Ce matin, je viens d'entendre à la radio que le célèbre stade « nid d'oiseau » de Pékin est l'exemple parfait d'une réalisation coûteuse et peu rentable pour laquelle aucun bon usage n'a été trouvé, et qu'à un coût de construction de 400 millions de dollars, s'ajoutent maintenant des frais d'entretien annuel de quelque 11 millions de dollars.
Ceci est tout à fait symptomatique de la perte de contrôle du CIO sur le coût des Jeux et la direction de son institution. À bien des égards, cette organisation est devenue trop lourde et trop sclérosée pour être capable de se « réinventer » et de rester au dessus de tout soupçon au fil des ans. Le fait de tout vouloir contrôler et tirer parti de toutes les occasions de faire du fric sont les principales raisons derrière cette gestion incontrôlée et – j'en fais le pari – la désintégration future de ce petit club bien fermé ...
mardi, juillet 10, 2012
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