samedi, avril 20, 2013

Terrorisme et religions « extrême ... »

La liberté de religion peut-être une bonne chose pour certains. Cette liberté veut dire, croire en l'irrationnel, aux miracles, à la résurrection et à toute une série de sanctions divines. Cela fonctionne tant que le dogme n'est pas antisocial et dangereux pour le reste de la société.

Je crois qu'au jour d'aujourd'hui, l'islam est l'une de ces religions qui repose sur une théologie plutôt instable où l'on y voit « n'importe quoi» contre lequel aucune autorité religieuse ne semble prête à s'élever. De plus, l'Islam est le reflet d'un ensemble de croyances et d'une culture médiévale, plutôt même, pré-médiévale. Le christianisme pour sa part est un peu plus avancé, mais reste quand même un ou deux siècles à la traîne  selon la version considérée.
 
Au vu de ce que risque de nous apprendre l'enquête sur les attentats de Boston, les chefs religieux de toutes persuasion devraient se réunir et pas seulement condamner ces agissements au noms d'une religion délinquante, mais prendre des mesures et des engagements à la fois clairs et fermes afin de modifier et clarifier l'interprétation qui peut être faite de leurs enseignements par certaines phalanges extrémistes.

Bien sûr, ils vont se garder de faire quoi que ce soit parce que dans la religion, tout comme dans les affaires, il existe une concurrence énorme. Tous sont à la poursuite du même « client » et tous veulent être plus royalistes que le roi.

Tout cela me ramène à cette notion de « liberté de religion » ; comment pouvons-nous percer ce rideau de fumée ? Comment pouvons-nous être certains qu'une religion est « bonne », à savoir qu'elle ne prêche pas la mort et la destruction comme le fait l'islam extrémiste à travers la voix de ses imams et parfois de ses gouvernements, où un ton vengeur meurtrier est souvent de mise ?

Aucun commentaire: