Je n'ai pas encore lu « The art of the deal » (l'art des affaires) que notre nouveau président-vendeur Donald Trump avait demandé à Tony Schwartz d'écrire pour son compte en 1987.
J'ai pourtant bien l'intention de le lire dès que possible, parce que je ne peux pas comprendre qu'un super vendeur ou gourou des affaires auto-proclamé comme M. Trump ne soit pas parvenu à abroger et à remplacer la loi de santé d'Obama comme cela s'est produit y a quelques jours.
Peut-être que quand je lirai enfin ce fameux bouquin si célèbre, je vais changer d'avis sur ce qu'est la vente en général.
C'est vrai, j'ai toujours pensé que la bonne vente (ou le génie des affaires) commençait d'abord par savoir écouter ses clients, toujours faire de son mieux pour être poli et attentionné avec eux, bien faire le maximum pur établir un rapport solide et durable tout en tentant, autant que possible, de dissimuler le mieux possible son propre ego et son arrogance.
Pour moi n'importe quel autre comportement serai celui d'un imbécile, mais encore une fois, comme je n'ai pas lu le chef-d'œuvre en question, je pourrais encore me tromper !
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