lundi, juillet 25, 2022

Nouveaux téléphones, configurations, migraines

Nous venons de recevoir de nouveaux téléphones portables et ce genre d'événement ouvre toujours la porte à toutes sortes de surprises car la technologie n'est jamais aussi simple qu’on le pense et cela peut causer des ravages à certains éléments bien établis sur lesquels nous avons l'habitude de compter. 

Par exemple, mon propre téléphone qui était censé recevoir les informations contenues dans le précédent. Pour cela, j'ai utilisé une application spéciale qui m'a alerté lorsque le transfert était terminé. 

En vérifiant si toutes mes données se trouvaient dans le nouvel appareil, j'ai réalisé que seuls 1 000 des 1300 noms qui constituaient mes contacts étaient arrivés dans le nouveau téléphone, car l'application ne permettait le transfert que de 1 000 contacts. 

C’est alors que je me suis affolé, essayant de trouver une solution mais que j'ai eu beaucoup de mal à cerner. Dieu merci, j'avais par un hasard tout à fait miraculeux sauvegardé ces informations de contact particulières sur le cloud (mais j'avais déjà oublié que je l'avais fait). 

J'ai donc décidé de supprimer les 300 groupes de données qui dépassaient le transfert autorisé. Le problème, c'est que dans ma précipitation, j'ai annoté les adresses que je voulais éliminer et laissé la coche sur celle que je voulais laisser. 

Par pure étourderie, j’ai donc fait l’inverse de ce qu’il aurait fallu que je fasse, perdant toutes les données Google que je voulais sauvegarder et qui m’étaient utiles. Pire encore, ces données n'alimentent pas juste mon téléphone, mais celui de ma femme et de mon ordinateur de bureau. 

Au bout du compte, j'avais tout perdu et j'avais l'impression qu'une catastrophe m'était bel et bien arrivée. Pourtant, j'ai persisté, j'ai cherché d'autres solutions, j'ai appelé le support et après toute une journée à me démener, j'ai tout restauré, grâce principalement à ma sauvegarde providentielle sur le « cloud »

S'il n'y avait pas eu cela, je serais encore en train de pleurer sur mon malheur ou on m’aurait peut-être retrouvé pendu...

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