Alors qu'une fois de plus Steve Jobs part en congé-maladie, je ne peux m'empêcher de penser à tout ce qui fait que des individus comme lui sont si exceptionnels. J'ai bien écris exceptionnels, pas parfait, bien sûr, mais des individus qui peuvent être les forces vives du changement, du progrès et qui - plus que quiconque - sont obsédés par la perfection. J'ai passé ces derniers jours à monter des vidéos prises récemment (je sais, c'est ma marotte en ce moment) et j'ai fait un travail passable.
Un travail parfait, c'est a dire le mieux qu'il m'est été possible de faire avec le matériel et les outils que j'avais sous la main, m'aurait peut-être prit deux fois plus de temps. Peu de gens auraient pu voir les différences minimes qui auraient existé, mais il n'y a aucun doute qu'ils auraient d'avantage apprécié un meilleur produit final. C'est tout à fait vrai; la perfection exige toujours d'avantage de temps, beaucoup plus d'attention et bien plus d'amour pour apporter toutes ces petites améliorations supplémentaires. C'est ça, investir deux fois plus en ressources pour une différence de deux pour cent. C'est pourtant pourquoi ce sont toujours les mêmes chevaux qui gagnent les courses, par le même « poil » d'avance ...
mercredi, janvier 19, 2011
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