Sur la lancée de mon blog d'hier, nous avons eu des pluies torrentielle cette nuit à Park City, qui pourraient contredire mon refus de voir des signes de réchauffement climatique chez nous. Je ne m'attarderai cependant pas sur cet incident météo isolé qui ne pèse pas lourd sur les observations d'une saison toute entière. Je voulais juste évoquer une discussion vue hier à la télévision à propos des catastrophes naturelles et leur relation avec le réchauffement climatique, comme les inondations qui sévissent actuellement sur l'Australie et le Brésil. Ma réaction est que notre planète est pleine à craquer avec bien trop de gens. En 1940, nous étions seulement 2,3 milliards de personnes sur terre, et aujourd'hui nous sommes près de 6,9 milliards, soit trois fois plus!
Pour accueillir tous ces gens il a fallu construire dans des endroits inappropriés pour l'habitat humain, amenant des glissements de terrain, des inondations ainsi qu'une déforestation excessive, entre autres maux, et quand on compare les cataclysmes naturels d'il y a 60 ans avec ceux d'aujourd'hui, ils avaient beaucoup moins d'impact sur trois fois moins de population se trouvant en danger. Nous sommes maintenant engagés dans un cercle où nous émettons de plus en plus d'éléments nocifs dans l'atmosphère, ce qui a sans doute un impact négatif sur les phénomènes météo, et occupons des lieux où des êtres humains n'étaient jamais censés y habiter. Si, au vue de cela, il reste encore des sceptiques qui choisissent d'ignorer que la priorité numéro planétaire est le contrôle de la population c'est à désespérer ...
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