nous sommes arrivés, nous avons sauté dans un bus qui nous a conduits jusqu'au site archéologique du Machu Picchu, en escaladant une route de montagne assez accidentée et étroite, avec une vue plongeante sur la vallée, allant jusqu'à plus de 1200 mètres en contrebas.
Quand nous sommes arrivés, avec la foule de touristes qui était déjà sur place, nous nous sommes rendus vers les ruines de cette ancienne citée Inca, et avons pris autant de photos que nous le pouvions. Nous avons ensuite déjeuné dans une cafeteria faite pour accommoder toute cette foule de visiteurs (on en comptait 400.000 en 2004!) et nous sommes rendus jusqu'au « Pont de l’Inca » qui contrôlait l'accès au Machu Picchu depuis l'ouest.
Ces lieux comptent désormais parmi les sept nouvelles merveilles du monde et sont également sur la liste des sites du patrimoine culturel mondial de l'Unesco. Le voyage de retour à consister à « défaire » tous ces virages en épingle à cheveux que nous avions fait dans la matinée, polluant ainsi un peu plus cet environnement unique au monde.
Une télécabine moderne ou mieux encore - un funiculaire souterrain - seraient une bien meilleure alternative à ce moyen de transport dangereux et polluant ; ceci est bien quelque chose qui a été considéré mais qui reste – sans aucune raison valable - une idée controversée !
Quand nous sommes arrivés au fond de la vallée, nous avons passé un peu de temps à visiter l'agglomération, plutôt moche qu'est Aguas Calientes. Une version de Chamonix en bien pire, au pied de cette incroyable attraction touristique. Ensuite, il était temps de sauter dans le train pour retourner à Cuzco, où nous sommes arrivés vers 21 heures, totalement épuisés.
Heureusement, notre mal des montagnes avait maintenant totalement disparu et nous étions ravis – une fois de plus - de passer la nuit à notre hôtel préféré, la Quinta de San Blas !
Même si nous étions assis dans le sens opposé de la marche, nous avons bien profité des vues assez extraordinaires ...
Là, dès que nous sommes arrivés, nous avons sauté dans un bus qui nous a conduits jusqu'au site archéologique du Machu Picchu, en escaladant une route de montagne assez accidentée et étroite, avec une vue plongeante sur la vallée, allant jusqu'à plus de 1200 mètres en contrebas.
Quand nous sommes arrivés, avec la foule de touristes qui était déjà sur place, nous nous sommes rendus vers les ruines de cette ancienne citée Inca, et avons pris autant de photos que nous le pouvions. Nous avons ensuite déjeuné dans une cafeteria faite pour accommoder toute cette foule de visiteurs (on en comptait 400.000 en 2004!) et nous sommes rendus jusqu'au « Pont de l’Inca » qui contrôlait l'accès au Machu Picchu depuis l'ouest.
Ces lieux comptent désormais parmi les sept nouvelles merveilles du monde et sont également sur la liste des sites du patrimoine culturel mondial de l'Unesco. Le voyage de retour à consister à « défaire » tous ces virages en épingle à cheveux que nous avions fait dans la matinée, polluant ainsi un peu plus cet environnement unique au monde.
Une télécabine moderne ou mieux encore - un funiculaire souterrain - seraient une bien meilleure alternative à ce moyen de transport dangereux et polluant ; ceci est bien quelque chose qui a été considéré mais qui reste – sans aucune raison valable - une idée controversée !
Quand nous sommes arrivés au fond de la vallée, nous avons passé un peu de temps à visiter l'agglomération, plutôt moche qu'est Aguas Calientes. Une version de Chamonix en bien pire, au pied de cette incroyable attraction touristique. Ensuite, il était temps de sauter dans le train pour retourner à Cuzco, où nous sommes arrivés vers 21 heures, totalement épuisés.
Heureusement, notre mal des montagnes avait maintenant totalement disparu et nous étions ravis – une fois de plus - de passer la nuit à notre hôtel préféré, la Quinta de San Blas !
Libellés :
divertissement,
géographie,
voyage
vendredi, septembre 18, 2015
Voyage au Pérou - La Vallée Sacrée
Nous sommes partis assez tôt dans la matinée à explorer la « Vallée Sacrée » qui se situe juste en dessous de Cuzco et qui zig-zague à travers ce qu'on appelle le « Balcon des Incas », autour de Chinchero, un lieu pittoresque avec des vues impressionnantes, où une douzaine de familles restent encore accrochées à leurs coutumes traditionnelles.
C'est précisément là qu'on nous a montré la façon ancestrale de traiter la laine et d'obtenir ces couleurs si vives qui font la particularité des textiles andins. Cet arrêt étaient incroyablement bien organisé, est s'est averee si intéressant et si instructif qu'il restera un des points les plus mémorables de notre voyage.
Nous sommes tombés sous le charme et avons acheté les pieces les plus representatives de leur production. Ensuite, nous avons continué jusqu'à Ollantaytambo, qui offre l'un des ensembles architecturaux les plus monumentaux qui soient dans l'ancien Empire Inca et qui se trouve aussi d'être l'un des rares endroits où les conquistadors espagnols ont perdu une grande bataille.
Très connu pour ses "andenes" (terrasses agricoles creusées dans les pentes de la montagne), Ollantaytambo servi à la fois comme une forteresse imprenable et comme temple. C'etait aussi une autre occasion supplémentaire de nous offrir un gros plan de cette technique extraordinaire du travail de la pierre que maîtrisaient si bien les Incas.
Ensuite, nous avons marché autour de la ville d'Ollantaytambo, une ville Inca encore habitée qui sert d'exemple encore vivant, montrant l'urbanisme Inca, avec ses rues étroites et pavées qui ont été habitées en permanence depuis le 13ème siècle. Notre guide a également partagé avec nous le credo des Incas, ou Chacana, qui dit tout ce qui est nécessaire en trois principes essentiels : « Ne mens pas, ne vole pas, ne sois pas paresseux. » Ces principes tous simples m'ont beaucoup marqués !
Notre hôtel pour la nuit était le San Agustin Monasterio de la Recoleta. un hôtel certes très charmant, mais planté au milieu de nulle part à Urubamba, avec un personnel somme toute assez mal dirigé. L’après-midi, nous nous sommes baladés à travers la ville assez pauvre qu'est Urubamba et nous sommes réfugiés à l'intérieur de son marché couvert pour échapper à une averse de pluie avant de rentrer à notre hôtel.
Notre santé et notre appétit étaient toujours en train de se remettre ...
C'est précisément là qu'on nous a montré la façon ancestrale de traiter la laine et d'obtenir ces couleurs si vives qui font la particularité des textiles andins. Cet arrêt étaient incroyablement bien organisé, est s'est averee si intéressant et si instructif qu'il restera un des points les plus mémorables de notre voyage.
Nous sommes tombés sous le charme et avons acheté les pieces les plus representatives de leur production. Ensuite, nous avons continué jusqu'à Ollantaytambo, qui offre l'un des ensembles architecturaux les plus monumentaux qui soient dans l'ancien Empire Inca et qui se trouve aussi d'être l'un des rares endroits où les conquistadors espagnols ont perdu une grande bataille.
Très connu pour ses "andenes" (terrasses agricoles creusées dans les pentes de la montagne), Ollantaytambo servi à la fois comme une forteresse imprenable et comme temple. C'etait aussi une autre occasion supplémentaire de nous offrir un gros plan de cette technique extraordinaire du travail de la pierre que maîtrisaient si bien les Incas.
Ensuite, nous avons marché autour de la ville d'Ollantaytambo, une ville Inca encore habitée qui sert d'exemple encore vivant, montrant l'urbanisme Inca, avec ses rues étroites et pavées qui ont été habitées en permanence depuis le 13ème siècle. Notre guide a également partagé avec nous le credo des Incas, ou Chacana, qui dit tout ce qui est nécessaire en trois principes essentiels : « Ne mens pas, ne vole pas, ne sois pas paresseux. » Ces principes tous simples m'ont beaucoup marqués !
Notre hôtel pour la nuit était le San Agustin Monasterio de la Recoleta. un hôtel certes très charmant, mais planté au milieu de nulle part à Urubamba, avec un personnel somme toute assez mal dirigé. L’après-midi, nous nous sommes baladés à travers la ville assez pauvre qu'est Urubamba et nous sommes réfugiés à l'intérieur de son marché couvert pour échapper à une averse de pluie avant de rentrer à notre hôtel.
Notre santé et notre appétit étaient toujours en train de se remettre ...
Libellés :
divertissement,
géographie,
voyage
jeudi, septembre 17, 2015
Voyage au Pérou - Cuzco
D’emblée, Cuzco a tout pour bien faire ; c'est un lieu très pittoresque, bien calé dans le cirque montagneux qui l'entoure avec des tas de bâtiments historiques datant de l'époque coloniale. Malheureusement, les constructions des Inca ont toutes été démolies par les Espagnols et leur incroyables murs de pierre parfaitement ajustés, ont tous été « recyclés » en cathédrales et en palais style espagnol.
La ville, qui est sur la liste du patrimoine culturel mondial de l'Unesco, compte un demi-million d'habitants, ce qui est assez remarquable pour une ville aussi touristique, et ses quartiers se déploient sur toutes les collines environnantes. Au matin, nous avons exploré d'abord la ville sans guide et littéralement tombés sous son charme.
Dans l'après-midi, nous avons fait la visite guidée officielle avec nos amis belges. Celle ci nous a amenée auprès du Temple Koricancha, un vieux palais inca et lieu de culte principal du dieu du soleil, Inti. Quand les espagnols eurent conquis le Pérou, l'ordre dominicain construit l'église spectaculaire de Santo Domingo sur les fondations de ce même temple.
Nous avons continué notre visite avec la place principale, puis l'aventure s'est poursuivit en direction de la forteresse de Sacsayhuaman (que notre guide nous a conseillé de prononcer « sexy woman ») qui avait été construite à partir d'énormes blocs de pierre savamment sculptés en puzzle parfait dans le meilleur des styles Inca. Ces ruines stratégiquement situées au sommet d'une colline surplombant la ville de Cuzco offrent une superbe vue sur toute agglomération.
Malheureusement, à mi-chemin au cours de notre visite, nous nous sommes fait surprendre par une averse imprévue et avons tous prit une bonne douche ! En dépit de cela, notre balade a continué avec la visite de trois sites archéologiques: Qenko, Puca Pucara et Tambomachay, qui tous étaient des centres religieux et administratifs importants pour les Incas. Enfin, nous avons visité Inkas Expression, un atelier d'art présentant une variété d'article d'orfèvrerie et de peinture sur bois par des artistes locaux.
Le soir, nous sommes retournés à notre hôtel à Cuzco, la Quinta San Blas, à quelques pas du centre de la ville et gérée à perfection par Sandra, son directeur. Dans la soirée, nous avons découvert la "Cicciolina", un bar à tapas formidable qui a dépassé de loin toutes nos attentes. Cette nuit-là, nous en avions quasiment fini avec nos problèmes de mal des montagnes et avons enfin dormit beaucoup, beaucoup mieux !
La ville, qui est sur la liste du patrimoine culturel mondial de l'Unesco, compte un demi-million d'habitants, ce qui est assez remarquable pour une ville aussi touristique, et ses quartiers se déploient sur toutes les collines environnantes. Au matin, nous avons exploré d'abord la ville sans guide et littéralement tombés sous son charme.
Dans l'après-midi, nous avons fait la visite guidée officielle avec nos amis belges. Celle ci nous a amenée auprès du Temple Koricancha, un vieux palais inca et lieu de culte principal du dieu du soleil, Inti. Quand les espagnols eurent conquis le Pérou, l'ordre dominicain construit l'église spectaculaire de Santo Domingo sur les fondations de ce même temple.
Nous avons continué notre visite avec la place principale, puis l'aventure s'est poursuivit en direction de la forteresse de Sacsayhuaman (que notre guide nous a conseillé de prononcer « sexy woman ») qui avait été construite à partir d'énormes blocs de pierre savamment sculptés en puzzle parfait dans le meilleur des styles Inca. Ces ruines stratégiquement situées au sommet d'une colline surplombant la ville de Cuzco offrent une superbe vue sur toute agglomération.
Malheureusement, à mi-chemin au cours de notre visite, nous nous sommes fait surprendre par une averse imprévue et avons tous prit une bonne douche ! En dépit de cela, notre balade a continué avec la visite de trois sites archéologiques: Qenko, Puca Pucara et Tambomachay, qui tous étaient des centres religieux et administratifs importants pour les Incas. Enfin, nous avons visité Inkas Expression, un atelier d'art présentant une variété d'article d'orfèvrerie et de peinture sur bois par des artistes locaux.
Le soir, nous sommes retournés à notre hôtel à Cuzco, la Quinta San Blas, à quelques pas du centre de la ville et gérée à perfection par Sandra, son directeur. Dans la soirée, nous avons découvert la "Cicciolina", un bar à tapas formidable qui a dépassé de loin toutes nos attentes. Cette nuit-là, nous en avions quasiment fini avec nos problèmes de mal des montagnes et avons enfin dormit beaucoup, beaucoup mieux !
Libellés :
divertissement,
géographie,
voyage
mercredi, septembre 16, 2015
Voyage au Pérou - De Puno à Cuzco
Nous redoutions tous cette journée car nous avions un voyage d'autobus de 10 heures au programme entre le lac Titicaca et la ville de Cuzco, l'ancienne capitale des Incas. La bonne nouvelle était que nous avions un bus beaucoup plus spacieux et beaucoup plus confortable que le véhicule qui nous avait transporté précédemment entre le Canyon de Colca et Puno.
De plus, de nombreux arrêts étaient prévus en route pour rompre la monotonie du voyage. Nous nous sommes d'abord arrêtés pour visiter Andahuaylillas, une ville rendue célèbre par son église du 17ème siècle et son intérieur baroque assez unique. Nous nous sommes également arrêtés pour visiter les ruines de Racchi, connues pour avoir été le temple du Dieu Wiracocha.
Juste pour continuer notre cure de haute altitude, nous avons grimpé jusqu'à 4335 mètres à La Raya, juste à mi-chemin entre Puno et Cuzco, un haut lieu entouré montagnes et de glaciers, ou le manque d’oxygène n'a pas manqué de se faire sentir à nouveau. Il s'agissait là d'un autre endroit pittoresque, parfait pour faire des photos et pour les petits commerçants qui vendaient leurs créations en laine d'alpaga.
Nous sommes finalement arrivés à Cuzco sans avoir trop souffert de ce qui aurait pu paraître comme un horrible voyage au départ. L'hôtel, Quinta San Blas, où nous étions descendus était très charmant, mais sans une seule fenêtre, nous a fait nous sentir un peu claustrophobe ...
Cette nuit-là devait marquer un autre grand progrès dans notre processus d'acclimatation à l'altitude ; nous dormions enfin beaucoup mieux et nos maux de tête et autres nausées étaient maintenant sous contrôle après avoir avalé quelques comprimés d'ibuprofène. Cela marchait mieux que les feuilles de coca ; nous aurions dû en prendre dès le début !
De plus, de nombreux arrêts étaient prévus en route pour rompre la monotonie du voyage. Nous nous sommes d'abord arrêtés pour visiter Andahuaylillas, une ville rendue célèbre par son église du 17ème siècle et son intérieur baroque assez unique. Nous nous sommes également arrêtés pour visiter les ruines de Racchi, connues pour avoir été le temple du Dieu Wiracocha.
Juste pour continuer notre cure de haute altitude, nous avons grimpé jusqu'à 4335 mètres à La Raya, juste à mi-chemin entre Puno et Cuzco, un haut lieu entouré montagnes et de glaciers, ou le manque d’oxygène n'a pas manqué de se faire sentir à nouveau. Il s'agissait là d'un autre endroit pittoresque, parfait pour faire des photos et pour les petits commerçants qui vendaient leurs créations en laine d'alpaga.
Nous sommes finalement arrivés à Cuzco sans avoir trop souffert de ce qui aurait pu paraître comme un horrible voyage au départ. L'hôtel, Quinta San Blas, où nous étions descendus était très charmant, mais sans une seule fenêtre, nous a fait nous sentir un peu claustrophobe ...
Cette nuit-là devait marquer un autre grand progrès dans notre processus d'acclimatation à l'altitude ; nous dormions enfin beaucoup mieux et nos maux de tête et autres nausées étaient maintenant sous contrôle après avoir avalé quelques comprimés d'ibuprofène. Cela marchait mieux que les feuilles de coca ; nous aurions dû en prendre dès le début !
Libellés :
divertissement,
géographie,
voyage
mardi, septembre 15, 2015
Voyage au Pérou - Lac Titicaca
Comme des zombies, nous avons pris le bus assez tôt en direction du lac Titicaca (dont le nom pourrait signifier « puma de pierre ») pour un jour qui allait avéré être une occasion de découverte et d'émerveillement.
Nous avons commencé par monter dans un de ces bateaux mouche qui transportent une bonne vingtaine de touristes sur le lac et les emportent en direction des fameuses îles Uros, qui sont un ensemble d'îles artificielles flottantes, faites à partir des roseaux « totora », sur les bords de la Réserve nationale du lac Titicaca. Le lac est situé à 3950 mètres d'altitude, un peu en dessus de ce qu'aurait recommandé notre médecin de famille à ce moment particulier.
Quand nous sommes arrivés à ces îles Uros habitées désormais par des indiens Aymaras, ces insulaires qui nous ont tendu une embuscade sous prétexte de nous faire visiter leurs huttes et nous ont littéralement piégés à l'intérieur afin de nous vendre leur artisanat. Ces gens-là savent bien y faire avec les touristes et ont parfaitement évolué par rapport à leur ancien statut de chasseurs et de cueilleurs tout comme d'ailleurs le reste des premiers habitants de l'Altiplano.
Ce qui fut remarquable aura été de voir la manière dont ils construisent ces plates-formes en roseaux, arrivent à mener une vie assez normale sur celles-ci en n'ayant à les remplacer que tous les 40 ans. Dans une certaine mesure, la mise en en scène assez élaborée et le côté mercantile de la visite sonnait assez faux et tombait dans la catégorie des pièges à touriste typiques.
Apparemment, où que nous soyons allés pendant notre voyage, les guides qui nous accompagnaient recevaient tous une commission sur les achats faits par les touristes. Quand nous avons eu terminé avec ces insulaires, le bateau nous a conduit tout près, à l'île de Taquile, où la culture sois-disant remonte à l'époque pré-incas. Ces insulaires, sur « terre ferme », cette fois, vivraient toujours en suivant les traditions et les croyances de leurs ancêtres et sont très renommés pour leurs très beaux costumes et leur techniques de tissage.
On nous a du reste dit que l'Unesco a déclaré que les textile produits sur l'île de Taquile étaient reconnus en tant que « chef-d’œuvres du patrimoine oral et immatériel de l’humanité». En plus de leurs fameux tissus, nous avons eu droit à une démonstration de fabrication de savons à partir de plantes locales qui peuvent être utilisés pour laver du linge jusqu'aux cheveux et seraient censés d'empêcher ceux-ci de blanchir et de prévenir la calvitie (j'aurai du essayer la formule avant !)
Nous avons également eu droit à une danse folklorique au moment du déjeuner sur cette même île. Ce qui m'a le plus frappé fut de constater qu'il n'y avait pas un seul élément de transport mécanisé sur l’île. La nuit, nous retournions au même hôtel, et même si notre appétit était encore au niveau zéro, je me sentais un peu mieux et réussissait enfin à dormir quelques heures, sans oxygène. J’étais en train de me refaire une santé !
Nous avons commencé par monter dans un de ces bateaux mouche qui transportent une bonne vingtaine de touristes sur le lac et les emportent en direction des fameuses îles Uros, qui sont un ensemble d'îles artificielles flottantes, faites à partir des roseaux « totora », sur les bords de la Réserve nationale du lac Titicaca. Le lac est situé à 3950 mètres d'altitude, un peu en dessus de ce qu'aurait recommandé notre médecin de famille à ce moment particulier.
Quand nous sommes arrivés à ces îles Uros habitées désormais par des indiens Aymaras, ces insulaires qui nous ont tendu une embuscade sous prétexte de nous faire visiter leurs huttes et nous ont littéralement piégés à l'intérieur afin de nous vendre leur artisanat. Ces gens-là savent bien y faire avec les touristes et ont parfaitement évolué par rapport à leur ancien statut de chasseurs et de cueilleurs tout comme d'ailleurs le reste des premiers habitants de l'Altiplano.
Ce qui fut remarquable aura été de voir la manière dont ils construisent ces plates-formes en roseaux, arrivent à mener une vie assez normale sur celles-ci en n'ayant à les remplacer que tous les 40 ans. Dans une certaine mesure, la mise en en scène assez élaborée et le côté mercantile de la visite sonnait assez faux et tombait dans la catégorie des pièges à touriste typiques.
Apparemment, où que nous soyons allés pendant notre voyage, les guides qui nous accompagnaient recevaient tous une commission sur les achats faits par les touristes. Quand nous avons eu terminé avec ces insulaires, le bateau nous a conduit tout près, à l'île de Taquile, où la culture sois-disant remonte à l'époque pré-incas. Ces insulaires, sur « terre ferme », cette fois, vivraient toujours en suivant les traditions et les croyances de leurs ancêtres et sont très renommés pour leurs très beaux costumes et leur techniques de tissage.
On nous a du reste dit que l'Unesco a déclaré que les textile produits sur l'île de Taquile étaient reconnus en tant que « chef-d’œuvres du patrimoine oral et immatériel de l’humanité». En plus de leurs fameux tissus, nous avons eu droit à une démonstration de fabrication de savons à partir de plantes locales qui peuvent être utilisés pour laver du linge jusqu'aux cheveux et seraient censés d'empêcher ceux-ci de blanchir et de prévenir la calvitie (j'aurai du essayer la formule avant !)
Nous avons également eu droit à une danse folklorique au moment du déjeuner sur cette même île. Ce qui m'a le plus frappé fut de constater qu'il n'y avait pas un seul élément de transport mécanisé sur l’île. La nuit, nous retournions au même hôtel, et même si notre appétit était encore au niveau zéro, je me sentais un peu mieux et réussissait enfin à dormir quelques heures, sans oxygène. J’étais en train de me refaire une santé !
Libellés :
divertissement,
géographie,
voyage
lundi, septembre 14, 2015
Voyage au Pérou - Canyon de Colca
Cette journée allait être marquée par un long et éprouvant voyage en autobus ; après nous être arrêté au sommet du Canyon de Colca, nous avons rejoint une foule de touristes pour tenter d'apercevoir ces fameux condors en train d'attraper les courants thermiques en bordure d'une abîme vertigineuse plongeant jusqu'à 4000 mètres de profondeur.
Nous avons attendu et attendu, en avons manqués quelques-uns mais n'avons rien vu de bien spectaculaire ; notre guide César nous a alors emmené sur un des raccourcis qu'il connaissait, bien loin de la foule de badauds, et c'est là que nous avons pu commencer à admirer et observer ces oiseaux emblématiques. Grands, impressionnants et planant sans effort apparent, ces majestueux charognards faisaient leur travail de nettoyage !
Après cet intermède incontournable, le voyage continua dans un bus serré et sembla interminable ; nous sommes arrivés à Puno tard en soirée et complètement épuisés. Avant de nous quitter, notre guide César était resté une partie de la journée et s’était montré toujours égal à lui-même.
Cette nuit-là, nous étions tous logés dans un hôtel assez prétentieux, le José Antonio, situé à la périphérie de la ville de Puno, toujours autour des 4000 mètres d'altitude, et mon épouse et moi étions tellement malades que nous avons même pris de l'oxygène en espérant que cela nous aiderai un peu, mais ce ne fut pas le cas.
De toute évidence, je me sentais toujours aussi mal et une fois de plus, je ne pouvais pas fermer l’œil de la nuit, aidé en cela par quelques chiens qui ont aboyé toute la nuit, juste sous nos fenêtres qui donnait justement sur ce magnifique lac de Titicaca. Cette fois, j'en avais vraiment marre et je m’étais mis à penser sérieusement à rentrer à la maison le lendemain …
Nous avons attendu et attendu, en avons manqués quelques-uns mais n'avons rien vu de bien spectaculaire ; notre guide César nous a alors emmené sur un des raccourcis qu'il connaissait, bien loin de la foule de badauds, et c'est là que nous avons pu commencer à admirer et observer ces oiseaux emblématiques. Grands, impressionnants et planant sans effort apparent, ces majestueux charognards faisaient leur travail de nettoyage !
Après cet intermède incontournable, le voyage continua dans un bus serré et sembla interminable ; nous sommes arrivés à Puno tard en soirée et complètement épuisés. Avant de nous quitter, notre guide César était resté une partie de la journée et s’était montré toujours égal à lui-même.
Toute la journée, nous avons roulé entre 4 et 4500 mètres d'altitude et cette dose continue de parcours en haute montagne n'a pas contribué à aider l’état de santé des membres de notre groupe. Un partie notable de notre voyage fut la traversée de la petite ville de Jayllihuaya, juste avant Puno, avec son artère bondée de petits magasins
et d'entreprises similaires tous regroupés par activités.
De toute évidence, je me sentais toujours aussi mal et une fois de plus, je ne pouvais pas fermer l’œil de la nuit, aidé en cela par quelques chiens qui ont aboyé toute la nuit, juste sous nos fenêtres qui donnait justement sur ce magnifique lac de Titicaca. Cette fois, j'en avais vraiment marre et je m’étais mis à penser sérieusement à rentrer à la maison le lendemain …
Libellés :
divertissement,
géographie,
voyage
dimanche, septembre 13, 2015
Voyage au Pérou - Chivay
Tôt le matin, c'est César, notre guide, qui est venu nous chercher à l'hôtel pour nous emmener à Chivay, notre destination finale pour la journée. Tout d'abord, il nous a fait un speech complet sur les mérites de savoir bien mâcher les feuilles de coca afin de bien lutter contre le mal des montagnes.
Tout son discours sur le sujet a pris au moins une bonne heure. J'ai bien entendu essayé son truc avec peu d'enthousiasme, et comme je suis sceptique, j'ai eu l'effet placebo, donc ça n'a pas marché, comme j'allais du reste bientôt le découvrir.
Ce jour a impliqué beaucoup de montées dans notre minibus, là nous avons atteint une altitude de 4910 mètres. Nous avons vu des vigognes (lamas sauvages) en liberté à sur ces très hauts plateaux, nous nous sommes un peu gelé nos fesses et nous pouvions presque toucher les glaciers tellement nous étions près de ces sommets qui nous entouraient de leurs 6000 mètres.
Nous sommes passés par le village de Yura, la réserve nationale d'Aguada Blanca et avons parcouru la Pampa Cañahuas avant de le rendre sur la petite ville de Chivay. Ce jour-là, nous voyagions avec un groupe de touristes belges extrêmement sympathiques et nous n'avons jamais trouvé le temps long !
Cela nous a fait quelque peu oublier nos symptômes de nausées, de maux de tête et d'essoufflement qui étaient les signes avant-coureurs du mal des montagne. L'hôtel qui nous avait été attribué ce soir-là était l'Anrawa Colca et ma femme et moi furent frappé tous les deux par les premiers symptômes de ce mal des montagnes dont on nous avait tant parlé au cour de la journée.
En rétrospective, nous n'aurions pas du boire d'alcool les nuits précédentes et éviter toute consommation de café. Alors que mon épouse était capable de dormir un peu, je n'y arrivais pas du tout ; mon organisme semblait avoir perdu la capacité naturelle de s'endormir; dès que je commençait à m'assoupir, je devais instinctivement reprendre mon souffle et cela me réveillait ...
Un bel hôtel pourtant, mais une horrible nuit à cause du « soroche », le nom Quichua donné au mal des montagnes.
Tout son discours sur le sujet a pris au moins une bonne heure. J'ai bien entendu essayé son truc avec peu d'enthousiasme, et comme je suis sceptique, j'ai eu l'effet placebo, donc ça n'a pas marché, comme j'allais du reste bientôt le découvrir.
Ce jour a impliqué beaucoup de montées dans notre minibus, là nous avons atteint une altitude de 4910 mètres. Nous avons vu des vigognes (lamas sauvages) en liberté à sur ces très hauts plateaux, nous nous sommes un peu gelé nos fesses et nous pouvions presque toucher les glaciers tellement nous étions près de ces sommets qui nous entouraient de leurs 6000 mètres.
Nous sommes passés par le village de Yura, la réserve nationale d'Aguada Blanca et avons parcouru la Pampa Cañahuas avant de le rendre sur la petite ville de Chivay. Ce jour-là, nous voyagions avec un groupe de touristes belges extrêmement sympathiques et nous n'avons jamais trouvé le temps long !
Cela nous a fait quelque peu oublier nos symptômes de nausées, de maux de tête et d'essoufflement qui étaient les signes avant-coureurs du mal des montagne. L'hôtel qui nous avait été attribué ce soir-là était l'Anrawa Colca et ma femme et moi furent frappé tous les deux par les premiers symptômes de ce mal des montagnes dont on nous avait tant parlé au cour de la journée.
En rétrospective, nous n'aurions pas du boire d'alcool les nuits précédentes et éviter toute consommation de café. Alors que mon épouse était capable de dormir un peu, je n'y arrivais pas du tout ; mon organisme semblait avoir perdu la capacité naturelle de s'endormir; dès que je commençait à m'assoupir, je devais instinctivement reprendre mon souffle et cela me réveillait ...
Un bel hôtel pourtant, mais une horrible nuit à cause du « soroche », le nom Quichua donné au mal des montagnes.
Libellés :
divertissement,
géographie,
voyage
samedi, septembre 12, 2015
Voyage au Pérou - Arequipa
Notre journée a commencé tôt à 4h du matin quand tous nos réveille-matins réglés la veille, plus un appel téléphonique de la réception de l'hôtel se sont mis à sonner en même temps, nous rappelant ainsi que notre bagage manquant venait de nous etre retourné.
Nous étions très soulagé et descendirent à la réception de l’hôtel pour avaler une tasse de café et bavarder avec César Melendez, le réceptionniste, qui nous a dit qu'il avait appris l'anglais en travaillant pendant 4 saisons à la station de ski de Deer Valley ; que le monde est petit !
Notre voyagiste, Condor Travel est venu nous chercher à l'heure pile et nous a conduits à l'aéroport. Il était 5 heures du matin et bizarrement, la circulation battait son plein car c’était la fermetures des discothèques et des bars après une nuit agitée ...
Notre vol pour Arequipa, au sud de Lima, était avec la compagnie aérienne LAN que nous prenions pour la toute première fois. La ville d'Arequipa, fondée en 1540 compte environ 1 million d'habitants et se dresse en plein milieu du désert d'Atacama, le plus grand sur le continent, et le plus aride des déserts non polaires dans le monde.
La ville se situe juste en dessous de trois volcans qui sont à environ 6000 m. d'altitude. Là, nous avons visité la Ciudad Blanca (Ville Blanche, au centre-ville) qui est presque totalement construite en sillar, une pierre volcanique poreuse blanche, qui donne ainsi son nom à ce quartier de la ville.
Nous avons visité la place principale et ses bâtiments coloniaux, l'église des Jésuites avec son mélange d'art baroque et art churrigueresque baroque espagnol du XVIIe siècle, avec les fresques très colorées du dôme de San Ignacio, connu comme la Chapelle Sixtine d'Amérique.
Nous avons également visité le couvent de Santa Catalina, qui est d'avantage une citadelle du XVIe siècle qu'un couvent cloîtré. Le soir, nous avons eu un merveilleux dîner au Zig-Zag, un restaurant local, tenu par un chef suisse de Neuchâtel. Le cadre et le menu étaient sublimes.
L’hôtel où nous étions, le San Agustin Posada del Monasterio, était pittoresque mais très bruyant ; il se trouvait au beau milieu des des boîtes de nuit du coin et nous étions un samedi soir. J'ai pu dormir à peu près correctement, mais mon épouse n'a pas eu cette chance. Dommage que nous n'ayons plus vingt-ans, sinon nous serions partis danser jusqu'aux aurores !
Nous étions très soulagé et descendirent à la réception de l’hôtel pour avaler une tasse de café et bavarder avec César Melendez, le réceptionniste, qui nous a dit qu'il avait appris l'anglais en travaillant pendant 4 saisons à la station de ski de Deer Valley ; que le monde est petit !
Notre voyagiste, Condor Travel est venu nous chercher à l'heure pile et nous a conduits à l'aéroport. Il était 5 heures du matin et bizarrement, la circulation battait son plein car c’était la fermetures des discothèques et des bars après une nuit agitée ...
Notre vol pour Arequipa, au sud de Lima, était avec la compagnie aérienne LAN que nous prenions pour la toute première fois. La ville d'Arequipa, fondée en 1540 compte environ 1 million d'habitants et se dresse en plein milieu du désert d'Atacama, le plus grand sur le continent, et le plus aride des déserts non polaires dans le monde.
La ville se situe juste en dessous de trois volcans qui sont à environ 6000 m. d'altitude. Là, nous avons visité la Ciudad Blanca (Ville Blanche, au centre-ville) qui est presque totalement construite en sillar, une pierre volcanique poreuse blanche, qui donne ainsi son nom à ce quartier de la ville.
Nous avons visité la place principale et ses bâtiments coloniaux, l'église des Jésuites avec son mélange d'art baroque et art churrigueresque baroque espagnol du XVIIe siècle, avec les fresques très colorées du dôme de San Ignacio, connu comme la Chapelle Sixtine d'Amérique.
Nous avons également visité le couvent de Santa Catalina, qui est d'avantage une citadelle du XVIe siècle qu'un couvent cloîtré. Le soir, nous avons eu un merveilleux dîner au Zig-Zag, un restaurant local, tenu par un chef suisse de Neuchâtel. Le cadre et le menu étaient sublimes.
L’hôtel où nous étions, le San Agustin Posada del Monasterio, était pittoresque mais très bruyant ; il se trouvait au beau milieu des des boîtes de nuit du coin et nous étions un samedi soir. J'ai pu dormir à peu près correctement, mais mon épouse n'a pas eu cette chance. Dommage que nous n'ayons plus vingt-ans, sinon nous serions partis danser jusqu'aux aurores !
Libellés :
divertissement,
géographie,
travail
vendredi, septembre 11, 2015
Voyage au Pérou - Lima
Nous avons passé la matinée à faire toutes les petites corvées nécessaires, comme changer de l'argent, acheter une carte SIM et un abonnement au système de téléphonie mobile locale tout en cherchant à nous orienter autour de l'hôtel.
Un des avantage de ce voyage, à l'exception d'arriver autour de minuit, aura été la quasi absence de décalage horaire. Juste une heure de différence avec la maison! Le quartier de Miraflores semble être le meilleur quartier de cette ville de 10 millions d'habitants qu'est Lima ; sa situation en bordure de la côte Pacifique en fait un coin des plus agréables.
L'après-midi, il était temps de suivre notre première visite guidée. Nous n'étions que nous deux avec notre guide, et avons visité les quartiers coloniaux de Lima, fait le tour de la place principale où se trouve le palais présidentiel et en avons profité pour visiter la cathédrale, le Palais de l’archevêché et la mairie, tous situés dans cette même zone.
Tous ces bâtiments historiques n'ont en quelque sorte jamais été totalement détruits par les multiples tremblements de terre qu'a subit la ville au cours des siècles. Comme le catholicisme a joué un rôle tres important dans l'imposition de cette culture coloniale espagnole, nous avons visité l'église de Saint-Domingue et son monastère, un joyau du XVIIe siècle, classés au patrimoine culturel de l'Unesco.
En route, nous avons vu des scènes assez singulières, comme des gens expulsés de leurs appartements, avec tous leurs biens jetés à la rue, nous avons aussi traversé certains quartiers populaires, spécialisée dans des activités bien précises comme par exemple les matériaux de construction.
Nous avons conclu notre journée en visitant le Musée Larco, une collection privée qui recèle un nombre impressionnant de trésors du Vieux-Pérou, et permet aux visiteurs de mieux comprendre et d'apprécier plus de cinq mille ans d'histoire ancienne grâce aux 45.000 pièces qui y sont exposées.
La nuit, fatigués et affamés, nous sommes retournés en bordure de l'océan pour y rejoindre les foules le week-end et dîner au bord du Pacifique ...
Un des avantage de ce voyage, à l'exception d'arriver autour de minuit, aura été la quasi absence de décalage horaire. Juste une heure de différence avec la maison! Le quartier de Miraflores semble être le meilleur quartier de cette ville de 10 millions d'habitants qu'est Lima ; sa situation en bordure de la côte Pacifique en fait un coin des plus agréables.
L'après-midi, il était temps de suivre notre première visite guidée. Nous n'étions que nous deux avec notre guide, et avons visité les quartiers coloniaux de Lima, fait le tour de la place principale où se trouve le palais présidentiel et en avons profité pour visiter la cathédrale, le Palais de l’archevêché et la mairie, tous situés dans cette même zone.
Tous ces bâtiments historiques n'ont en quelque sorte jamais été totalement détruits par les multiples tremblements de terre qu'a subit la ville au cours des siècles. Comme le catholicisme a joué un rôle tres important dans l'imposition de cette culture coloniale espagnole, nous avons visité l'église de Saint-Domingue et son monastère, un joyau du XVIIe siècle, classés au patrimoine culturel de l'Unesco.
En route, nous avons vu des scènes assez singulières, comme des gens expulsés de leurs appartements, avec tous leurs biens jetés à la rue, nous avons aussi traversé certains quartiers populaires, spécialisée dans des activités bien précises comme par exemple les matériaux de construction.
Nous avons conclu notre journée en visitant le Musée Larco, une collection privée qui recèle un nombre impressionnant de trésors du Vieux-Pérou, et permet aux visiteurs de mieux comprendre et d'apprécier plus de cinq mille ans d'histoire ancienne grâce aux 45.000 pièces qui y sont exposées.
La nuit, fatigués et affamés, nous sommes retournés en bordure de l'océan pour y rejoindre les foules le week-end et dîner au bord du Pacifique ...
Libellés :
divertissement,
géographie,
voyage
jeudi, septembre 10, 2015
Premier voyage en Amérique du Sud …
Bien que j'en avais envie depuis fort longtemps, je n’étais jamais allé sur ce continent. En partant, j’éprouvais une certaine anxiété bien normale, mais j’étais également très enthousiasmé en vu de ce voyage planifié depuis Juillet.
Nous sommes partis de Salt Lake City vers Lima via Houston et, fidèle à sa réputation (en tout cas en ce qui me concerne), la compagnie United Airlines a réussi à perdre un de nos sacs pendant le transfert au Texas. Cela validait donc bien mon appréhension !
En nous rendant de l'aéroport à l'hôtel, dans le quartier de Miraflores, la ville offrait des aspects assez inquiétants et cela nous rappelait à juste titre que nous étions dans un pays en voie développement, pas un petit paradis comme Park City.
La différence est bien sûr frappante ; le Pérou est deux fois plus grand que la France soit la même taille que le Tchad, le Niger ou l'Afrique du Sud, a un PIB par habitant d'environ 12 000 dollars, tout comme la Jordanie ou la Tunisie, et compte 30 millions d'habitants, dont 10 vivent à Lima, sa capitale.
Nous sommes partis de Salt Lake City vers Lima via Houston et, fidèle à sa réputation (en tout cas en ce qui me concerne), la compagnie United Airlines a réussi à perdre un de nos sacs pendant le transfert au Texas. Cela validait donc bien mon appréhension !
En nous rendant de l'aéroport à l'hôtel, dans le quartier de Miraflores, la ville offrait des aspects assez inquiétants et cela nous rappelait à juste titre que nous étions dans un pays en voie développement, pas un petit paradis comme Park City.
La différence est bien sûr frappante ; le Pérou est deux fois plus grand que la France soit la même taille que le Tchad, le Niger ou l'Afrique du Sud, a un PIB par habitant d'environ 12 000 dollars, tout comme la Jordanie ou la Tunisie, et compte 30 millions d'habitants, dont 10 vivent à Lima, sa capitale.
Libellés :
divertissement,
géographie,
travail
mercredi, septembre 09, 2015
Peut-on gaspiller l'eau ?
Dans l'Ouest Américain, l'eau est très rare et pourtant, il est prévu que la population de l'Utah (et celle de Park City) devrait doubler au cours des deux prochaines décennies. En dépit de cela, l'eau est gaspillée jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Maintenir les pelouses bien vertes et irriguer les terrains de golf représentent le plus grand usage pour toute cette eau qui nous fait défaut. Tel est le cas avec le parcours de golf de Park Meadows, à coté de chez nous, où il y a plus de gens qui l’entretiennent que de joueurs.
Ce gaspillage est dû en partie à des lois hydrologistes insensées qui répartissent l'eau de manière arbitraire et sans se soucier s'il en existe ou pas. Peut-être qu'un environnement en pleine transformation forcera un changement de ces lois ?
Maintenir les pelouses bien vertes et irriguer les terrains de golf représentent le plus grand usage pour toute cette eau qui nous fait défaut. Tel est le cas avec le parcours de golf de Park Meadows, à coté de chez nous, où il y a plus de gens qui l’entretiennent que de joueurs.
Ce gaspillage est dû en partie à des lois hydrologistes insensées qui répartissent l'eau de manière arbitraire et sans se soucier s'il en existe ou pas. Peut-être qu'un environnement en pleine transformation forcera un changement de ces lois ?
Libellés :
écologie,
mode de vie,
montagne,
sport
mardi, septembre 08, 2015
Entre-temps, au potager ...
C'est la deuxième saison de récolte dans notre petit jardin, et si l'an passé avait été une bonne surprise, cette année aura été un franc succès et un excellent indicateur pour nos futures récoltes.
Hier, j'ai cueilli ces fraises délicieuses de leur plant de haute altitude (2055 m) et c'était un vrai délice. Cet après-midi, je prenais une jeune pie en flagrant délit de dégustation dans ce même plan et j'ai bien peur qu'elle récidive.
Cela me fends le cœur, mais je crains qu'il soit temps que je m’achète une carabine à plombs !
Hier, j'ai cueilli ces fraises délicieuses de leur plant de haute altitude (2055 m) et c'était un vrai délice. Cet après-midi, je prenais une jeune pie en flagrant délit de dégustation dans ce même plan et j'ai bien peur qu'elle récidive.
Cela me fends le cœur, mais je crains qu'il soit temps que je m’achète une carabine à plombs !
lundi, septembre 07, 2015
Dernier concert de l'été ...
Un signe certain que l'été est bel et bien terminé est lorsque Deer Valley tient son dernier concert en plein air, ce qui se passait la nuit dernière, et il a fallu combattre le froid automnal pour rester au chaud en cette soirée glaciale de début septembre.
C’était Aloe Blacc qui se produisait sur le podium. Il était absolument excellent. Vivace, engageant et convaincant. Sans discussion le meilleur concert sur les neuf excellentes prestations auxquelles nous avons eu la chance d'assister depuis le mois de juin.
Les chaises pliantes sont maintenant suspendues dans garage dans la perspective d'une autre belle saison musicale en 2016 !
C’était Aloe Blacc qui se produisait sur le podium. Il était absolument excellent. Vivace, engageant et convaincant. Sans discussion le meilleur concert sur les neuf excellentes prestations auxquelles nous avons eu la chance d'assister depuis le mois de juin.
Les chaises pliantes sont maintenant suspendues dans garage dans la perspective d'une autre belle saison musicale en 2016 !
dimanche, septembre 06, 2015
Dépensons plus pour la maison !
Pour la troisième année consécutive, nous avons vraiment bien apprécié l'expo de maisons neuves à Park City. Allons-nous remettre ça l'an prochain ? Nous ne savons pas trop ; peut-être prendrons nous une petite pause ...
Ce que nous avons appris, après avoir vu 17 maisons proposées, c'est d'abord que la mode mène la danse dans la construction des maisons et de leur décoration. Par exempla, le thème de l'année était dans le design contemporain et les nuances de gris.
La moquette revient un peu après avoir été éclipsée pendant des années par le parquet, les rideaux sont en train de disparaître, la maison « branchée » devient une réalité et des efforts en matière de réduction des coûts dans les matériaux de construction font une entrée nécessaire pour contenir un peu une hausse des prix stratosphérique.
Qu'est-ce que cela veut dire pour le propriétaire et l'acheteur de maison ? Que ce qui est neuf est bien mieux, que la technologie est en train d'évoluer tres vite et qu'une concurrence accrues entre nouvelles idées, conceptions et matériaux va mettre une pression croissante sur les consommateurs pour modifier, mettre à jour et à dépenser beaucoup plus sur leur habitation. La maison devient le nouveau champ de bataille de la consommation !
Ce que nous avons appris, après avoir vu 17 maisons proposées, c'est d'abord que la mode mène la danse dans la construction des maisons et de leur décoration. Par exempla, le thème de l'année était dans le design contemporain et les nuances de gris.
La moquette revient un peu après avoir été éclipsée pendant des années par le parquet, les rideaux sont en train de disparaître, la maison « branchée » devient une réalité et des efforts en matière de réduction des coûts dans les matériaux de construction font une entrée nécessaire pour contenir un peu une hausse des prix stratosphérique.
Qu'est-ce que cela veut dire pour le propriétaire et l'acheteur de maison ? Que ce qui est neuf est bien mieux, que la technologie est en train d'évoluer tres vite et qu'une concurrence accrues entre nouvelles idées, conceptions et matériaux va mettre une pression croissante sur les consommateurs pour modifier, mettre à jour et à dépenser beaucoup plus sur leur habitation. La maison devient le nouveau champ de bataille de la consommation !
samedi, septembre 05, 2015
D'avantage de ski dans votre vie ?
Entre la fin Août et le début Septembre, Park City ouvre les portes de certaines de ses maisons les plus innovantes et élégantes auprès du grand public. Pour environ une douzaine d'euros par personne, vous pouvez jeter un œil sur 18 maisons neuves, triées sur le volet, allant de la conception la plus originale, à la plus grande surface habitable en passant par la meilleure utilisation des vues.
Nous ne sommes pas particulièrement des voyeurs, mais sommes toujours à l'affût d'idées en matière d'habitat et parfois nous en trouvons d'assez bonnes. Ceci dit, nous dénichons aussi pas mal d'erreurs et de mauvais choix que les architectes ne devrait plus avoir le droit de faire au jour d'aujourd'hui. Les mauvais architectes et les promoteurs pourris ne sont pas encore tout à fait en voie d'extinction !
Une idée assez farfelue que j'ai découvert hier dans une de ces maison tirée par les cheveux était ce qui semblait paraître une chambre de fille décorée à saturation avec des objets apparentées au ski. La tête de lit sur la photo est particulièrement étonnante ; un peu comme s'il n'y avait pas assez de ski dans la vie quotidienne de cette jeune personne, il fallait encore lui en planter quelques pairs de plus pour enclore ses rêves ?
Personnellement j'aurai peur de rêver que je vais m’empaler sur ces spatules menaçantes, mais c'est juste ma petite phobie. Les coureurs, eux, pourraient compléter leur tête de lit en y mettant leur paires de skis de slalom, de géant et de descente de la saison précédente. Si le lit est assez large, ils pourraient également ajouter une paire de skis de Super G, ou tout simplement doubler la mise.
Même venant d'un skieur passionné comme moi, je pense que c'est un peu forcer la dose raisonnable de ski pour une seule personne !
Nous ne sommes pas particulièrement des voyeurs, mais sommes toujours à l'affût d'idées en matière d'habitat et parfois nous en trouvons d'assez bonnes. Ceci dit, nous dénichons aussi pas mal d'erreurs et de mauvais choix que les architectes ne devrait plus avoir le droit de faire au jour d'aujourd'hui. Les mauvais architectes et les promoteurs pourris ne sont pas encore tout à fait en voie d'extinction !
Une idée assez farfelue que j'ai découvert hier dans une de ces maison tirée par les cheveux était ce qui semblait paraître une chambre de fille décorée à saturation avec des objets apparentées au ski. La tête de lit sur la photo est particulièrement étonnante ; un peu comme s'il n'y avait pas assez de ski dans la vie quotidienne de cette jeune personne, il fallait encore lui en planter quelques pairs de plus pour enclore ses rêves ?
Personnellement j'aurai peur de rêver que je vais m’empaler sur ces spatules menaçantes, mais c'est juste ma petite phobie. Les coureurs, eux, pourraient compléter leur tête de lit en y mettant leur paires de skis de slalom, de géant et de descente de la saison précédente. Si le lit est assez large, ils pourraient également ajouter une paire de skis de Super G, ou tout simplement doubler la mise.
Même venant d'un skieur passionné comme moi, je pense que c'est un peu forcer la dose raisonnable de ski pour une seule personne !
Libellés :
design,
humour,
l'art du ski
vendredi, septembre 04, 2015
Une rencontre bien spéciale
Hier, alors que nous gravissions Mt. Timpanogos, nous sommes tombés sur un individu très spécial, connu sous le nom de « ce Mec ». Nous ne savions pas que c'était lui quand nous l'avons rencontré sur le chemin. Lui en train de descendre et nous en train de gravir la pente.
Nous nous sommes dit bonjour et avons échangé quelques mots ; très vite j'ai compris qu'il c'était « ce Mec » Je lui ai demandé combien de fois il avait gravi la montagne cette saison, et il m'a répondu « cinquante fois ! » Là, je me suis rendu compte qu'il s'agissait bel et bien de Ben Woolsey, un vieux postier retraité de 73 ans qui habite à Orem, en Utah et qui a déjà gravi la montagne près de 730 fois, et l'a fait 72 fois l'année de ses 72 ans !
Il nous a fait un « tope là » avant de continuer sa dégringolade, a eu toute mon admiration ainsi que mon envie (dans le sens positif) et a inspiré ma fille et moi pour le reste de l'ascension !
Nous nous sommes dit bonjour et avons échangé quelques mots ; très vite j'ai compris qu'il c'était « ce Mec » Je lui ai demandé combien de fois il avait gravi la montagne cette saison, et il m'a répondu « cinquante fois ! » Là, je me suis rendu compte qu'il s'agissait bel et bien de Ben Woolsey, un vieux postier retraité de 73 ans qui habite à Orem, en Utah et qui a déjà gravi la montagne près de 730 fois, et l'a fait 72 fois l'année de ses 72 ans !
Il nous a fait un « tope là » avant de continuer sa dégringolade, a eu toute mon admiration ainsi que mon envie (dans le sens positif) et a inspiré ma fille et moi pour le reste de l'ascension !
Libellés :
montagne,
randonnée pédestre,
vieillir
jeudi, septembre 03, 2015
Une autre façon de grimper Mt. Timpanogos
Chaque été, je fais de mon mieux pour atteindre le sommet du mont Timpanogos, soit en compagnie de mon épouse ou ma fille. C’était aujourd'hui l'occasion de répéter « l'exploit » et je gravissais le sommet de cette montagne impressionnante pour la huitième fois tandis que ma fille enregistrait sa troisième ascension.
Ce sommet est assez comparable au mont Buet, en Haute-Savoie. Cette fois, nous avons choisi le sentier Timpanooke au lieu d'Aspen Grove, car nous voulions éviter une marche épuisante sur les énormes cailloux de la moraine. Un manque de neige cet hiver et un été assez sec ont quasiment eu raison du «glacier», en tout cas du névé, qui est le seul lieu où se trouvent des neiges éternelles en Utah.
Le réchauffement climatique n'est pas du tout un mythe et notre mode de vie en montagne est en en effet en train de disparaître. Le dénivelé, à seulement 1325 mètres, n’était pas aussi important que l'an passé, mais le chemin était beaucoup moins pentu et plus facile, encore qu'un plus long. Cette année, j’étais en assez bonne forme, mais j’étais, une fois de plus, « sur les genoux » quand nous sommes arrivés à la voiture.
À refaire l'an prochain !
Ce sommet est assez comparable au mont Buet, en Haute-Savoie. Cette fois, nous avons choisi le sentier Timpanooke au lieu d'Aspen Grove, car nous voulions éviter une marche épuisante sur les énormes cailloux de la moraine. Un manque de neige cet hiver et un été assez sec ont quasiment eu raison du «glacier», en tout cas du névé, qui est le seul lieu où se trouvent des neiges éternelles en Utah.
Le réchauffement climatique n'est pas du tout un mythe et notre mode de vie en montagne est en en effet en train de disparaître. Le dénivelé, à seulement 1325 mètres, n’était pas aussi important que l'an passé, mais le chemin était beaucoup moins pentu et plus facile, encore qu'un plus long. Cette année, j’étais en assez bonne forme, mais j’étais, une fois de plus, « sur les genoux » quand nous sommes arrivés à la voiture.
À refaire l'an prochain !
Libellés :
montagne,
randonnée pédestre
mercredi, septembre 02, 2015
Âme et émotions
Ais-je une âme ? Je n'en sais trop rien. Je ne sais du reste pas comment la différencier de mon esprit conscient, donc je regroupe bien commodément les deux ensemble et les considère comme étant une seule et même chose.
Suis-je capable de ressentir des émotions ? Tout à fait ; celles-ci peuvent soit être exaltantes, soi carrément misérables, mais elles sont toujours très puissantes.
Mes émotions sont-elles le miroir de mon âme ou un reflet des contradictions qui habitent mon esprit ? Je ne sais pas. Je les prends juste pour ce qu'elles sont, de simples émotions. Une expérience sensorielle indépendante qui peut enrichir ou empoisonner ma vie, en fonction de ce que ces émotions décident.
Maintenant, peut-on contrôler ces manifestations autant indisciplinées que bizarres ? Je ne crois pas vraiment. On peut soit les accepter, soit les repousser. C'est à peut près tout.
Maintenant, si vous me dites encore que je mon âme est la manifestation de mes émotions, je vous répondrai que mon âme et l’élément le plus indiscipliné et le plus incontrôlable que je possède et je ne compte faire aucun effort pour tenter de la contrôler !
Suis-je capable de ressentir des émotions ? Tout à fait ; celles-ci peuvent soit être exaltantes, soi carrément misérables, mais elles sont toujours très puissantes.
Mes émotions sont-elles le miroir de mon âme ou un reflet des contradictions qui habitent mon esprit ? Je ne sais pas. Je les prends juste pour ce qu'elles sont, de simples émotions. Une expérience sensorielle indépendante qui peut enrichir ou empoisonner ma vie, en fonction de ce que ces émotions décident.
Maintenant, peut-on contrôler ces manifestations autant indisciplinées que bizarres ? Je ne crois pas vraiment. On peut soit les accepter, soit les repousser. C'est à peut près tout.
Maintenant, si vous me dites encore que je mon âme est la manifestation de mes émotions, je vous répondrai que mon âme et l’élément le plus indiscipliné et le plus incontrôlable que je possède et je ne compte faire aucun effort pour tenter de la contrôler !
mardi, septembre 01, 2015
Juste 40 ans aujourd'hui !
J'ai du mal de croire que nous sommes déjà mariés depuis quarante ans ... Le temps passe trop vite quand on ne fait que s'amuser.
Pour célébrer une étape aussi importante, nous sommes allés à Alta, avons traversé le bassin d'Albion et grimpé jusqu'au lac Cecret. Ce lac est vraiment un vrai « secret », car il est très bien caché et personne ne sait pourquoi son nom s'écrit avec un C à la place d'un S. Certains disent que c'est un mineur d'argent travaillant à Alta qui lui a donné son nom.
Quand nous sommes arrivés, un orignal faisait la sieste sur le rivage et l'autre but de notre ascension était tout simplement un exercice d'acclimatation à l'altitude en vue d'un prochain voyage. Notre verdict fut positif et nous pensons que notre performance en côte a été excellente quand nous avons atteint ce lac perché à plus de 3000 mètres pour célébrer quatre décennies ensemble.
Ce soir, nous allons ajouter un peu de champagne pour arrondir un peu tous ces chiffres étourdissants !
Pour célébrer une étape aussi importante, nous sommes allés à Alta, avons traversé le bassin d'Albion et grimpé jusqu'au lac Cecret. Ce lac est vraiment un vrai « secret », car il est très bien caché et personne ne sait pourquoi son nom s'écrit avec un C à la place d'un S. Certains disent que c'est un mineur d'argent travaillant à Alta qui lui a donné son nom.
Quand nous sommes arrivés, un orignal faisait la sieste sur le rivage et l'autre but de notre ascension était tout simplement un exercice d'acclimatation à l'altitude en vue d'un prochain voyage. Notre verdict fut positif et nous pensons que notre performance en côte a été excellente quand nous avons atteint ce lac perché à plus de 3000 mètres pour célébrer quatre décennies ensemble.
Ce soir, nous allons ajouter un peu de champagne pour arrondir un peu tous ces chiffres étourdissants !
Inscription à :
Articles (Atom)