Comme je suis un peu écolo et politiquement correct, ma nouvelle maison ne sera éclairé que par LED. Plus d'ampoules incandescentes ou de tubes fluorescents ! Pour ça, il a fallu vider le porte monnaie et investir nos derniers dollars pour acheter ces lumières en vogue.
Quand j'ai apporté la centaine d'ampoules et autres spots lumineux à l'électricien chargé de faire l'installation, il a regardé les ampoules et m'a dit: « T'auras jamais à les remplacer de ta vie ! »
Comme je devais ne pas avoir l'air de vouloir comprendre ce qu'il me racontait, il m'a mis le lettrage rouge de l'emballage sous le nez qui annonçait « Durée: 22,8 années ». Ceci dit, je dois avouer que cet électricien était un peu plus généreux qu'un couvreur, qui dix ans auparavant m'avait prédit que le toit qu'il venait d'installer et garantit vingt-cinq ans allait durer jusqu'à la fin de mes jours.
Quel que soit le chiffre, si vous connaissez mon âge, il vous sera maintenant facile de calculer ma date de péremption !
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1 commentaire:
Plutôt que de créer des "classes" (1er, 2e, 3e) de médailles Olympiques, Je pense que le Comité International Olympique devrait créer des critères minimum pour accepter un sport et les épreuves impliquées aux Jeux Olympiques; ce qui donnerait une crédibilité quasi égale à toutes les médailles. Par exemple:
Un nombre minimum de pratiquants au niveau mondial (Nombre de pratiquants ludiques (en centaines de milliers), nombres de licenciés d'associations nationales (en dizaine de milliers), nombre de licenciés de la fédération internationale (en milliers))
… dans au moins 2 ou continents
… dans au moins 20-25 pays
De tels chiffres doivent être plus faibles pour jeux d'hiver qui sont praticables dans un nombre plus limité de pays.
Quelques activités particulières peuvent bénéficier de critères de nombre de participants moindre (mais pas du nombre de continents ou de pays) quand l'exploit sportif pur est indéniable: Le saut à ski par exemple, ce qui n'est pas le cas du bobsleigh.
Les épreuves doivent pouvoir être jaugée équitablement (chronomètrée) ou par des juges appliquant un système de notation rigoureux et contrôlable. Les médaillés de certaines des dernières épreuves ajoutées des sports de neige récompensent ceux qui sont le moins brouillon, désordonné ("sloppy") dans leurs exécutions et leurs atterrissages plutôt que ceux qui sont les plus parfaits. Ce sont les médailles olympiques "Mickey Mouse", comme l'était celle du combiné alpin --désolé Michel Vion-- avant qu'il ne devienne une épreuve à part entière.
Un "sport" doit également faire appel à des qualités athlétiques, techniques, psychologique, etc. et pas uniquement à une particularité physique (Sumo Wrestler)
Il y a aussi le point de la multiplication des médailles. Des sports nouveaux essayent de s'introduire (les critères ci-dessus devraient les filtrer) et des sports existant propose de nouvelles épreuves: Les sports individuels poussent les médailles par équipe (patinage artistique). Pourquoi pas le ski ou n'importe quel autre sport alors? Les sports collectifs ne vont pas tarder à proposer des médailles individuelles comme le meilleur buteur ou défenseur pour le hockey ou le football par exemple. Cette prolifération des médailles dilue la valeur des autres médailles plus sérieuses, complique l'organisation et augmente le coût des JO.
Les règles ci-dessus mettraient un peu d'ordre dans la maison olympique si ce n'est pas déjà trop tard. Certains sports déjà admis, devraient être mis au banc, quelque chose qui n'est jamais facile de faire. Un président du CIO avec un tel agenda est sans doute inéligible, tout comme un président voulant faire de vrais réformes dans n'importe quel pays. L'avenir du CIO est terne, à l'image de celui du genre humain!
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