Notre président sortant n’aura pas été un vrai dirigeant, mais un manipulateur tyrannique.
Bien sûr, ce n’est pas d’intimidateurs dont nos vies compliquées ont besoin, ce sont de vrais leaders. Par leur capacité à bien travailler avec les autres, les bons dirigeants montrent le bon exemple et c’est ce qui rallie les gens à les soutenir et à embrasser leurs causes.
À l’inverse, ceux qui intimident, ne savent qu’exercer une domination oppressives sur autrui, utilisant l’intimidation pour montrer qui est le patron et se sentant obligés de proférer des ordres.Les vrais leaders savent créer des relations et sont capables d'empathie envers les autres. Ils savent aussi comment motiver leurs troupes, contrairement aux brutes qui n'hésitent jamais à se moquer et à rabaisser les gens qu'ils n'aiment pas.
Les bons dirigeants sont suffisamment flexibles et intelligents pour adapter leur style de communication à une large variété d’individus et croient aux talents des membres de leur équipe, tandis que les intimidateurs ne peuvent travailler qu'avec des personnes qui leurs lèchent les bottes et sont des bénis-oui-oui.
De plus, les intimidateurs n’ont jamais une très haute opinion de leurs collaborateurs et ne s’attendent pas a des miracles de leur part. Ces brutes comptent avant tout. Les bon leaders adoptent aussi un style de communication transparent et savent prendre leurs responsabilités.
De leur côté, les intimidateurs sont secrets, agressifs et jouent leur collaborateurs les uns contre les autres. Il est également juste de dire que les bons dirigeants sont dotés d’une forte intelligence émotionnelle, tandis que les intimidateurs sont exactement l’opposé.
Je conclurai en citant ce qu’avait dit l'ancien Secrétaire d'État et Général, Colin Powell : «Le jour où les soldats cessent de vous apporter leurs problèmes, c'est le jour où vous cessez de les diriger…» Ceci, bien sûr, invite une autre question bien logique : Oseriez vous partager vos problèmes avec un intimidateur ?
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