Que ce soit dans les affaires, les écoles ou la vie politique, l'inertie peut faire sombrer les plans les plus ambitieux. L'inertie est un véritable barrage créé par la bureaucratie, les traditions, la peur du changement et l’intransigeance. Il y a aussi d'autres forces maléfiques qui participent au maintien de l'inertie: crainte d'aller de l'avant, corruption et « traînage de pieds. »
L'inertie explique pourquoi, au demeurant de bons politiciens, ne peuvent guère réussir à faire avancer leur agenda ou des décideurs des plus prometteurs se trouvent aspirés dans des espèces de sables mouvants. Il y a aussi un autre élément tapi dans l'ombre ; il s'agit de toutes ces parties prenantes qui font trop souvent obstacle aux changements important. C'est un peu pourquoi certaines organisations « tyranniques » comme Apple, du temps de Steve Jobs, étaient capables de démarrages fulgurants, laissant et maintenant leur concurrents bien loin derrière.
Le dynamisme appelle à la révolution, mais tous ceux qui aiment trop leur confort et le statut quo étouffent le changement. La révolution n'a pas besoin d'être sanglante mais, il faut bien l'expliquer et c'est là que le pouvoir de la persuasion entre en scène. Ais-je dis « persuasion? » Qu'est-il donc arrivé à cet ingrédient magique ? Voilà bien un sujet dont nous devrions débattre prochainement ...
mardi, avril 24, 2012
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