Il y a plus de deux semaines, je piquais ma crise quand ma banque française ne voulait pas me rendre les quelques euros qui étaient encore coincés à sa succursale de Morzine.
Mes réclamations à répétition sont finalement montées jusqu'à la direction générale de l’établissement et il a fallu 10 jours supplémentaires pour le subordonné immédiat du grand directeur se manifeste, propose une solution et présente ses excuses pour le service minable rendu par sa banque auprès de ses clients.
À un jour près, c’était trop tard ; j'en avais assez et je venais d’émettre un chèque en euros qui était encore attaché à mon bon vieux carnet de chèques français et venais juste de le déposer auprès de ma banque, à Park City. Aujourd'hui, quand je suis allé en ligne pour vérifier le solde restant sur mon compte, j'ai vu que le montant en question venait d'être débité et qu'il ne restait plus grand chose.
Dans le même temps, Pierre Fort, le bras droit de Jean-Yves Barnavon, le PDG, avait quand même trouvé une autre excuse pour le mauvais service rendu à ses clients par le Crédit Agricole des Savoies, en écrivant dans un courriel:
« Sans que cela constitue une excuse, nos collaborateurs doivent respecter des procédure contraignantes lorsque des demandes de virements à distance sont demandées par les clients, a fortiori lorsque c'est en lien avec les USA. Cela explique en partie les délais. »
Bien que j'aimerai donner le bénéfice du doute à M. Fort, je trouve cette excuse bien vaseuse et reste sur mon impression que son personnel morzinois est une bande de bureaucrates bien trop paresseux et dogmatiques, qui je l'espère pour la banque, sont tous en voie d'extinction ...
"Arvi, Crédit Agricole!"
jeudi, juillet 02, 2015
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