Cela dit, rien à voir avec son travail de vice-présidence par la suite, ni positivement ni négativement.
Alors que je n’avais qu’une hâte de voir Biden se retirer de la course présidentielle de 2024, j’aurais aimé voir des gouverneurs comme Newsom ou Whitmer prendre la tête, mais cela ne fut pas le cas. Biden avait choisit Harris comme sa de facto remplaçante.
La façon dont cela a été accepté par l’ensemble du parti qui s’est immédiatement rangé derrière elle, constitua une surprenante démonstration d’unité qui fut assez réconfortante et m’a pleinement satisfaite.
Je me suis dit que de toutes façons, elle serait bien meilleure que Biden et bien sûr largement supérieure à Trump, et que tout comme Volodymyr Zelenskyy l’avait fait pour l’Ukraine, elle a le potentiel de parvenir à la hauteur de la situation.
Elle a de quoi séduire toutes les femmes du pays, soit 51% de l'électorat qui avaient été flouées lors de l’élection de Hillary Clinton en 2016 par le cocktail mortel de la décision de la Cour suprême sur l’avortement, l’horrible influence de Facebook, de Vladimir Poutine et de Julian Assange.
Si elle ne fait pas de grosses erreurs et continue de bonne campagne, elle ne va pas juste écraser Trump lors du débat du 10 septembre, mais finalement gagner la course à la Maison Blanche !
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