J'ai vu venir le coup. Depuis que M. Tsipras a présidé à la victoire de Syriza en Janvier dernier, je n'ai jamais cet homme porter une cravate un seul instant.
D'accord, je n'en porte plus souvent ces jours, mais quand je travaillais dans la vente et que j'essayais de décrocher un gros contrat, je ne prendrais aucun risque et j'avais toujours tendance à me mettre sur mon trente-et-un plutôt que de m'habiller « relax » quand je rencontrais un client dans des circonstances spéciales ou chaque fois que je devais devoir demander de l'argent à mon banquier.
Les chances étaient que mon interlocuteur allait être très bien habillé, lui aussi. En laissant sa cravate au vestiaire, Tsipras a tout simplement dit aux gens à qui il demandait des sous ou un allégement de sa dette : « je ne vous respecte pas, je suis mieux que vous ... »
En bref, si ce choix délibéré de tenue vestimentaire n'a pas directement coulé le navire grec, il n'aura pas contribué à le maintenir à flot.
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