lundi, janvier 06, 2025

Le leader politique idéal

L’autre soir, après un dîner ou toute famille était là, nous avons eu une bonne discussion sur les raisons pour lesquelles certaines femmes ont eu du mal à devenir et certains ont estimé que seules les femmes conservatrices pouvaient prétendre accéder à des postes comme la présidence des États-Unis, comme par exemple des conservatrices comme Margaret Thatchter ou Angela Merkel qui ont réussi par rapport à deux progressistes comme Hillary Clinton ou Kamala Harris qui ont échoué. 

Évidemment, nous devrions commencer par examiner les qualités requises pour de telles fonctions. Cela commence par avoir l’instinct naturel d’inspirer et guider les autres, d’avoir aussi une vision claire de l’avenir et la capacité de définir et de fixer des objectifs réalistes. Cela exige également de savoir comment atteindre ces objectifs, d’identifier les pièges en cours de route et de saisir les opportunités quand elles se présentent. 

Presque aucun leader politique n’a ces qualités au départ, car tous d’abord « font généralement semblant » en espérant « y arriver » ou non. Bien sûr, une capacité exceptionnelle à communiquer est essentielle, que ce soit par le langage corporel, verbal ou écrit, en particulier sans prompteur. Un bon leader doit toujours transmettre des messages de manière claire et convaincante. 

Il doit également être capable d’écouter activement et de déchiffrer points de vue et préoccupations de ses constituants, ainsi que de nouer et d’entretenir de solides relations avec ses homologues, les membres de son équipe, les parties prenantes et son pays tout entier.

Quant à l’empathie ou la capacité de comprendre et de prendre en compte les besoins et les sentiments des autres, cela pourrait être la cerise sur le gâteau. Un bon leadership signifie aussi prendre des décisions difficiles, opportunes et bien informées, la plupart du temps sous une pression énorme. Cela comprend également savoir régler les problèmes. 

Encore une fois, de nombreux dirigeants n’ont pas ces talents lorsqu’ils débutent, certains finissent par en acquérir quelques-uns, mais beaucoup n’y arrivent pas et restent désespérément coincés à un médiocre niveau. 

Il faut dire que bon nombre de ces compétences spécifiques peuvent être apportées par de pointus spécialistes. Les bons dirigeants s’entourent de personnes plus intelligentes qu’eux et non de flagorneurs. Une autre compétence « agréable à avoir » chez les dirigeants est leur capacité d’assumer l’entière responsabilité de leurs actes et de leurs décisions. 

Des individus avec casier judiciaire ou avec des antécédents douteux, enclins aux mensonges et à la tromperie devraient absolument être exclus de toute considération. Aucune exception. C’est essentiel pour motiver et inspirer les autres et pour donner aux membres de l’équipe les moyens de réussir. 

L’adaptabilité et la résilience doivent également faire partie de cet ensemble. Plus important encore, l’apparence est essentielle. Pas seulement l’aspect physique, l’âge qui devrait être de 50 à 60 ans au maximum, mais aussi la force de personnalité, le charisme et la capacité à projeter une image puissante qui inspire le respect. Oui, le respect, pas la peur. 

Enfin, s’il y a une joute rapprochée entre deux candidats, quelle que soit leur race, sexe, etc., le vainqueur sera celui ou celle qui se rapprochera le plus de toute cette liste de traits.

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