La politique étrangère américaine n'est pas motivé par un Dieu quelconque en qui nous faisons semblant de confiance, mais par le pétrole. C'est bien cela, cet or noir, bien gluant qui sort des entrailles de la terre. Il suffit de regarder ce que nous avons fait en Irak, un pays avec l'une des plus grandes réserves prouvées d'hydrocarbures et ce que nous ne faisons pas (encore) en Libye, qui ne représentent que 2% de ce que peut produire la planète dans ce même domaine. La crise en Côte-d'Ivoire, qui produit surtout du cacao, et le bras de fer entre Gbagbo et Ouattara sont largement ignorés par l'Amérique et franchement, l'on ne s'inquiète pas de ce qui se passe en Haïti qui n'a guère que des tourments à offrir a son peuple.
Bien sûr, nous parlons de nouvelles énergies alternatives et renouvelables, mais juste quand cela nous arrange et rien de bien sérieux ne semble jamais sortir de tous ces palabres. Maintenant, si l'essence atteint le seuil des 4 dollars par gallon, on devient carrément fous, cela équivaut à une véritable déclaration de guerre. Comment allons-nous pour étancher la soif de nos 4x4 géants? Je comprends encore mieux pourquoi notre ancien « de facto » président Dick Cheney, marchait uniquement au « brut » et n'était guère animée par quelque idéologie conservatrice et républicaine. Aujourd'hui, ma question phare est devenue: « peut-on on jour vraiment guérir d'une dépendance au pétrole? »
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