Il est tout à fait claire que le VTT n'est pas un sport pour les mauviettes, pas juste pour les blessures corporelles quand il arrive qu'on rentre en collision avec quelque chose de dur ou que l'on passe par dessus le guidon, mais aussi pour le matériel.
L'environnement est impitoyable, les sentiers sont truffés d'obstacles, le gros rocher ou la racine qui pourrait être évité trouve trop souvent le moyen de passer en plein dans les roues, et pas plus tard qu'aujourd'hui, je dois avoir touché quelque chose, un arbrisseau, une branche ou un gros caillou, mais ça m'a couté deux rayons sur ma roue arrière et il n'a pas fallu longtemps avant que celle-ci se voile c'était la le trépas d'une autre jante « haute-performance ».
Ce n'est pas tant la dépense engagée, mais plutôt l'inconvénient et cela peut varier considérablement selon le lieu où se produit l'incident. Si l'on se trouve à sept ou huit kilomètre au fin fond des montagnes et qu'il n'y a pas moyen rapide de rejoindre une route goudronnée ou une certaine forme de civilisation, cela peut signifier qu'il va falloir pousser le vélo pendant assez longtemps ...
Aujourd'hui, j'ai eu de la chance – une fois de plus ! J'étais presque à la maison quand j'ai finalement remarqué qu'il y avait plus qu'un bruit agaçant en provenance de ma roue arrière et que je me suis rendu compte que j'avais en effet un sérieux problème.
En dépit de tout cela, je continue d’être un fan du VTT et vais le rester tant que je peux encore rouler ...
samedi, août 03, 2013
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