vendredi, septembre 17, 2010
Mon (nouvel) accord avec Fidel
Fidel Castro était mon héros pendant six semaines quand j'avais treize ans, et le même était valable pour son acolyte Ernesto Guevara, mais il ne m'a pas fallu longtemps pour comprendre que les deux farfelus étaient armés et dangereux et que leur façon de faire la révolution n'était pas du tout ma tasse de thé. En tout cas, le vieux révolutionnaire et moi sommes restés amis, avons partagé un bon cigare de temps en temps, et j'ai récemment passé un accord avec Fidel pour lui importer notre bon capitalisme à l'américaine en échange pour le genre de tyrannie qu'il maitrise mieux que personne et qui serait utilisée pour mettre au pas tous les chiens qui trainent un peu partout à Park City, les amener dans l'État de droit (ou de laisse?) et leur insuffler toute l'obéissance et toute la discipline qui leur font largement défaut. C'était juste après l'entretien qu'il venait d'accorder à Jeffrey Goldberg, journaliste au magazine « The Atlantic » dans lequel il avait juste reconnu que « le modèle cubain ne fonctionnait plus. » Il a accepté mon offre, donc attendez-vous à voir le vieux révolutionnaire en tenue de combat ou en survêtement Adidas faire la chasse aux chiens mal élevés, dans toutes les rues de Park City, dans un avenir très, très proche ...
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