Hier, j'ai pris ma première gamelle de la saison en VTT. Non, cela ne s'est pas produit sur quelque sentier escarpé, mais sur de l'asphalte civilisé. La seule section goudronnée qui me ramène à ma maison était en train d’être fraisée avant de recevoir une nouvelle couche d’enrobé.
Alors que j’étais de retour à la maison, j'ai choisi de rouler sur la partie fraisée et texturée de la chaussée, et au moment où je croyais béatement que je pourrais faire sauter mes gros pneus sur le rebord lisse, ma roue avant n'a pas du tout apprécié le rebord de 5 cm m'a envoyé au tapis. J'ai atterris sur mes deux genoux, mes coudes et mes mains. J’étais bien éraflé et tout ensanglanté.
Qu'est-ce qui m'a prit pour me comporter ainsi ?
D'abord ma curiosité; je voulais expérimenter la sensation que m'offrirai cette structure grossière sur laquelle je roulais. Ensuite, ma confiance surdimensionnée m'a dit à l'oreille que tout irait bien. Enfin, mon optimisme têtu a assené le coup de grâce en télégraphiant à mon cerveau que mes pneus n'auraient aucun mal a franchir le seuil de 5 cm. Résultat, mes trois bons conseillers se sont tous fourvoyés.
Aujourd'hui, j'ai mal et je me souviendrai de cet accident pour lors de mes futures sorties en VTT !
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