Il y a un peu plus d'un an que mon ami Denys Liboz nous a quitté. Bien que sa mémoire reste encore vivace dans sa famille et parmi ses amis, il m'arrive de continuer de me demander ce qu'il ferait aujourd'hui, s'il n'avait pas été victime du virus amylose. Il serait probablement encore en train travailler en tant que représentant, avec sa nouvelle paire de hanches artificielles, ferait encore du vélo et du ski et se demanderait si et quand il devrait prendre sa retraite.
Chaque fois qu'il le pourrait, il passerai du temps avec son fils, sa fille et ses petits-enfants, sauterai à l'occasion dans un avion pour rendre visite à ses frères en France, et tout comme nous, ralentirai un peu son rythme quotidien. Je l'appellerai de temps en temps pour nous remémorer le bon vieux temps et il me dirait que sa vie n'a jamais été aussi bonne pour lui qu'à ce moment là ...
lundi, avril 09, 2012
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