Cela fait déjà sept saisons d'hiver que je porte un casque. Aujourd'hui, je ne peux plus aller skier sans en avoir un.
Quand je parle à mes amis français, ils associent le port du casque avec avec une pratique du ski à grande vitesse et de manière généralement imprudente. Je ne partage pas cette opinion et, au contraire, vois de nombreux avantages à en porter un, mais je dois aussi ajouter que je n'ai pas adopté ce couvre-chef pour des raisons justifiables.
Quand je me suis « casqué », au cours de la saison 2010-11, c'était pour y « coller » ma caméra vidéo GoPro, mais j'ai vite découvert que cela me tenait chaud à la tête quelque soit la température et qu'il s'agissait là d'un réceptacle pratique pour réunir mon masque à neige, gants et cache-nez, de sorte que je n'ai jamais oublié aucun de ces objets en partant au ski. C'est vrai, la sécurité n'était pas sur ma liste.
Depuis, les casques ont gagné énormément en popularité parmi tous les pratiquants de sports de neige. Lundi, alors que je remontais en télésiège à Park City, je me suis livré à deux reprises à un sondage informel mais très révélateur.
J'ai simplement compté les gens qui portaient des casque par rapport à des bonnets (il faisait trop froid pour skier tête-nue) parmi la foule qui évoluait en au-dessous de moi. Mes deux observations ont révélé à chaque fois qu'un bon 90% des gens portaient des casques!
mercredi, mars 08, 2017
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