Il y a beaucoup trop de gens naïfs qui s'imaginent qu'il suffise de se faire appeler « hommes d'affaires » pour être apte à gouverner un pays sans avoir besoin de faire la distinction essentielle entre « bon » et « mauvais » homme d'affaires, ou femme d'affaires, dailleurs.
À mon avis, l'homme qui a été élu président des États-Unis en novembre dernier, tombe indiscutablement dans la catégorie des « mauvais ». Les bons hommes d'affaires savent écoutent leurs collaborateurs et leurs clients, sont polis, diplomates, mûrs et ne se comportent pas comme des petits gamins gâtés.
Le président Trump est incapable de remplir ces exigences fondamentales. Voila donc où nous en sommes ; être en affaires ou pas est totalement sans importance si une personne n'est pas disposée à appliquer la manière de faire requise par un professionnel.
Je crains que le sens des affaires de notre chef d’état se trouve à un niveau bien trop bas pour être invoqué comme référence.
jeudi, juin 08, 2017
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