Il y a quelques jours, je visionnais une vidéo de plus à propos de ski extrême à Chamonix. Cela se passait sur la pointe Yeld, située près de la Dent du Géant, et dans le couloir Contamine de l’aiguille de Blaitière.
Une femme, je crois, avait commenté à propos de cette culture des montagnes, qui semble à la poursuite de la prise de risque gratuite, en disant :
« Je pense aux mères de ces 'trompe-la-mort' qui doivent trembler à chaque sortie de leur fils. Ces pentes raides ont rendu mon fils tétraplégique et tué son copain pourtant très bons spécialistes. Je pense que ces vidéos de rêve sont trompeuses et font croire que c'est facile. Mes petits enfants grandissent sans père. Comment leur expliquer que la passion de la montagne est plus forte que tout ? »
Des mots très forts et qui touchent profondément. La pensée qui m'est immédiatement venue à l'esprit est qu'en amour, en navigation, en politique, en alpinisme, en ski, ou dans n'importe quelle activité « passionnelle », les passions les plus extrêmes sont souvent le résultat d'un égoïsme aveugle.
samedi, juin 03, 2017
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire