Aujourd'hui, le magazine Ski Racing se lamentait des faibles primes de victoires gagnées par les meilleurs skieurs du monde. Bon, ce sujet ce sujet est vieux comme Hérode et je pense que l'on peu faire deux observations sur cette situation lamentable.
D'abord, le ski alpin est un sport marginal pratiqué principalement par des blancs qui vivent dans les montagnes. Sa pratique nécessite des massifs, du froid, de la neige, des remontées mécaniques et un tas d'argent. De par son coût, il y a bien peu d'individus à travers le monde qui peuvent rêver de faire du ski.
La deuxième raison, et sans doute la raison principale pour laquelle un skieur de haut niveau gagne moins d'argent qu'un cow-boy de rodéo, est tout simplement parce que la FIS reste désespérément nulle en matière de marketing sportif. Quelqu'un doit vendre les droits à la télévision et pour y arriver, il faut un produit qui soit facile à comprendre, amusant, divertissant et adapté aux média.
Cette réalité – dure à avaler – nous conduit droit à la solution qui est grosse comme une maison : Que se passerai-t-il si FIS descendait de son grand cheval et commençait à se poser la question de savoir ce qu'il faudrait faire pour « bricoler » le sport et en faire quelque chose de mieux « vendable » après des téléspectateurs ? Pourtant pas bien compliquée !
lundi, mai 25, 2015
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