Cette destination que nous considérons aujourd'hui comme « définitive » a fait partie de notre propre version du rêve américain, avec son lot de hauts et de bas, où les « hauts » ont largement dépassé les « bas », avec seulement une pointe de nostalgie pour des choses très « françaises » (la famille, les amis, les champignons, et c'est à peu près tout).
Il est vrai que 250 jours de soleil par an ont contribué à cette équation et qu’en rétrospective, ce déménagement nous a été extrêmement bénéfique. Même sous le régime Trump, nous demeurons convaincus que si rester ne nous tue pas, cela nous rendra d'autant plus forts !

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