La nuit dernière, j'ai regardé « Frontline », une de mes émissions télévisées préférées, sur l'immigration. Après m’être forcé à tout regarder, j’étais profondément déçu par sa structure, son approches, son manque d'idées constructives et l'absence de conclusion. Ce qui suit est ma réaction:
D'abord, les « clandestins » sont des gens qui ont enfreint la loi. En conséquence, ils doivent être sanctionnés ; je ne vois pas pourquoi il faudrait compatir avec eux. Bien sûr, avant de faire quoi que ce soit, il faut d'abord stopper la « fuite. »
Les visiteurs avec visas de travail ou de tourisme doivent être suivis pour vérifier qu'ils quittent bien le pays dans les délais impartis ; nous avons des ordinateurs pour ça, d'accord ? S'ils se font pincer, ils perdent à jamais le droit de retourner aux États-Unis.
Les clandestins de « fraîche date » (moins de 6 mois dans le pays) sont déportés sine die et ne sont plus jamais autorisés à retourner au pays.
Bien sûr, chaque clandestin devra être filtré. Tout individu avec un casier judiciaire sera déporté sur place.
Tous les autres peuvent demander un statut permanent à condition qu'ils s'acquitent d'une amende, disons de 10 000 dollars par personne ou plus, pour chaque individu, y compris tous les membres de la famille se trouvant dans le pays. S'il « n'y a que 11 millions » de clandestins, cela amènerait 110 milliards de dollars dans les caisses de l’état. De quoi remettre toute notre infrastructure à neuf !
Ces contrevenants devraient sans doute avoir à prendre des prêts, travailler d'avantage, gagner ainsi leur retour dans la légalité. Les gens en demande comme les ingénieurs, les prestataires de soins de santé, les éducateurs, les chercheurs ou les créateurs d'emplois n'auraient rien à payer et leur statut de résidents permanents serait prioritaire.
Oh, oui, j'avais presque oublié. Pour toute personne entrant aux États-Unis, l'anglais serait la langue officielle et tout nouvel entrant s'engagerait à respecter les coutumes sociales nord-américaines.
Les travailleurs peu ou moins qualifiés auraient toujours visas de travail saisonniers ou à temps défini en fonction de la demande. Enfin, seuls les enfants nés de résidents permanents ou de citoyens obtiendraient la citoyenneté américaine.
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