Au fil des ans, ma vie de skieur aura été marquée par une dose autant importante que variable de mal de pieds.
Tout a commencé quand j'ai commencé à skier avec mes brodequins en cuir ordinaires que je mettais pour aller à l’école le jour où j'ai chaussé des skis fait par mon père à l'âge de 7 ans.
Ensuite, j'ai eu une vraie paire de chaussures de ski à lacets quand j'avais à peu près 12 ans pour accompagner ma première paire de skis Duret.
Mon prochain pas dans l'univers des chaussures de ski est arrivé quand mon frère Gaston et moi avions acheté chacun une paire de chaussures Molitor à lacets que nous avions ramenées en contrebande depuis la Suisse voisine.
Assez vite est venue ma première de Lange, suivie de paires de Trappeur en plastique, avant de passer du coté transalpin, d'abord avec Nordica et ensuite avec Dolomite. Je suis revenu dans des Lange quand j'ai commencé à travailler pour cette marque.
Quand je suis devenu distributeur de Koflach pour les États-Unis, il a bien fallu que je skie sur le produit et peu de temps après ça, j'ai renoué avec Lange, jusqu'à ce que je déchire mon tendon d'Achille il y a déjà une décennie.
J'ai alors choisis une coque trois-pièces faite par DalBello. Je suis resté fidèle à ces chaussures bon marché jusqu'à cet automne quand j'ai glissé mon pied dans une paire de Nordica NXT qui m'est allée vraiment comme un gant et m'a offert le meilleur confort que j'avais jamais ressentis en plus de 60 de ski.
D'accord, ces chaussures sont assez souples, mais me maintiennent parfaitement. Ce fut tout à fait le coup de foudre avec pourtant un seul problème: Rentrer dans la chaussure est tellement difficile que cela relève du miracle et en sortir doit être comme un accouchement.
Je sais, chaque rose a ses épines!
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